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4,2

sur 28495 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Un livre étrange, imaginatif et horrifiant en même temps. A ne pas lire à tous le âges et spécialement le soir. J'espère que les laboratoires Givenchy et d'autres n'utilise pas les même méthodes.
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Un livre qui marque, automatiquement... Même si l'histoire m'a dérangée et remuée, je ne peux qu'admirer le style de l'auteur qui a très bien su décrire les odeurs, si bien que j'avais la sensation de sentir les différentes effluves qu'il nous proposait !!!
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Mais pourquoi ai-je mis ce livre dans ma liste ? Parce que j'ai cédé à l'effet de masse ? Me voici bien embêtée... Quand le Parfum est sorti en France, c'était LE livre à livre, LE livre à aimer, LE livre dont il fallait parler pour briller... Alors pourquoi je n'ai pas suivi le "goût des autres" ? Peut-être parce qu'on m'en avait déjà trop parlé avant que je le lise ? En tout cas, je n'ai pas eu cet effet de conte philosophique, l'intrigue ne m'a pas passionnée, trop de micro-détails à mon goût, trop de chemins tortueux... C'est bien écrit (ou bien traduit en français ?), j'aime les références locales (Montpellier, le Canigou...), mais je n'arrive pas à suivre Grenouille dans son périple.
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Avoir du nez, c'est être capable de dénicher la lecture qui nous conviendra le mieux. Force est de constater que sur ce coup-là, je n'ai pas eu le nez creux. Je n'ai jamais réussi à adhérer, à pénétrer dans la fiction, à oublier l'auteur derrière les mots. Il y avait pourtant beaucoup d'indicateurs susceptibles de m'inspirer : un sujet original, une foule de lecteurs éclectiques convaincus, notamment de celles ou de ceux dont je tiens le jugement en haute estime, etc.

Dans sa critique, à laquelle je souscris pleinement, le lecteur Carré s'étonne du contraste entre son propre ressenti à propos de l'oeuvre (plutôt médiocre) comparativement à celui de la très large majorité des critiques sur ce site ou ailleurs (plutôt exceptionnel). Je vais même, une fois n'est pas coutume, le citer :

« je me sens bien seul devant l'avalanche de superlatifs concernant le roman de Suskind. Trop d'odeurs, à friser l'overdose, de descriptions, plutôt de perceptions odoriférantes qui m'ont souvent plus irrité que flatté. Bien sûr, l'écriture est remarquable, l'intrigue oppressante et la chute tout bonnement stupéfiante, mais ce Grenouille n'a jamais ne serait-ce qu'une seconde réussit à me passionner, ni dans sa folie, ni dans sa quête : je suis constamment resté en retrait, avec le sentiment de passer à côté d'une évidence pour de nombreux lecteurs »

Pour ma part, je vais aller encore plus loin que lui. Je tique notamment sur ce qu'il nomme « écriture remarquable » car pour moi, l'écriture de ce roman n'est pas ce que j'appelle " remarquable ", car, si elle eût été telle, elle m'aurait embarquée avec elle et c'est l'enthousiasme au coeur que je vous en parlerais. Or, point de cela. D'ailleurs, ce critique écrit juste après « je suis constamment resté en retrait », bon indicateur, selon moi, que l'écriture n'était justement pas " remarquable ", mais bon, ça c'est une autre affaire.

