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sur 681 notes
Le petit copain / Donna Tartt
Dans une petite ville du Mississipi nommée Alexandria, Harriet Cleve Dufresnes grandit dans l'ombre de son frère Robin disparu alors qu'elle n'était qu'un bébé de quelques mois. Dans le prologue de ce curieux roman sont exposées les circonstances dans lesquelles on a retrouvé le garçon mort, pendu à un arbre du jardin. Les conclusions de l'enquête ont abouti à un meurtre dont l'auteur n'a jamais pu être identifié malgré les années et la famille, et surtout Charlotte la mère qui vit depuis comme un zombi sous tranquillisants, ne s'est jamais remise de cette tragédie.
Douze années ont passé et commence alors le récit proprement dit. Harriet, qui a toujours été un élément perturbateur au sein de la famille, a à présent douze ans. Elle a une soeur, Allison, qui a seize ans et qui elle aussi vit comme une ombre. Quant au père, Dixon Cleve Dufresnes, depuis le jour du drame, il est la plupart du temps absent en principe accaparé par son travail à Nashville dans le Tennessee. Un père qui n'a jamais été un père ni un mari en fait. Les tantes de Charlotte qui habitent dans le voisinage ont tout fait pour tenter de faire sortir leur nièce de la dépression, que ce soit Libby ou Tat.
Harriet, enfant intrépide et même parfois impolie, est donc le plus souvent livrée à elle-même. Excellente élève au collège, ses professeurs avouent ne pas savoir comment la prendre. Hautaine avec tous, dénuée de tout humour, tyrannique même elle exaspère son monde. Elle préfère la compagnie des garçons à celle des filles. Seule sa grand-mère Edie veille sur elle dans la mesure où elle le peut, en raison du caractère bien trempé de sa petite-fille qui a tendance à vivre dans un monde imaginaire, son frère Robin représentant le lien avec un glorieux passé qu'elle connaît seulement par des récits et des photographies entrevues dans les albums de famille. Farouchement déterminée et d'une précocité étonnante pour ses douze ans, elle est imprégnée de littérature d'aventure, dévorant Stevenson, Kipling et Conan Doyle. Elle a également une passion pour des personnages comme Jeanne d'Arc et Jésus, ainsi que pour l'archéologie. Elle s'est fixé un objectif bien précis, trouver l'assassin de Robin et exercer sa vengeance. Et son unique allié dans cette entreprise est son copain d'école Hely.
Harriet et Hely au cours de leurs investigations vont de découvertes en découvertes les plus surprenantes : ils découvrent le monde obscur des adultes où des prédicateurs illuminés viennent semer le trouble, et où des criminels et des trafiquants rôdent.
Tout semblait prêt pour passer un bon moment de lecture, mais il faut dire qu'au terme des 846 pages de ce long roman, on ne peut à mon avis qu'être déçu. Tout s'annonçait bien pourtant avec une énigme à résoudre. Mais l'auteure s'est perdue dans une narration de détails de tous ordres et des longueurs à n'en plus finir qui n'ont rien à voir avec le sujet et noient le lecteur dans une torpeur hypnagogique irrésistible. La quatrième de couverture était alléchante et prometteuse, on attendait un dénouement surprenant. Arrivé péniblement au bout de ce pavé indigeste, de cette logorrhée soporifique, je me demande encore qui a bien pu tuer le petit Robin tant les pistes se sont embrouillées pour arriver à une fin insipide et absurde. Même les personnages ne sont pas sympathiques. Ils sont même inconsistants.
J'avais tant aimé « le Chardonneret » de Donna Tartt ! Puis moins aimé « le Maitre des illusions » ! Alors là, je n'ai pas aimé du tout ! Une perte de temps !


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Le Petit Copain, publié en France en 2003 est le second roman de l'auteure. C'est encore un roman d'apprentissage, bien écrit, donnant des descriptifs excellents afin de nous plonger dans une ambiance luxuriante et étouffante du Mississippi, Deep South nord-américain, où dans les années 70 du siècle dernier existait encore de vraies castes avec les couleurs de peau, de rang social et de religion.

Le Petit Copain est une fresque familiale, un pavé de plus de 800 pages que j'ai eu beaucoup de mal à lire; je me suis ennuyée même si la trame me paraissait intéressante par moments et même si cette histoire de famille dysfonctionnelle était prenante. J'ai trouvé beaucoup trop de digressions, un rajout permanent de personnages, trop de personnages qui égaraient par moments la lecture. Aussi, je n'ai pas ressenti de l'empathie pour tout ce monde, y compris pour l'héroïne du roman, Harriet, une ineffable gamine de 12 ans qui a une psychologie impropre de son âge.

