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EAN : 978B008MNPPPW
DAW BOOKS (12/12/1991)
4/5   3 notes
Résumé :
The military sci-fi classic in a striking new package Felix is an Earth soldier, encased in special body armor designed to withstand Earth's most implacable enemy-a bioengineered, insectoid alien horde. But Felix is also equipped with internal mechanisms that enable him, and his fellow soldiers, to survive battle situations that would destroy a man's mind. This is a remarkable novel of the horror, the courage, and the aftermath of combat-and how the strength of the ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
Une belle pièce de SF militaire ,
C'est un euphémisme

D'abord c'est assez remarquablement écrit .
Style à la troisième personne ou à la première selon le personnage qui est au premier plan et selon la partie du récit concernée , 2 personnages : 2 parties : plus une troisième qui ouvre des perspectives et repositionne les données .

Ce choix de style peut dérouter mais c'est aussi bien fait que bien structuré .

C'est l'histoire d'un fantassin en armure , en compagnie d'autres ...
Cette armure est presque un personnage , ou plutôt : elle est un vrai sujet et peu de romans de science-fiction et peu d'auteurs de SF ont à ce point décrit avec un tallent si évocateur le fantassin du futur .
C'est un texte exceptionnel où la minutie du style ... le rythme ... la solidité des personnages et l'intimité assez forte du lecteur avec eux impose ? une immersion aussi puissante que nuancée au " spectateur " qui a eu la chance de passer par là .

Beaucoup d'efficacité donc ! Beaucoup de sérieux relativement aux aspects militaires du récit également ..
Cet univers militaire affiche une crédibilité sans faille ...

Un tout petit éclairage sur le pitch : Un jeune soldat , " un bleu " réchappé d'un combat contre une espèce alien , livre un combat contre lui-même ..
....................................................................................................................
Une hallucinante ballade dans un univers de fantassins du futur .
Un incontournable de science-fiction militaire :

Sincèrement ! j'ai découvert Armor en mai 2010 et c'est réellement un texte qui est de nature à réviser votre seuil d'exigence vers le haut en matière de SF militaire …


Felix is an Earth soldier, encased in special body armor designed to withstand Earth's most implacable enemy-a bioengineered, insectoid alien horde. But Felix is also equipped with internal mechanisms that enable him, and his fellow soldiers, to survive battle situations that would destroy a man's mind.

This is a remarkable novel of the horror, the courage, and the aftermath of combat--and how the strength of the human spirit can be the greatest armor of all.
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Lu en anglais

Banshee ! Une planète hostile, son air irrespirable, son eau empoisonnée et l'habitat du plus formidable ennemi de l'humanité. Les soldats, en armure lourde, à bord des vaisseaux spatiaux, attendent d'être débarqués sur la planète. Félix attend avec eux; c'est un éclaireur (scout) avec une armure plus légère qui lui donne plus de mobilité au détriment de la puissance d'attaque et de la protection des armures lourdes. Et c'est le signal; les soldats se retrouvent sur la planète et c'est un massacre par des extraterrestres de 3 mètres de haut, qui ont l'apparence un peu de fourmis gigantesques avec des exosquelettes hyper-résistants et des appendices ultra tranchants. Mais Félix s'en sort grâce à sa vitesse, une aptitude instinctive au combat et un genre de présence qui prend le contrôle de ses actions. Mais ce n'est pas fini; d'autres débarquements suivent et Félix contredit toutes les statistiques de survie.

Il parait que c'est un des meilleurs romans de science-fiction militaire.

Chose sure, les combats sont enlevés. Mais le roman est un peu bizarre; il y a deux histoires différentes. On commence par les combats sur la planète centrés sur Félix et ses camarades soldats., puis on se retrouve dans un centre de recherche sur une autre planète où on cherche des moyens de combattre les extraterrestres, mais où on tombe aussi sur une armure dans l'espace qui va révéler ses secrets.

J'ai été soulevé par tout ce qui entoure les évènements sur la planète Banshee, les combats, les extraterrestres, etc. Par contre, la partie sur la planète Sanction m'a paru plutôt décousue et moins convaincante.

En somme, j'ai beaucoup aimé même si j'ai hésité un peu à lui donner 4 étoiles.
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Un curieux roman de SF militaire, qui ne montre pas un seul soldat la moitié du temps et parle finalement plus d'armure psychologique que d'armure de combat l'autre moitié

Ce roman est souvent comparé à Starship Troopers, dont il s'inspire lourdement (armures de combat, ennemi insectoïde, attaque de la Terre et spécifiquement de l'Amérique du sud, univers où la Flotte est toute-puissante, etc). Cependant, il est très loin de proposer la réflexion politique et sur la nature des sociétés du livre de Robert Heinlein, et sur le plan littéraire, il est loin d'approcher le niveau de cet auteur (j'ai rarement vu autant de fautes dans un roman en VO, pour commencer, sans parler d'un style très fluctuant, parfois intéressant, parfois assez basique).