À ce titre, permettez-moi seulement d'invoquer Mario Vargas Llosa, qui écrit dans Lettres à un jeune romancier : « S'il n'est pas si difficile de parler de la cohésion d'un style, c'est une autre paire de manches d'en expliquer le CARACTÈRE NÉCESSAIRE, indispensable pour rendre convaincant un langage romanesque. La meilleure façon de le décrire est peut-être de recourir à son contraire, le style qui échoue dans le récit d'une histoire en maintenant à distance son lecteur, lucide et conscient de LIRE quelque chose d'étranger, non de vivre et de partager l'histoire avec ses personnages. Il y a échec quand le lecteur sent un abîme, que le romancier ne parvient pas à combler dans son écriture, entre ce qu'il raconte et les mots pour le dire. Cette bifurcation, ce dédoublement entre le langage d'une histoire et l'histoire en elle-même annule le pouvoir de persuasion. le lecteur ne croit pas à ce qu'on lui raconte, parce que la maladresse et l'inadéquation de ce style lui font prendre conscience d'une insurmontable césure entre les mots et les faits, une faille par où passent tout l'artifice et l'arbitraire, ces fondements d'une fiction, seulement effacés ou rendus invisibles dans les oeuvres réussies. »

Voilà, nous y sommes : quand je n'y crois plus, c'est fini, on peut plier les gaules plus rien ne mordra à l'hameçon. Et bien, en ce qui me concerne, c'est très rapidement qu'il y a eu disjonction et donc, cela fit globalement flop ! Alors voici un héros — anti-héros, assurément, tellement assurément que Patrick Süskind s'échine à nous le présenter tel, espérant qu'une petite voix en nous nous soufflera : « Bouh ! C'est un méchant, ce gars-là ! Rien n'est bon en lui. Rien à sauver. »

Nous débutons, donc, avec ce héros, qui, dès le stade nourrisson et dès sa première journée de vie possède déjà des intentions machiavéliques et qui, tenez-vous bien, pleure à dessein pour faire condamner sa mère à mort. Personnellement, j'ai eu beau arpenter à deux reprises les longs couloirs d'une maternité, j'ai le sentiment que ce postulat de départ à propos d'un bébé ne fonctionne pas bien. À vous de voir.

Ensuite sa première nourrice le prend en grippe et devinez pourquoi ? Parce qu'il n'a pas d'odeur. Vous conviendrez qu'en matière de péché capital et de motif d'exécration, on a déjà connu pire, surtout à l'époque où s'ancre la narration : le XVIIIème siècle. Pour ma part, et à l'instar de cet illustre empereur romain, Vespasien, j'aurais tendance à incliner vers la proposition qui affirme que l'argent n'a pas d'odeur, et que, précisément, s'il n'y a pas d'odeur, nul n'aura tendance à refuser de l'argent, d'où qu'il vienne, surtout si l'on en manque, comme cela semble le cas de cette brave nourrice. Deuxième anicroche, en ce qui me concerne, quant au pouvoir de persuasion de l'oeuvre.

Poursuivons : le sort de l'infortuné Grenouille échoira à la très monolithique et très antipathique Mme Gaillard, qui, comme par hasard, a perdu le sens de l'odorat d'un malencontreux coup sur le nez. Elle sera parfaitement inhumaine et glaciale durant toute la jeunesse du héros. Bon, là encore, qu'une femme puisse élever un enfant, même pour de l'argent, pendant une dizaine d'années, sans qu'aucune espèce de relation ne se noue entre eux, désolée Monsieur Süskind, je n'y crois pas : cela ne s'accorde en rien avec ce que je connais de l'humain.

Et puis, Grenouille prend de l'âge, son sens du tarin s'aiguise, se façonne, se développe jusqu'à atteindre des performances que même un ours ou un coati, pourtant figurant parmi les plus fins naseaux qu'on connaisse dans le règne animal, n'arriveraient pas à égaler. Ici, c'est la cohérence proprement biologique qui est mise à mal, mais admettons, admettons, s'il faut admettre, admettons.

Le voilà, ce méchant, méchant Grenouille, qui échoue chez Grimal, un tanneur, puis, par un hasard vraiment hasardeux se retrouve au contact d'un parfumeur, lequel parfumeur, par un autre hasard hasardeux se trouve n'avoir pas de nez, ce qui, pour un parfumeur de cette époque-là, est pour le moins inattendu. Et donc ce parfumeur aux sens altérés trouve le moyen de se faire rétrocéder l'apprenti-tanneur macrosmate. Et bien, croyez-moi si vous voulez, Paf ! Grimal, le patron tanneur prit sa dernière biture le soir même et ne profita jamais de sa jolie plus-value. C'est tout de même pas de bol, convenez-en.