Nous sommes à Alexandria (nom fictif) chez les Cleve Dufresnes, une famille puissante autrefois, un peu sur le déclin dans les temps du roman. Cette famille a été détruite par l'assassinat il y a 12 ans du fils ainé, meurtre non résolu. A partir de cet acte atroce, cette famille va se disloquer et à l'âge de 12 ans (elle était bébé lors des faits), Harriet voudra retrouver l'assassin de son frère aîné afin de faire justice et de réparer en quelque sorte les dégâts psychologiques sur sa famille.

Cette gamine va se retrouver dans des situations complètement tirées par les cheveux et il n'y aura pas un adulte responsable qui pourra deviner le guêpier dans lequel elle va se fourrer.

Les 800 pages du livre serviront à faire progresser l'enquête de Harriet avec quelques moments de tension extrême comme par exemple les scènes avec des serpents venimeux. Il y a dans ce roman aussi, beaucoup de violence, et c'est souvent le cas dans la littérature nord-américaine.

Pour moi ce roman est devenu intéressant par les clivages tellement typiques de l'Amérique du Nord qu'il nous montre : le monde des nantis et des pauvres, l'hétérogénéité religieuse de ce pays où les gens sont étiquetés « baptistes » ou « mormons » ou autres, avant même d'être catalogués comme bonne ou mauvaise personne, le racisme sous jacent entre les races, les blancs très pauvres dits rednecks, donnant parfois de véritables zombies.

Un roman riche en atmosphères nous montrant un univers claustrophobique mais un texte trop long.
Lien : https://pasiondelalectura.wo..
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Il y a trop de descriptions, de détails qui n'apportent rien à l'histoire mais qui en plus font trainer en longueur l'arrivée de l'intrigue. Si on peut appeler ça une intrigue. D'où l'arrêt de la lecture de ce livre au bout de 100 pages. J'ai quand même voulu aller jusqu'au bout au cas où. Je 'ai reprise...Mais non, c'est vraiment décevant surtout la fin. A déconseiller!!! Quoi que si vous avez des insomnies, lire quelques pages et vous dormirez comme un bébé.
Lien : https://www.babelio.com/livr..
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Le petit copain.
Donna TARTT

Harriet était un petit bébé et sa soeur Allison une toute petite fille quand Robin leur grand frère de 8 ans a été tué.
Retrouvé mort suspendu à sa propre balançoire dans le jardin familial devant Harriet et Allison le jour de son anniversaire.
Rien vu.
Rien entendu.
Pendant des années cette famille va évoluer insidieusement.
Charlotte (la mère) vivra dans une dépression d'où elle ne verra plus rien de sa vie familiale.
Dixon (le père) préférera s'éloigner sous prétexte d'obligation professionnelle en délaissant sa famille.
Heureusement il y a Edith, la grand-mère à la main de fer qui régente cette famille entourée de ses 3 soeurs.
Puis un jour aux alentours de ses 12 ans Harriet entend de la bouche d'Ida la servante noire que l'assassin de Robin est un des sales types du coin, un des frères Radcliff.
Aidée de son seul ami, Ida va fomenter un plan pour obtenir la vérité et les aveux.
Mais à seulement 12 ans peut-elle espérer y réussir sans y laisser sa vie elle aussi ?
Dans une atmosphère moite et languissante propre au Mississippi j'ai beaucoup aimé la première partie puis la dernière.
Entre les deux j'ai trouvé beaucoup de pages plutôt lentes et sans grand intérêt.
Mais cette petite Harriet est une teigne, un pitbull qui ne lâche jamais.
Et Edith une force de la nature.
J'ai aimé y trouver un petit côté « Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur ».
Des décors un peu surannés des années 1960 et cette liberté qu'avaient les enfants de sortir en vélo ou à pieds sans surveillance…
Le temps béni de l'insouciance.y


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Une enfant intrépide, un copain prêt à tout pour avoir l'assentiment de cette enfant, ajoutez à cela une histoire familiale endeuillée par le décès du grand frère lorsqu'il était enfant laissant planer le doute sur un éventuel homicide, il ne manque plus que la famille de voyous pouvant représenter cet homicide et voilà réunis les ingrédients de l'intrigue du roman de Donna Tartt.

Harriet élucidera-t'elle les circonstances nébuleuses qui entourent la mort du frère qu'elle n'a pas connu? Jusqu'où ira t elle pour obtenir des réponses ? Obtiendra t elle vengeance ?

