Karoo

Je peux dire que je l'ai lu !
j'ai pas dépassé les 100 premières pages. Et je suis passée directement aux dernières pour savoir comment ça se termine. Nul !
Télérama dit : "chef d'oeuvre" ! ah! ouais... ça un chef d'oeuvre ????? bon, vous me direz c'est Télérama ! Ça peut se comprendre...
Déjà que dans la vie de tous les jours les gens ne sont pas beaux et bons, qu'à la télé on nous sert des personnages toujours en marge, dans des situations glauques où on nous montre la laideur partout et en plus il faudrait se farcir ce genre de lecture ?
Non, non et non.
Je sais, j'étais pas obligée de l'acheter, mais la tentation me direz vous ? Voilà j'ai été tentée et je le regrette. Alors je vais le revendre. Ou le donner. Ou le jeter....

Je pense et à la reflexion, j'en suis même sure , que je suis complètement passée à coté... ce livre restera une énigme ; heureusement je ne l'ai pas acheté, j'aurai vraiment regretté mon argent ! le style est agréable à lire, Karoo est infect, et je n'en retire rien, rien du tout , quelle déception !

C'est un abandon pour moi, malgré de nombreux points positifs que j'ai constaté pour ce livre. J'ai pourtant été attirée par le résumé qui me paraissait original et prometteur, traitant de sujets et d'un milieu qui, d'habitude, me plaisent en littérature.

Nous suivons le personnage de Saul Karoo, écrivaillon reconverti en réécrivain de scénario de mauvais et de bons films. Dans un milieu où strass et paillettes règnent en maîtres, ce personnage cinquantenaire, hypocondriaque et fort critique, voir cynique, envers le monde qui l'entoure, avait quelque chose d'attachant au début du livre. Il m'est devenu antipathique et lourd lorsqu'il se met à élucubrer pour... rien et fait stagner l'histoire. A bout de deux cent page d'exposition de ses points de vue et de ses petits malheurs d'homme riche, j'ai poussé un long soupir et refermé ce livre pour toujours, je l'espère.

La plume de l'auteur m'a cependant charmée. Adaptée au genre, elle dépeint ce personnage avec brio et décrit le milieu dans lequel il évolue sans trop de mots, sans trop d'images, jouant sur les non-dits.

Il plaira sans doute mieux à des lecteurs qui apprécient les longues diatribes pseudo-philosophiques et les amateurs des citadins américains. Je laisse passer mon tour pour ce livre.

Que penser de Karoo ?
Le style et le rythme en font un roman qui se lit assez vite. Heureusement car 600 pages avec un départ aussi mou, c'était pas gagné.

L'histoire aurait pu être pliée en moitié moins de lignes... l'auteur explore plein de pistes pour les abandonner en cours de route et se concentrer sur des détails... tant de détails... trop de détails !

Le personnage ne m'a pas attiré de sympathie mais pas franchement d'antipathie non plus. Son côté antihéros n'est pas vraiment creusé, c'est dommage.

Il y avait tout pour faire une histoire palpitante et on se retrouve avec un truc mou, mais surtout bien glauque dans l'idée.

Pour finir, l'impression que j'ai en fermant le livre, c'est "Quelle tristesse... mais quelle tristesse...j'aurais pas aimé être dans la tête de cet auteur !"

Et le final, non mais par pitié...

Bref, je l'ai lu, jai réussi à le finir avec l'espoir d'une fin époustouflante... j'ai été déçue. Tant pis.

Abandonné.
C'est rare que cela m'arrive, mais là... pas emballé du tout.
Malgré mes efforts, je ne suis pas arrivé à rentrer dans le roman.
Une prochaine fois peut-être ?

Un achat compulsif à l'époque… Rien ne m'a attiré dans ce roman à part la couverture brillante. Karoo trouvera certainement d'autres lecteurs que moi pour l'apprécier…Peut-être, devrais-je reprendre la lecture plus tard ?

Quel est l'intérêt de ce roman ? Je me le demande encore. Pourtant le postulat de départ était intéressant et ça m'a vraiment intéressé pendant les cent-cinquante premières pages. Et puis, ça m'a complètement lassé. Mais vraiment ! Moi qui attendais un personnage principal hors du commun, je me retrouve avec une caricature d'américain qui a réussit. de plus, le secret qui le lie à Leila n'a rien d'un secret puisqu'il nous est révélé dès le début. Autant dire qu'il n'y a aucun suspens. Vraiment aucun. Tout ce qui arrive se devine aisément. J'ai presque du mal à comprendre l'engouement qu'il y a eu sur ce roman. Presque, parce que la vente n'est qu'une question de communication … Grâce à ça, de petits bijoux continuent à être inconnus dans le monde littéraire, alors que certains navets se vendent à plusieurs millions d'exemplaires car les auteurs ont, d'ors et déjà, un nom. Je ne pense vraiment pas me lancer dans la lecture de Price, le second roman de cet auteur. Trop peur d'être déçue … Trop peur de perdre mon temps … Trop peur de devoir, à nouveau, lire en diagonale tant je m'ennuierais. Bref, ce n'est, à mes yeux, pas une réussite et ça m'énerve grandement de perdre du temps sur ce genre de roman sans but.

Je pense que c'est le genre de livre qu'on adore ou qu'on déteste. Pour ma part la magie n'a pas du tout opérée et si je l'ai terminé c'est uniquement parce que j'ai horreur d'abandonner un livre en cours.

Je n'ai pas réussi à rentrer dans l'histoire et à suivre le protagoniste antipathique. J'ai abandonné

Très vite abandonné, pas du tout aimé le style ni l'histoire.