J'ai avalé les 300 premières pages en deux nuits, les 30 dernières en 2 semaines. C'est peu de dire que je n'avais pas envie de clore ce livre.
Contrairement à ce que pourrait laisser croire le titre, « le journal d'un mère en deuil » respire la vie, l'amour. Cet amour qui devrait être notre fil conducteur à nous tous et que «
Salwa Tazi », maman désenfantée, a brillamment su transmettre à travers cette expérience douloureuse et injuste qu'est la mort de son enfant. Une mort considérée non pas comme la FIN mais plutôt faisant partie intégrante de la vie, une simple étape. L'âme est immortelle, elle est amour, elle est lumière. Ce livre est bien entendu un message d'espoir et une leçon de courage salutaire pour toutes les personnes qui sont dans une situation de désespoir similaire.
Bonne lecture à tous !