J'ai bien aimé ce deuxième roman de la série, même si l'effet de surprise est maintenant passé et que ce tome est moins original que le premier. La lecture est tout de même très agréable et rapide et le personnage principal est amusant. La fin du roman donne envie de lire le troisième tome.
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jusqu'a maintenant je suis en amour avec ce livre il est vraiment vraiment bon!!!
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J'aurais vraiment dû être terrifiée mais maintenant que je n'étais qu'à un soupir de pouvoir me servir de mon mebo, je me sentais plus brave.
-Certainement, j'ai une arme semi-automatique cachée dans mes mains.
Il s'approcha de mes mains, puis il se rendit compte que je me moquais de lui et il eut une expresion que je ne pouvais que décrire comme une expression de malaise.
-Tu n'est pas en position de plaisanter.
-Je ne suis pas en position de faire grand-chose.
-Alors, pourquoi le sarcasme quand tu devrais supplier pour la clémence.
Il se pinca les lèvres.
-Ne te rends-tu pas compte de ce qui t'arrive?
-Des trucs arrivent. Tel que le conseillait un de mes livres, la pierre qui roule avec le courant atteint rapidement son but. Donc, pourquoi me stresser par rappord à quelque chose sur laquelle je n'ai aucun contrôle.
-C'est un conseil bizarre. Dans quelle sorte de livre as-tu trouvé ça?
-Ce sont les ratés qui atteignent le vedettaria.
-Ce livre existe vraiment, dit-il en s'agenouillant près de moi ou bien plaisantes-tu encore?
-Je t'ai manqué, cria Dyce d'un ton joyeux. Hé, pourquoi as-tu la tête en bas?
Je me remis brusquement à l'endroit, balançant mes pieds et m'assoyant sur le siège comme si tout était normal.
-J'étais en train de faire revenir la circulation dans mes pieds, dis-je en respirant fort. tu les as attachés tellement serré.
-Je les détacherai quand nous serons en route.
-Peux-tu me desserrer les jambes maintenant? demandai-je sur un ton plus cajoleur. Ce n'est pas comme si je pouvais m'enfuir ou que se soit.
-C'est vrai, dit-il en se frottant le front d'un air pensif. mais tu es comme un fil raide, prêt a claquer. Es-tu en train de planifier quelque chose?
-Pas du tout, dis-je, respirant rapidement.
Il s'approcha un peu plus près, m'examinant d'un air soupçonneux.
-Je ne te crois pas.
-Que puis je faire avec mes main et mes jambes attaches?
-C'est ce que j'essaie d'imaginer.
-Ne crois-tu jamais qui que ce soit?
Non. Pourquoi es-tu si nerveuse?
-Hum... laisse-moi réfléchir. Qu'est-ce qui peut me rendre nerveuse? Oh, ouais. Je viens tout juste de me faire enlever et je n'ai aucune idée de ce que tu as projeté de me faire.
-Tu n'as pas l'air d'avoir peur, on dirait que tu caches quelque chose, dit-il, tendant négligent le bras pour ajuster sa casquette pendant qu'il m'examinait.
Euh? dit Eli d'un ton hébété, après environ huit sonneries.
-Eli!
Mon coeur fit un bond en entendant sa voix.
-Je suis tellement contente que tu sois là!
-Qui est-ce... Oh mon Dieu! Sharayah! C'est vraiment toi?
-Euh...désolée, mais non, répondis-je d'une voix basse et mélodieuse que je n'avais jamais entendue. Je ne suis pas elle.
-De quoi parle-tu? Veux-tu perler à papa ou à maman?
-Non!C'est à toi que je veux parler.
-Qu'y a-t-il? Tu as des ennuis.
-Pas exactement - mais je crains que Sharayah en ait.
-Hein? Qu'est-ce que tu veux dire?
-Eli, je ne suis pas...
J’avalai ma salive en tremblant
-Je ne suis pas ta sœur.
-Peu importe ce que tu as fait, Shari, tu seras toujours ma soeur. Rien ne peut être si terrible, tu sais que nous sommes toujours là pour toi. Est-ce que tu vas bien? Maman et papa sont malade d'inquiétude. Je veux dire, tu n'est pas venu à Noël! Que devions-nous penser?
-Eli...je sais que ma voix est celle de ta sœur... mais c'est Amber.
-Je m'attendais à ce que tu sois reconnaissante et malléable, pas aussi méfiante. N'as-tu pas peur de ce que je vais faire, railla-t-il.Je pourrais t'emmener loin dans l'océan et te jeter par-dessus bord. Puis je t'abandonnerait tout simplement comme tu as fait avec Gabe.
Je demeurai silencieuse, trop entêtée pour lui donner la satisfaction de voir que j'avais peur.
-Tu ne supplies pas et tu ne cries pas.
Il m'examina, ses yeux sous le rebord de sa casquette se bridèrent de curiosité.
-As-tu confiance en moi? murmura-t-il.
-Comment peux-tu même le demander?
-Je dois en être certain.
-Bien sûr que j'ai confiance en toi. Je t'aime plus que je n'ai aimé qui que ce soit. Il n'y a rien que je ne ferais pas pour toi.
-Rien?
(...)
Les pieds de Gabe glissèrent dans la pelouse humide, le ruban à conduits tomba de ses mains, et il glissa hors de vue par-dessus le rocher.
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