Le Parfum

Ce livre a été apprécié par un nombre incroyable de lecteurs. Pour preuve, il suffit de regarder la note incroyable qu'il obtient sur Babelio. Je vais sans doute décevoir beaucoup de monde, mais je n'ai pas du tout aimé ce livre. Je n'arrive d'ailleurs pas à comprendre son si grand succès. Je m'y suis ennuyée à mourir. J'ai trouvé l'écriture lourde, l'histoire lente, sans intérêt, et parfois même complètement absurde et grotesque. Au fur et à mesure que j'avançais dans la lecture, la note que j'imaginais mettre sur Babelio baissait . Je n'ai pas ressenti de dégoût comme certains lecteurs, mais un ennui immense se finissant de manière encore plus absurde que l'histoire elle même. J'ai quand même voulu aller jusqu'au bout, en espérant y trouver à un moment ou à un autre un peu de cet engouement collectif. Mais en vain. Tout cet effort pour rien.... Ce n'est pas avec cette critique que je vais me faire beaucoup d'amis....

Il s'agit d'un audio de 7h30. J'avais vu des passages du film à sa sortie, je n'avais pas trop aimé l'ambiance créée. Je m'étais promis de ne jamais le lire. Mais l'occasion fait le larron comme on dit, je l'ai donc tenté pour m'en faire mon propre avis.

Finalement, après 1h30 d'écoute, j'abandonne ce roman. J'ai fait une overdose d'odeurs et de répétitions. Alors certes, le concept est très original et novateur : voir l'histoire par le nez du personnage principal. Mais encore faut-il que le style de l'auteur soit agréable, même si le personnage est un méchant. Pour ma part, l'accumulation de descriptions et d'énumérations m'énerve vite, d'autant plus quand c'est lu par une jeune femme qui ne reprend pas son souffle et qui lit trop vite. Au début, sa façon de lire ne me gênait pas trop. Ensuite, vinrent les répétitions et les erreurs de prononciations ([z] pour [ç]), ajouter à ceci un style et un dégoût croissant, et vous avez le tiercé gagnant pour ma part… le personnage, Grenouille, est antipathique à souhait ; certes, c'est le méchant mais tout en lui rebute. Ne serait-ce que son premier meurtre qui n'a rien de logique, même si on se place dans son point de vue… Au bout du compte, j'aurais mieux fait de m'abstenir.

Comme vous l'aurez compris, ce roman a été une déception et un abandon rapide. Cet auteur n'est vraiment pas fait pour moi… du coup, même en voiture, je n'ai pas hésité longtemps à changer de lecture, je n'en pouvais plus de son style indéfinissable et nauséabond. Je vous conseille néanmoins de le découvrir pour vous en faire votre propre avis.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)

Je voulais lire ce livre depuis longtemps sans oser le faire de peur d'être déçue. Et bien voilà, c'est fait, j'ai finalement lu l'histoire de cet horrible bonhomme, difforme et hideux, sans foi ni loi. Dès sa naissance, le mal était en lui, vous me direz sa mère voulait l'abandonner ou le tuer alors il a crié et en criant il a condamné sa mère à mourir sur l'échafaud. En avant toute, le pauvre et misérable enfant ne faisant pas la différence entre le bien et le mal fait apparaître le trouble chez les gens qui s'occupent de lui et qui le recueillent. Sa première nourrice est troublée notamment par son manque d'odeur, elle veut s'en débarrasser et le fait embaucher chez un tanneur. Ce petit bonhomme bien spécial est entouré par des odeurs très fortes qui ne le dérangent aucunement. Jean-baptise Gre…. connaît diverses maladies graves au contact des produits utilisés dans cette tannerie, maladies qui l'enlaidissent par conséquent il en gardera des escarres et des crevasses . Peu avant son apprentissage à la parfumerie de maître Baldini il est attiré vers une jeune fille qui dégage une odeur bien particulière. Il est subjugué par ce parfum, il la tue pour s'approprier son odeur. On commence à entrer dans l'horreur. Je me suis demandée si j'allais poursuivre car on sent bien que ça va aller crescendo. Grenouille, et oui, il s'appelle Grenouille, pauvre petite bête elle ne méritait pas cela. C'est vrai qu'une grenouille vit dans les marécages comme la rue des Marais où a été tuée la fraîche jeune fille, il est aussi comparé à une tique, animal aussi détesté que détestable. Il est finalement embauché par Maître Baldini, parfumeur de son état ce qui permet à Grenouille de capter toutes les odeurs et de se les approprier pour fabriquer de grands parfums. Grenouille n'a pas d'odeur propre mais s'enivre des odeurs des autres tout en les détestant. Cette lecture a été très difficile. J'ai peiné et me suis ennuyée. D'autre part des tas d'émotions négatives simples me sont apparues, l'ennui, le dégoût, l'impatience, l'épouvante et l'effroi. Je n'ai vraiment pas aimé.

Nombre de babéliothécaires, ont "Le Parfum", parmi leurs livres. Je me disais : " Tu devrais l'ajouter (pour avoir un livre de plus en commun avec eux) puisque tu l'as". Mais, je n'en avais pas envie, car, je n'ai pas aimé ce roman ! Dès le début, rien que le nom de famille Grenouille, donné par un allemand à un français, m'a paru ridicule. Et tout le reste est à l'avenant, si bien qu'il m'est tombé des mains. Je n'ose pas noter les mots qui me viennent à l'esprit en revenant sur cette lecture inachevée : invraissemblable, stupide, ennuyeuse, caricaturale, etc…. L'engouement pour cette littérature à mon avis retombera..