Il faudra s'armer de patience pour le découvrir, Donna Tartt prenant bien son temps pour lancer l'action et s'amusant à alterner les points de vue pour nous mener jusqu'à l'ultime instant de vérité.
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Ce livre est une déception. J'avais adoré le chardonneretle maitre des illusions mais là j'ai du "lâcher l'affaire" à la page 189. Je me suis perdu dans cette lecture. Pas passionné par l'histoire. le livre est bien écrit mais le récit se perd dans des disgressions. C'est dommage car je retrouvais dans le personnage d'Harriet celui de SCOUT dans "ne tirez pas sur l'oiseau moqueur". La lecture est un plaisir lorsqu'elle devient un pensum je passe à autre chose.
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Retour de lecture sur "Le petit copain" deuxième roman de Donna Tartt, publié en 2003, 10 ans après son premier roman bien plus connu "Le maître des illusions". Ce livre raconte l'histoire d'une gamine de 12 ans qui vit dans l'état du Mississippi au cours des années 70 au sein d'une famille totalement disloquée suite à l'assassinat de son frère, cela peu de temps après sa naissance à elle. Elle décide de le venger et cette vengeance devient alors une quête initiatique au cours de laquelle cette jeune fille, Harriet Cleve, sera confrontée au monde des adultes et à sa dureté. Elle affrontera ainsi une famille de malfrats totalement disjonctés, très éloignée de son milieu habituel. Ce livre est particulièrement impressionnant par la qualité et la justesse avec laquelle l'auteure nous décrit cet endroit perdu du Mississippi. On a vraiment l'impression d'y être. Tout y est, les champs de coton, la torpeur du sud, les grandes bâtisses avec colonnes, le blues, la domestique noire, les friches abandonnées...On évolue dans un univers digne de Faulkner. Les personnages sont tous très bien travaillés et détaillés, avec une psychologie très riche, notamment pour le personnage principal, Harriet, qui malgré son comportement d'adolescente reste très attachante. L'écriture de Donna Tartt est très belle, poétique et envoûtante avec une qualité descriptive exceptionnelle. le livre a néanmoins quelques passages à vide, clairement soporifiques, notamment après le premier tiers. Mais une fois passé ce cap, il se lit de manière très agréable, malgré le fait qu'il ne se passe finalement pas grand chose. Ces passages à vide semblent totalement assumés par Donna Tartt. Elle déroule son histoire sans vraiment s'occuper du lecteur. Aucune concession n'est faite, que ce soit pour la longueur du roman, le niveau élevé de détails, le peu de repères de datation ou pour l'intrigue principale, le meurtre du frère. Ce meurtre, qui est pourtant le point de départ de toute cette histoire, devient lui-même presque secondaire. Contrairement à ce que l'on pourrait croire au début du roman, on n'est pas vraiment dans un polar mais plutôt dans un roman d'aventures. La principale force de Donna Tartt, est d'arriver à nous captiver avec juste un climat, un environnement, et des personnages tous magnifiquement bien travaillés. Au final, un livre un peu long, avec quelques passages ennuyeux, mais une expérience de lecture qui reste passionnante.
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Autant un chef-d'oeuvre qu'un calvaire pour ma part, je serais incapable de lui donner une note !
J'avais tellement aimé les autres livres de Donna Tartt (surtout le Chardonneret) que je me suis plongée dans celui-ci sans même me questionner. J'avoue avoir vite déchanté quand j'ai constaté que, dès le début, je trouvais ça long et barbant, alors même que je suis généralement friande de longues descriptions, de longues présentations de contexte et personnages etc... Mais là j'ai trouvé que c'était trop, même pour du Tartt. Bien sûr, c'est bien écrit, l'ambiance moite du sud des États-Unis est extrêmement réussie et prend aux tripes mais il n'empêche que c'était chiant !! Je me suis perdue dans les intrigues et anecdotes sans aucun rapport avec l'intrigue principale, j'ai confondu les personnages jusqu'à la toute fin (Edie et Hely...mon cerveau n'a pas voulu enregistrer l'info) et au bout du compte, même dans les scènes d'action, j'étais peu investie. Les personnages sont travaillés mais pas attachants du tout (ce qui était le cas dans les autres livres de Tartt mais ici j'ai trouvé ça particulièrement dérangeant parce que le reste ne me plaisait pas assez pour compenser) et globalement je me fichais bien de ce qui pouvait arriver à Hariet.
Et pour autant, j'ai continué ma lecture jusqu'au bout, lu plusieurs centaines de pages par jour parfois donc je ne peux pas dire que j'ai détesté non plus. Comme beaucoup l'ont précédemment évoqué, effectivement il ne s'agit pas tant d'une enquête que d'un coming of age, ce qui ne m'a pas foncièrement dérangé (et contrairement à d'autres, j'ai plutôt aimé la fin) mais le résumé mériterait d'être modifié, pour qu'on sache à quoi s'attendre en se lançant dans la lecture.
