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Julia Thévenot (Autre)
EAN : 9782377315994
144 pages
Sarbacane (07/04/2021)
3.84/5   230 notes
Résumé :
Yliès et Pénélope, ça sonne comme un couple fait pour s’aimer, un duo romantique de lettrés ; c’est musical, gourmand, sucré-calé. Alors pourquoi Pénélope ne l’aime-t-elle pas, Yliès, hein ? Elle joue avec lui, en plus, sérieux : du jour où elle l’a rencontré, elle a su qu’elle lui plaisait. Elle l’a senti, compris. Alors pourquoi, pourquoi, l’a-t-elle laissé s’approcher, s’amouracher, se glisser dans son quotidien et ses amitiés, aller aussi loin, aussi près ? Pour... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (89) Voir plus Ajouter une critique
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Yliès est amoureux de Pénélope mais Pénélope apprécie Yliès sans l'aimer. Une histoire très fréquente, mais que finalement nous ne rencontrons que rarement dans la littérature adolescente, encore plus du point de vue de la personne qui n'aime pas.

Lettre à toi qui m'aimes est un très court roman intéressant. Véritable déclaration de non-amour, Pénélope exprime ses sentiments les plus sincères à Yliès de façon respectueuse et droite. Pénélope et Yliès font partie d'un même groupe de rock et c'est directement le coup de foudre du côté d'Yliès. Porté par un environnement très rock et punk, nous découvrons cette histoire d'amour qui n'en est pas vraiment une. Bien qu'elle ne ressente pas la même chose que lui, elle s'attache à ce jeune adolescent sympathique et tendre.

Un roman vraiment intéressant et qui fait réfléchir également sur la place de la personne qui n'aime pas et qui est tout à fait dans son bon droit. le peu de pages du roman est parfait pour le thème traité et évite de tourner en rond. Une lecture que je conseille !
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J'avais tellement entendu parler de Julia Thévenot lors de la sortie de son premier roman Bordeterre que j'ai voulu découvrir sa plume avec cette nouvelle parution, Lettre à toi qui m'aimes. Bien sûr, c'est complètement différent : le premier était un roman fantasy, le second une histoire d'amour ratée. Mais ça me donne une bonne idée de l'univers de l'autrice, et ça m'incite à en découvrir plus !

Aimer sans être aimé en retour, c'est une situation qu'on a tous vécue un jour ou l'autre. C'est d'ailleurs un thème assez commun de la littérature. Ce qui l'est moins, c'est de dépeindre la situation du point de vue inverse, et de choisir comme narrateur celui qui est aimé sans aimer lui-même. C'est le cas de Pénélope, qui écrit une lettre à Yliès, le garçon qui a jeté son dévolu sur elle. le groupe de rock de Pénélope, qu'elle forme avec deux copains, recherche un nouveau guitariste. Lorsque Yliès se présente pour une audition, il tombe immédiatement sous le charme de la jeune fille. de son côté, elle s'entend bien avec lui, comme les autres membres du groupe, et si au début ce gentil flirt l'amuse, elle réalise vite que le garçon rêve de bien plus. Coriace, il ne lâche rien, lui lance des piques et des oeillades enamourées à chaque occasion, et la situation devient gênante pour tout le monde, aussi Pénélope se doit-elle donc de mettre les choses au point.

C'est le but de cette "lettre", où la jeune fille s'adresse directement à celui qui l'aime, ce qui rend ce texte si particulier. La forme, d'abord, saute aux yeux : c'est un roman en vers libres, pratique qui se répand ces dernières années, et qui est toujours aussi savoureuse. C'est encore une fois un challenge réussi ici, qui insuffle un rythme incroyable au texte. Mais l'autrice ne s'arrête pas là dans l'exercice de style. Comme le titre l'indique, c'est une lettre, que Pénélope adresse à Yliès, pour reprendre le fil de leur non-histoire d'amour depuis le début, et ainsi rappeler que, si elle n'a rien fait pour repousser le garçon, elle n'a franchement pas non plus tenté de le séduire. Ainsi, le texte est donc écrit à la deuxième personne du singulier, forme bien plus rare, qui a dû demander une certaine dose de virtuosité. Tout cela donne une véritable personnalité au texte, et le rend remarquable.