Depuis longtemps, je voulais lire ce livre qui m'avait été recommandé chaudement et dont les critiques élogieuses en faisait pour beaucoup un bijou.
D'aucun diraient qu'on ne peut pas ne pas aimer les classiques! C'est de la grande littérature ! C'est dur, oui , mais la vie est dure....

Eh bien, en ce qui me concerne, je n'ai pas adhéré du tout ! Je n'ai pas trouvé Grenouille particulièrement attachant ,les mobiles de crime complètement absurdes et j'ai trouvé la scène finale particulièrement atroce....
Je n'ai peut-être pas compris toute la subtilité de ce texte, et je ne demande qu'a la percevoir, peut-être lors d'une deuxième lecture, mais cette fois je suis passée complètement à côté ! Mais ce n'est que mon avis.

Au risque de me faire huer, je dirai que j'ai détesté ce livre. Et pourtant le titre lui même invitait à l'enchantement. Je me figurai déjà l'histoire d'un modeste jeune homme rencontrant le succès dans la haute société de son temps grâce à son don exceptionnel de "nez" et gravissant les échelons sociaux trop bien verrouillés... Il n'en fut rien.
Même si j'ai été heureuse d'apprendre les différents procédés d'extraction des parfums, je suis restée de marbre devant le personnage principal qui n'invite à aucune sympathie tant il est "sociopathe" comme disent les américains. Je ne me suis même pas amusée à le détester. Et la fin... complètement tirée par les cheveux... ah non, c'en est trop !

Je ne vois que d'éloge sur ce livre dans la page des critiques ! C'est pourquoi je me sens comme le vilain petit canard car je n'ai vraiment pas aimé...

Un classique certes, mais je me suis ennuyée...ennuyée comme jamais. le fond de l'histoire est intéressant mais le style d'écriture m'a empêché d'y plonger vraiment ! Ce livre manque cruellement de dialogue à mon goût, et en même temps d'action pour me réveiller.
Ce n'est que mon avis personnel, mais je trouve qu'il est beaucoup trop gorgé de descriptions ce qui le rend bien longuet !

Je ne retiens donc que les premiers chapitres où l'on découvre l'enfance de Grenouille et les derniers, où l'on comprend enfin ce qu'il a dans la tête.

Contrairement à la plupart de mes amis, je n'ai pas du tout aimé ce livre. J'ai été d'autant plus déçue qu'on m'en avait dit le plus grand bien et que les critiques étaient excellentes. Mais malgré mes bonnes dispositions de départ et tous mes efforts ensuite, je n'ai pas réussi à accrocher.
Sans doute parce qu'il est difficile d'aimer un livre quand on trouve le personnage principal détestable.

Un Victor Hugo sans le génie...

Je rejoins le cercle fermé des avis très mitigés. J'espère que ma réserve apportera au moins de la crédibilité aux autres avis: que penser en effet d'un livre qui ferait l'absolue unanimité!? En warning : j'avais vu l'adaptation cinématographique avant de lire le roman, ce qui peut jouer sur mon jugement.

Ce livre est souvent élevé au rang de chef d'oeuvre (et figure même, dans certaines listes, parmi les meilleurs romans de tous les temps !). Les mots ont tout de même un sens et quand cette couleur est annoncée, on se compare aux meilleurs : Flaubert, Hugo, Dumas, Balzac, Dostoïevski, Tolstoï ou Dickens... A côté d'eux, ce livre-là est une toute petite chose et si chef-d'oeuvre il y a, il ne l'est qu'à vue de nez (comme le dit, peut-être ironiquement, B. Pivot, en 4ème de couverture).

L'idée était pourtant excellente et promesse de superbes pages sur les odeurs, les parfums, la sensualité et l'érotisme des corps féminins. Résultat : un réchauffé de roman du XIXème mais décharné, sans envolé, sans romantisme, sans style, sans génie et sans humour. Je me suis ennuyé et me suis forcé à le terminer en me disant que certainement quelque chose allait enfin se passer.

Il y a certes quelques belles pages sur l'artisanat du parfumeur et sur l'ivresse qu'exhalent les jeunes filles en fleur, si bien qu'en coupant dans le gras et en ne gardant que l'essence du texte, peut-être cela aurait-il pu faire une excellente nouvelle au lieu de quoi, il m'a semblé que l'auteur, ne voulant pas gâcher une si bonne idée, a bourré son roman de ouate inutile et de personnages secondaires sans relief, abandonnés au fil du récit comme des papiers testeurs.

Alors, aux personnes que j'aurais pu aider et qui chercheraient un autre livre à lire, je proposerais plutôt le trop méconnu "L'Homme qui rit" de V.Hugo, beaucoup plus fort à mon avis. Pour le coup, préparez vos mouchoirs.

Je n'ai définitivement pas aimé ce livre. Je ne fais pas partie de ces innombrables lecteurs qui le classent dans la catégorie best-seller. Plus j'avançais dans ma lecture, moins j'ai aimé le lire. Je me suis cependant accrochée espérant trouver un virage, un moment qui fait que : génial !
L'histoire ne m'a pas captivée. J'ai eu l'impression de lire une succession de faits chronologiques, juxtaposés, additionnés, sans âme, sans réflexion. Je n'ai pas été touchée ni par l'intrigue ni par les personnages. Je n'ai éprouvé ni antipathie ni sympathie pour ce Jean-Baptiste Grenouille. Je pense que le style d'écriture ne m'a pas embarquée. Les détails sont à foison et même si j'ai pu sauter de longs paragraphes à plusieurs reprises, je n'ai pas perdu le fil. Les descriptions trop longues ne m'ont pas aidée à apprécier ce roman.
Cela reste un avis très personnel et rien de mieux que le lire pour s'en faire une opinion. Surtout que beaucoup de lecteurs l'ont aimé. Alors, à vous !

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