Que dire du parfumeur au nez taquin, Baldini, qui, à l'orée de la fortune et de la gloire remportée grâce aux talents olfactifs du méchant, méchant Grenouille, se fait, Plouf ! emporter sa demeure, Blam ! comme ça, corps et biens, Flouf ! on n'en parlera plus, par un vilain, vilain effondrement de pont sur la Seine. Aïe, aïe, aïe ! Il porte vraiment la poisse ce satané Grenouille, moi je vous le dis !

Mais jouons le jeu jusqu'au bout, laissons à cette écriture l'opportunité de nous séduire et/ou de nous convaincre. Certes, Patrick Süskind a écrit son livre en allemand et il pouvait certes supposer que pour un public germanophone pas nécessairement francophone les jeux de mots malingres et les clins d'oeil appuyés, ça passerait. Certes, certes, mais tout de même, de vous à moi, quand je lis après une réplique du héros " coassa Grenouille ", j'ai envie de refermer le bouquin, car trop, vraiment, c'est trop.

Ensuite, vient l'épineux épisode de la grotte. Certains s'amusent à passer sept ans au Tibet, mais notre Jean-Baptiste Grenouille décide, lui, de passer sept ans dans le Cantal, au creux d'un boyau étroit et sombre comme la mort, dans la solitude minérale la plus totale. Sachant que les sept années en question correspondent à la période de vie du héros allant de 18 à 25 ans, âge où, c'est bien connu, tous les jeunes hommes hétérosexuels torturés d'hormones n'aspirent qu'à vivre reclus dans un étroit boyau de basalte loin de toute espèce de présence féminine ou même seulement humaine. Bon, bon, bon… voilà qui est pour le moins singulier et toujours hautement crédible à mes yeux.

Oups ! J'ai oublié de vous dire ! Savez-vous ce qu'il fait le méchant, méchant héros quand il est encore à Paris et qu'il sent une odeur subtile, délicieuse entre toutes, une senteur comme il en a toujours rêvé ? Eh bien dès qu'il trouve la jeune fille — car la fragrance en question appartient, bien entendu, à une jeune femme, belle et délicate de surcroît, parce qu'une grosse et moche ne peut pas sentir bon, c'est bien connu — dès qu'il trouve la jeune fille, donc, du haut de ses treize/quatorze ans (si j'ai bien compris) que fait-il ? Il la tue, en toute logique, puisque sans quoi il ne serait pas le méchant, méchant Grenouille qu'on attend. CQFD. Alors moi je m'interroge : Pourquoi tuerait-il l'unique porteuse du seul parfum qui le ravit dans tout Paris, lui qui est si sensible aux exhalaisons ? Ça ne me paraît décidément pas tenir debout. Je veux bien beaucoup de choses, mais là, d'après mes concepts, ça cloche, donc impossible pour moi d'adhérer au propos.

Sachez encore, mes bons amis, qu'à ce moment-là, vous n'êtes qu'au début des incohérences crasses auxquelles l'auteur nous soumet (incohérences crasses selon mes critères, cela va sans dire et n'engage bien sûr que moi). Il vous reste à avaler toute la période Grassoise (ville du parfum s'il en est) qui vaut, elle aussi, son pesant de pétales de rose en terme d'aberrations logiques. de sorte que si fable il y eut, si message ou si symbolique il y eut, elles furent totalement évaporées à mes narines par les insuffisances du reste. Bref, c'est un parfum d'échec sans appel qui se dégage en ce qui me concerne à propos du pouvoir de persuasion et de conviction de cette oeuvre sur la lectrice que je suis (et ça n'engage que moi, je le répète).