Sur le fond, il y a aussi beaucoup à dire. Comme je l'ai déjà souligné, le propos est rare et pourtant important, c'est une partie des histoires d'amour à faire connaître aux adolescents, afin de leur rappeler que non, tout n'est pas toujours réciproque, et que les jolies filles ne finissent pas toutes par tomber sous le charme des garçons qui ont jeté leur dévolu sur elles. Pourtant, j'ai été marquée par le fait que, aux yeux de son entourage, Pénélope est d'abord vue comme la première coupable de cette situation. Pourtant ses deux amis avaient bien vus, eux aussi, le manège d'Yliès, et ne se faisaient aucune illusion sur ce qu'il ressentait. Quand les choses deviennent plus compliquées, Dudley, le meilleur ami de Pénélope en vient même à lui reprocher de ne pas se laisser aimer, de ne pas tenter de sortir avec Yliès, pour voir. Cette situation en rappelle bien d'autres, où le garçon qui n'obtient pas l'amour de sa belle se croit en échec, où la jeune fille qui ne cède pas fait sa difficile. Mais Dudley n'est pas l'ami d'enfance de Pénélope pour rien, et il réalise vite que ce qu'il lui demande est profondément injuste. Les choses finissent donc pas rentrer dans l'ordre, même si avec une légère amertume, et ce roman met le doigt sur quelque chose de terriblement problématique dans la façon dont nous voyons la place de la femme dans l'amitié et le couple. A la lumière de cela, nous repassons en revue nos propres histoires d'amour, les erreurs de perception, ce que nous aurions pu éviter.

Une belle découverte, un texte à mettre entre les mains des adolescents, pour leur rappeler qu'en amour, tout n'est pas comme dans les livres. Enfin si, mais que pour cela, il faut aussi lire les bons livres, où les histoires d'amour finissent mal, ou ne commencent pas, et où ce n'est pas grave, la vie continue.
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On connaît l'amour non réciproque, on le connaît presque par coeur, parce qu'on l'a vu au cinéma, parce qu'on l'a vécu ou parce qu'on l'a lu. Alors ça y est, on sait ce que c'est d'aimer sans l'être en retour : on nous a contés toutes les facettes du coeur brisé, toutes les intrigues d'une histoire d'amour ratée. Et le coupable parfait, c'est lui (ou elle) : c'est celui (ou celle) qui n'aime pas en retour, qui refuse l'amour qu'on lui porte, le culte qu'on lui voue, ou qui en joue de façon malsaine.

Ici, Yliès aime Penelope, et Penelope ne l'aime pas.

Julia Thévenot nous offre une version différente du coeur brisé et de l'histoire d'amour ratée. Sous sa plume, on découvre l'histoire selon Penelope, une chanteuse avant d'être une adolescente, une fille de seize ans entourée d'une « constellation de garçons » qu'elle aime regarder de loin, parce que Penelope, ce qu'elle préfère c'est faire de la musique. du jour de leur rencontre jusqu'à l'amour qui fâne, en passant par toutes les tentatives du duo pour se défaire de ce sentiment qui les fait souffrir tous les deux, on les regarde tour à tour tenter de comprendre ce qui leur arrive. Cette lettre de « Penny » à « Romeo » remet en cause la culpabilité de celui qui n'aime pas, nous pousse à revoir notre jugement, celui des autres aussi, et amène une réflexion sur l'amitié parfois accompagnée de cette pointe d'ambiguïté qu'il ne faut pas dépasser. On regarde Penelope réfléchir, lorsqu'elle se revoit sourire à Yliès ou le regarder un peu trop longtemps, se demander si elle s'est joué de lui, si elle l'a encouragé dans ses élans amoureux, si elle l'a poussé à l'aimer finalement. C'est une sorte d'introspection dans laquelle on se retrouve à parler consentement et découverte de soi. Au fur et à mesure de la lecture, on se rend compte, aussi, que Penelope aime profondément Yliès, mais pas de la manière dont il le voudrait et c'est là toute sa tragédie. Parce qu'Yliès, sous le regard des autres personnages, vit un véritable mélodrame, joue la mélodie triste et colérique des coeurs brisés et finit par agacer. On serait presque tenté de le voir comme le coupable de l'histoire mais Julia Thévenot nous dit : "il n'y a pas de coupable".

C'est une lecture légère, brève, rapide, mais puissante de poésie et de réflexions. L'écriture en vers libres apporte un rythme particulier et musical : le livre n'aurait pas pu être écrit autrement. Parce que la place grande est faite à l'art : la musique surtout, mais le théâtre aussi, et par dessus tout la création. La création de soi, la création de nos relations dans toutes leurs nuances, leurs imperfections (qui les rendent justement parfaites). Les personnages sont nuancés ; ni totalement détestables, ni absolument adorables. Penelope et Yliès nous touchent parce qu'ils nous renvoient à nos propres petits tourments, quand, parfois, l'amitié tourne à l'ambiguïté. Et alors ça y est : on sait ce que c'est d'être aimé sans aimer en retour.

Lettre à toi qui m'aimes est une déclaration d'amour et une lettre de rupture tout à la fois.
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Accueillir les amours débutantes.

Tout commence toujours par un regard. Ceux qui comptent sont incandescents, appuyés, doux et forts. Un regard. Tout se joue à ce moment là. le premier regard.
Il y a la voix ensuite. Les intonations, les virgules en fin de phrases qui laissent comme des respirations dans l'air. Intrigantes forcément. Troublantes un peu.
Et puis la peau. Imaginer la peau de l'autre sur la vôtre. Une main qui s'aventure. Et l'épiderme qui réagit instantanément à cette caresse.
Une histoire d'amour commence toujours comme ça (et elles finissent mal, en général).

