Brouiller les pistes. N'être jamais là où on l'attend. Ne jamais prêter le flanc. Chez Christophe Stolowicki, cela tourne souvent autour de la langue. Il y ferraille avec volupté et rage tout à la fois. De ses langues, plutôt: la seconde et, bien sûr, la première - même si on ne la lira pas ici -, celle-ci irriguant celle-là. Recommandation : poncer à la pierre polonaise ma langue de bègue en extraire la racine Me faire la bouche aux langues croisées. Dans ces poème... >Voir plus