Toutefois, ce roman présente, selon moi, des qualités indéniables qui n'ont trait ni à l'intrigue, ni aux personnages qui sont tous, selon mes critères, d'épaisses caricatures, ni au style que je qualifierais de capiteux mais plutôt au fond, c'est-à-dire au terreau informatif que recèle l'oeuvre.

Là, j'avoue sans honte que j'ai été captivée par les passages concernant l'extraction des senteurs et les différents procédés utilisés au cours de l'histoire de la parfumerie. L'auteur a l'immense mérite de mettre l'accent sur des pratiques peu connues et, pour la plupart oubliées à l'époque où il écrivait son roman, sachant, au demeurant, qu'il n'y avait pas d'internet à l'époque et qu'il était très difficile pour monsieur ou madame tout-le-monde d'avoir accès à ce genre d'information dans les années 1980.

Donc, si je dois adresser un coup de chapeau au livre, c'est pour cet aspect-là. le reste, ma foi, me laissera un bien piètre souvenir mais, si vous pensez tout le contraire, prenez garde à ce que la moutarde ne vous monte au nez, car cet avis n'est que mon avis, il a le parfum évanescent des choses qui s'oublient, c'est-à-dire vraiment pas grand-chose.
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Roman pour lequel je peine à mettre une étiquette : thriller, philosophie, fantasy, aventure et j'en passe ...
Mais roman au combien intéressant.

Jean-Baptiste Grenouille, jeune parisien perturbé et sans argent, vit au 18ème siècle,

Avec un nez particulièrement développé, passant sa vie à étudier les odeurs, toutes les odeurs,
il ira de parfumeur en parfumeur créant des fragrances qui deviendront réputées avant de quitter la Capitale pour Grasse afin de perfectionner son art.
Un long périple l'attend, durant des années.

Où est le thriller me direz-vous ?
Et bien, en lisant ce roman, vous assisterez à la naissance un tueur psychopathe. le jeune homme assassine des jeunes filles pour capturer leurs odeurs.

Ce roman, riche en vocabulaire, décrit une atmosphère particulièrement opprimante.
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Qui n'a jamais entendu parler de ce roman allemand des années 80, devenu un classique de la littérature ?
Un homme, venu des bas-fonds parisiens, doté d'un incroyable don pour sentir TOUTES les odeurs et à une distance folle, apprend à créer de merveilleux parfums avec les techniques traditionnelles. Mais très vite, ce sont d'autres odeurs qu'il veut capturer en bouteille...

Ce roman ne PEUT pas laisser indifférent. Comme Dix petits nègres ou Lolita, il dégage du malsain, il dérange. Et malheureusement, si je peux reconnaître l'intérêt ou le génie de ces livres, je n'arrive pas à les aimer. Je peux reconnaître leurs qualités ; le fait qu'ils me dérangent autant est le signe indéniable qu'ils sont « bons », mais rien à faire : je ne peux pas les encenser.

