Le début de ce second volume du cycle Grainger partait pourtant asez bien. Un chapitre d'introduction rafraichissait la mémoire des lecteurs avec ce qui s'était passé dans le premier.
Grainger est sur une planète minière, qui a la particularité de ne pas avoir d'accès à l'air libre. Les villes comme les mines sont situées en sous-sol. Plus problématique encore, elle est sous le contrôle total d'une bande de bigots prêts à réduire en chair à pâtée tout ceux qui ne pensent pas comme eux (histoire connue). Grainger est venu, avec son employeur-propriétaire dans l'espoir de pouvoir ramener du fret, de nature indéterminée mais de forte valeur.
Je me suis copieusement ennuyé dans ce pourtant court space-opera. L'intrigue tourne en rond, et qui plus est dans des tunnels et des cavités peu éclairées ! Il n'est pas impossible que l'auteur ait été contraint de "tirer à la ligne" pour avoir son quota de pages.
Cela va probablement m'inciter à laisser tomber cette série. Quelques bonnes idées sont à sauver mais tant d'autres bons livres m'attendent.
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Rencontre avec Brian Stableford aux Rencontres de l'Imaginaire de Sèvres.