En résumé, disons que je reconnais le talent et le travail derrière le livre mais qu'il n'a pas su me toucher. En gros, lisez-le pour vous faire votre propre avis, c'est la seule solution !
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Tout d'abord, je pense qu'il est important de ne pas s'attendre à ce que ce livre soit un roman policier même s' il y a une mort déchirante qui précipite l'histoire et qui sert de motivation à la protagoniste, Harriet, 12 ans, qui cherche le coupable, le meurtrier de son grand frère mort des années auparavant. Savez-vous que j'ai lu des commentaires très injurieux sur le site de l'auteure peu de temps après la sortie du livre parce qu'ils attendaient un "vrai polar" avec un "vrai meurtrier" et une fin "logique"? Ce n'est pas le cas! Non, le sujet du livre est l'introduction dans un monde adulte plus cruel que celui de la petite Harriet ou du moins celui qu'elle imagine en dévorant des livres comme "L'Île au trésor". Car dans le monde de Donna Tartt, les enfants peuvent partir à l'aventure, mais ils peuvent aussi faire des erreurs, créer le désordre et même faire du mal sans s'en rendre compte!
J'avais tant aimé ce personnage, Harriet, tellement elle-même et tellement attachante! En grandissant, l'héroïne, Harriet apprend aussi quelques vérités difficiles à accepter : Ida, sa nounou et gouvernante afro-américaine adorée, ne l'aime pas en retour. Son monde est construit sur un racisme hérité qui se répercute jusqu'à ses propres parents qui ne permettent pas à Ida de boire dans les mêmes verres que la famille. Un sujet très important et surtout ( malheureusement) très réaliste: n'oublions pas que l'action se déroule dans la ville fictive d'Alexandria dans l'état du Mississippi et que Donna Tartt est née le 23 décembre 1963 à Greenwood dans le Mississippi).
Au début des années 1960, le jour de la fête des mères, Robin, neuf ans, s'éclipse de la maison juste avant le dîner et ne revient jamais. On finit par le retrouver pendu à un arbre dans le jardin. Personne n'a rien remarqué, pas une trace du meurtrier. Les seuls témoins silencieux sont les petites soeurs de la victime: Allison, quatre ans et le bébé Harriet, qui étaient assises ensemble dans la véranda. L'action réelle du livre se déroule donc au milieu des années '70, lorsque Harriet a douze ans. Un monde presque intemporel, si ce n'est les références aux programmes télévisés et à la musique pop-rock de l'époque. Entre-temps, la famille s'est désagrégée : le père s'est enfui, la mère 'anesthésie mentalement" en abusant de médicaments et ce sont les grand-tantes, la grand-mère et la gouvernante qui font vivre la famille. Inspirée par de grands exemples de la littérature enfantine tels que L'île au trésor, Huckleberry Finn, Sherlock Holmes, Hou-dini et Peter Pan et par le besoin d'avoir un but dans la vie, Harriet décide de démasquer le meurtrier de son frère. Pour ce faire, elle reçoit l'aide de son ami Hely, son Watson personnel. Plus qu'un thriller, il s'agit d'un roman intriguant dans lequel le personnage principal doit traverser bien des épreuves en quelques semaines. Qu'elle réussisse ou non à percer le secret, Harriet est tenue en haute estime par Hely, qui la considère comme un génie.
Il y a beaucoup de tropes du Sud des états-unis dans ce livre: le racisme, le classisme, la pauvreté, les drogues, la religion - et oui, tous ces serpents !
J'ai trouvé ce roman tout simplement magnifique! Puissant, profond et sombre, fascinant et poétique, tout simplement magnifiquement écrit. Et j'ai adoré l'humour de l'auteure, (beaucoup d'humour noir). Ce livre a suscité tant de sentiments en moi, la tristesse, l'intérêt pour l'aspect historique et le lieu du déroulement du récit, une sympathie profonde pour cette petite fille qui me rappelait sans doute un peu mon enfance et le rire! J'ai ri aux larmes en lisant certains passages.
Je me rends compte, des années plus tard, que je n'avais toujours pas rendu hommage à un des trois livres de cette grande auteure que je trouve formidable comme ce deuxième roman inclassable, sorti en 2002, dix ans après le magnifique "Le maitre des illusions" et dix ans avant "Le chardonneret" (que je trouve, bien entendu, aussi superbe). En y pensant, nous sommes en 2022, une décennie s'est écoulée depuis la publication de "Le chardonneret", alors, à quand le prochain rendez-vous, la découverte d'une quatrième oeuvre de Miss Tartt?
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Je ne m'attendais pas à ce récit.
Je me suis ennuyé au cours de ce livre.
Je pensais à une histoire d'amour vu la photo sur la couverture… Je m'attendais à en savoir plus sur ce qui était arrivé à Robin… Je souhaitais dénuder plus de sentiment sur le désespoir de Charlotte ou d'Allison…
Enfin bref, le maître des illusions fut pour moi un chef-d'oeuvre… Celui-ci ne sera pas… Gravé… dans ma mémoire…

Bonne lecture !
Lien : https://angelscath.blogspot...
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