Pour le Parfum, quelques éléments m'ont tout de même particulièrement plu. D'abord, en savoir plus sur l'art de créer des parfums : c'est le genre de choses que j'adore découvrir dans les fictions. Ensuite, la narration : pour son côté sensoriel (les odeurs sont retranscrites d'une manière assez dingue) mais aussi parce qu'elle est faussement neutre, parfois sarcastique, ce qui donne l'impression d'une sorte de fable et qui, pour ma part, m'a empêchée de ressentir l'aspect glauque de certaines situations. Je ne peux pas nier que je tournais les 50 dernières pages plutôt fiévreusement, totalement happée par les événements.
Voilà, objectivement, ce que j'ai ressenti. Mais en le finissant, je ne savais vraiment pas quoi en penser. La fin est brutale ; il est difficile de trouver un message, une morale, à ce roman. Vous me direz que ce n'est pas une obligation ! Mais j'ai l'intuition qu'il y a quelque chose qui m'échappe peut-être.
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Très difficile de rester insensible a cette oeuvre, un tueur en série assez atypique mais un peu surréaliste tout de meme
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Après un première partie (de la naissance de Grenouille à son départ de Paris) qui m'a scotché, la suite m'a énormément déçu. Une deuxième partie trop longue (bien que ne comptant que 50 pages) qui n'apporte pas grand chose et une troisième partie, où la folie de Grenouille se manifeste (enfin) mais, trop rapide. Et que dire de la fin (le sort de Grenouille) que j'ai trouvé ridicule. Reste le sujet (intéressant) du roman et le style de l'auteur. Une déception néanmoins pour moi après toutes les critiques élogieuses que j'ai pu lire.
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Parfois, je me "force" un peu à lire des classiques. Pas forcément de la période Classique, mais certains livres qui font souvent référence...
Pour moi, le Parfum en fait partie. Je voulais savoir pourquoi cela avait marqué tant de lecteurs, alors que le résumé fait si peu envie.
En réalité, tout le paradoxe du livre est ici: dans ce personnage repoussant que personne n'aime et qui pourtant manipule comme personne, les odeurs à tel point qu'il peut faire fondre n'importe quel homme. La force des parfums, de l'odorat, de tout l'imaginaire que l'on peut mettre derrière ce que l'on ressent.
Ce que j'ai aimé dans ce livre c'est qu'on plonge au XIXème siècle, au coeur du peuple.
Malgré le fait que je n'ai pas été captivée par l'histoire, je me suis tout de même attachée à ce personnage, j'ai trouvé des passages très émouvants. Car derrière cette histoire de parfums c'est surtout celle d'un être rejeté et abimé, qui peut certes endurer toutes les souffrances physiques sans se plaindre mais qui au fond souffre du mal le plus absolu de tous. Et cela rejaillit forcément un jour.
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Ce livre a dû être dans ma bibliothèque pendant au moins 15 ans! Je l'avais commencé étant ado, mais, moi et ma graaaande passion des livres à l'époque ont dû me faire arrêter ma lecture à la page 30 je pense…^^

C'est en voyant ¤££¤11Grenouille 4¤££¤lire, et l'adoré, que ça a fait tilt, et je me suis dit qu'après tout, je pourrais le sortir de ma PAL! C'est chose faite!

Nous suivons donc l'histoire de Jean-Baptiste Grenouille au XVIIIème siècle, son enfance loin d'être heureuse et son nez si emblématique. En effet, Grenouille va développer des capacités incroyables pour reconnaître les odeurs, TOUTES les odeurs. J'ai beaucoup aimé la manière dont l'auteur décrit toutes ces senteurs, et les moyens de fabriquer les parfums lorsque le héros va travailler dans une parfumerie. On apprend énormément, mais malheureusement j'ai trouvé ces passages un peu longs.

Je vous avoue que le parfum, avec en sous-titré « Histoire d'une meurtrier » me laissait plus pensé que l'on allait suivre les meurtres de Grenouille. Et bien, pas tellement…

Alors bien sûr, son histoire est très atypique et intéressante, insolite même (le passage où il passe 7 ans au même endroit et qu'il arrive ensuite en ville est assez bien fait), pourtant j'aurais aimé plus d'action. Et là je me suis dit que j'avais lu trop de thrillers…>__< Je crois que j'aime l'action vive, aller directement au coeur des choses. Et malgré tout le vocabulaire, la précision de l'auteur, je n'en garderai pas LE souvenir formidable que certains ont eu.

Attention, j'ai vraiment aimé l'écriture et le personnage de Grenouille! Cette ambiance, surtout lorsqu'il est à Paris, j'ai adoré! Mais il me manquait quelques petits meurtres…. hm, dit comme ça, ça fait un peu peur j'avoue ^^

La fin m'a paru totalement irréelle, un peu, non, très gore (et pourtant je lis régulièrement du King hein!!) et au-delà de ce que j'imaginais… Mais pourquoi pas 🙂

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