Théoriquement, c'est de la SF militaire, mais d'une part, une moitié du livre ne met en jeu aucun soldat (des déserteurs devenus pirates, à la rigueur, et encore, d'assez loin), 40 % ne montre quasiment aucun combat, et surtout, les codes du genre ne sont pas là : les tactiques présentées sont pipi-caca (lorsque tout ne se résume pas à « taaaaapeeeer ! »), la description technique des armements brille par son absence, et on sent que l'auteur n'a qu'une connaissance très basique du milieu. Bref, on est très loin d'Heinlein ou de David Weber, d'autant plus que l'univers décrit… ben ne l'est pas, justement, tout ça reste bien trop flou.

Le passage fréquent d'un protagoniste à un deuxième, et d'une narration à la troisième vers une autre à la première personne peuvent aussi perturber, comme les fluctuations dans le style dont j'ai déjà parlé ou la profusion de scènes à l'utilité discutable (ce qui entraîne des fluctuations de rythme également). Enfin, on pourra déplorer que le liant entre les deux « sous-livres », entre les deux parties de l'histoire, mette autant de temps à se dévoiler complètement (si on ne l'a pas deviné avant).

Pourtant, il y a quelques points très positifs là-dedans, principalement l'immersion dans les combats et surtout la psychologie très développée des personnages et son utilisation dans l'intrigue. L'armure qui donne son titre à l'ouvrage est au moins autant, sinon plus, un mécanisme de défense psychologique que physique (et non, ce n'est pas un moyen de se protéger des horreurs de la guerre, c'est même tout l'inverse quelque part : le stress du combat sert à faire entrer l'esprit du protagoniste dans un état dans lequel il occulte un autre traumatisme).

Au final, donc, si je reste déçu par ce qui est présenté comme un livre important dans la SF militaire (volet terrestre), sur un pur plan SF (non-militaire), tout n'est pas à jeter. Même si ça ne restera clairement pas ma lecture de l'année.

Vous trouverez une version beaucoup plus détaillée de cette critique sur mon blog.
Lien : https://lecultedapophis.word..
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Two hours, perhaps. Two hours before the suit began to slow down. He would no longer be able to fight, no longer be able to dodge and duck. In two hours, he would no longer be able to run. They would have him. He would lie down somewhere. The weight of the armor would force him down. And in some canyon or gorge he would lie and wait, a helpless statue, for the ants. Shuffling slowly up to him and around him, gesturing to one another with heavy claws and snapping mandibles. They would prod him, poke at him, lean over and stare into his helmet, great gray globular eyes his last living sight.
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It stood three meters tall and weighed, on average, four times more than a human being—damn near as much as a suited warrior. It had six limbs, two for walking upright and erect, four for work. The upper limbs, call them arms, were incredibly massive, hanging down one and a half meters from two titanic shoulder joints. The arms ended in huge, hulking, two-pronged claws twice the size of an armored human fist. The middle arms were smaller, approximately human size. Curved, two-pronged pincers here for delicate work. The legs were the size of tree trunks, ending with semicircular pads splayed flat to the ground. There were two gnarled knobs on each. Each limb, upper, middle, and lower, had three joints.

The body had three sections: shoulder, abdomen, pelvis. Each was covered with coarse, hairlike fibers spaced widely apart

The head, half again larger than a warrior’s helmet, bore a dull globular eye on each side. The mandible-mouth opened in three vertical sections of varying width and shape. Closed, it resembled nothing so much as a smooth-sheened, toothless, human skull. The skin was not skin at all, but bone. Ectoskeleton. The muscles were inside. It was awesomely powerful.

It was the Enemy.

It was an ant.

It was called something else, something long and technical and dreamed up out of range. But scientific jargon had nothing to do with what men had felt when they saw it move, saw it coming. It didn’t matter that it had no antennae and walked upright and was too, too, damn big. From the beginning, men had called it an ant.

Felix saw no reason to change that. He stood watching the holo of the enemy in the wall of the passage leading from the Briefing Room. The others had long since filed past. They used their last minutes before drop as a time to be with friends or check equipment or fight panic or yield to it and vomit or to pray with undreamed-of piety.

Felix, alone, watched the ant.
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It didn't matter that it had no antennae and walked upright and was too , too , damn big . From the begining , men had called it ant.
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Vampires, film américain réalisé par John Carpenter, sorti en 1998. Scénario : Don Jakoby, d'après le roman Vampire$, de John Steakley. Avec James Woods. Bande-annonce
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