Georges Carpioni part à La Garde Freinet car le micro poste de police de Vinon sur Verdon ferme. A peine a-t-il le temps de saluer son nouveau collègue, et encore moins de poser ses bagages, qu'il doit se rendre le lieu du meurtre d'un vététiste.
Christ Tabbart étoffe ce personnage d'un volume à l'autre, tout en mettant en retraite la bande des sexagénaires énervés.
Même si Georges n'est pas haut en couleurs comme la bande de doux excentriques dont son père fait partie, il devient de plus en plus attachant et s'adoucit progressivement.
Ce tome, comme tous les autres de la série et de celles des 'sexagénaires énervés', se déroule dans un coin de Provence, en l'occurence à La Garde Freinet, paradis de vététistes.
Le personnage excentrique de ce tome est, bien malgré lui, le solitaire qui découvre le cadavre du vététiste : tomber un cadavre c'est rude, mais quant cela ne reste pas le seul, on ne peut malgré tout s'empêcher de rire.
Avec plaisir une prochaine aventure de Georges !
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