Mais entre Penny et Roméo, ça commence mal. C'est pourtant une histoire d'amour. D'un amour contrarié et contrariant. Penny, si elle aime le regard que Roméo pose sur elle, si elle est flattée, si elle est touchée par la sensibilité de ce garçon face à elle, n'a justement aucune envie d'être touchée par lui. Sa peau reste muette à l'appel de l'autre.
Roméo, lui, est amoureux, ne comprend pas qu'elle ne comprenne pas, espère, se retrouve face à un mur, y croit encore, envoie des signaux comme le naufragé qu'il est. Il aime. Follement. Éperdument. Comme on aime dans les premiers instants. Malgré tout, malgré elle.

Lettre à toi qui m'aime est un très joli texte, qui se lit d'une traite, se relit sûrement, comme une correspondance amoureuse, déclaration ou lettre de rupture. La vie de chacun est émaillée de ces moments là, des doutes, de l'interrogation qui vrille le coeur : "Tu me plais mais est-ce que moi je te plais ?", de la réponse qui bouleverse tout, qui va du merveilleux et des châteaux en Espagne au désastre et à la totale berezina. L'autrice réussit à en rendre compte dans une langue vibrante, pleine de dialogues et de vie. Ce n'est pas léger pour autant, c'est un angle original, loin des comédies romantiques et des romances en tout genre. Parce qu'il n'est pas si commun de voir un amoureux éconduit. C'est un retour à l'adolescence mais surtout aux amours naissantes. Et peu importe notre âge.
Tout commence par un regard. Une voix ensuite. Et la peau.
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Chère Julia Thévenot,
Je vous écris cette lettre, dans le cadre du défi Babelio de mon lycée. J'ai lu votre livre, "Lettre à toi qui m'aimes" et je souhaite vous donner mon avis le plus sincère sur ma lecture.
J'ai adoré lire votre livre, l'histoire est incroyablement touchante. Je suis dans une passade un peu maussade, c'est pour cela que votre livre est vraiment tombé à pique. Il m'a évoqué de nombreux sentiments comme la peine quand Yliès exprime ce qu'il ressent à Pénélope « tu verras mon coeur cassé qui ne bat que pour toi » (p84), également la déception quand Pénélope l'a « friendzoné » (p78), « je vois très bien, mais je ne ressens pas ça pour toi. » (p57), «je ne t'aime pas. » (p51). Heureusement à la fin du livre, j'ai quand même ressenti de la joie pour Yliès lorsqu'il trouve la bonne personne « Tu es entré, ta Juliette à tes côtés » (p131), « Juliette t'a imité, j'ai cru lire sur tes lèvres le plaisir que tu prenais à lui montrer… » (p131). Votre livre m'a rappelé des moments difficiles de ma vie à cause de l'amour, il m'a permis de me rendre compte que je ne suis pas la seule à être déçue en amour et qu'un jour, peut-être, je trouverai le bonheur comme Roméo et sa Juliette.
J'ai globalement bien aimé vos personnages du groupe de rock « Les Moonatics » comme Jobs, le batteur et Dudley, le bassiste. J'ai eu un coup de coeur pour Yliès, le guitariste car je me suis étrangement identifiée à lui. Par ailleurs, je n'ai pas trop aimé le personnage de Pénélope. Veuillez m'excuser de vous écrire cela, mais je la trouve parfois cruelle dans ses propos « La vérité, Yliès, c'est que je suis cruelle parce que tu m'aimes. » (p96), « j'en viens à contourner ton corps comme pour éviter d'attraper je ne sais quelle démangeaison honteuse, la peste ou la mort » (p96). Pour moi, elle est narcissique, égoïste et égocentrique, elle ne se rend pas compte du mal qu'elle fait à Yliès « est-ce que ça ne m'a pas légèrement plu, tout ça – est-ce que je n'ai pas joué avec toi ? » (p93), « Est-ce que je suis une bitch de ne pas t'aimer ? D'être épuisée, soûlée, gavée de ta vénération fanatique ? » (p94), « On ne demande pas aux gens l'autorisation de les aimer, peut-être qu'on devrait » (p95). de plus, elle mérite ce que Côme lui a infligée quand il l'a trompée « plongé ses yeux noirs dans ceux de Salomé et comme ça, pour rire l'a embrassée. » (p108). Pour ma part, Pénélope représente les garçons qui m'ont fait du mal.
L'histoire en elle-même est géniale mais j'avoue avoir eu un peu de mal à comprendre votre mise en page très atypique qui n'est pas à mon goût comme les pages « 49, 78, 109, 131… ». de plus, le vocabulaire que vous employez m'a parfois dérangée comme « Pétasse ! » (p110), « bitch » (p94), « enculé » (p109), « connard » (p111) ainsi que certaines phrases « passait son temps à faire pousser du cannabis directement dans ses trous de nez » (p11), «Moi aussi je fume des bédos, et pourtant je suis pas en train de te rouler un palot. Merde ! » (p111).  
C'est avec plaisir que j'attends votre réponse afin d'échanger davantage sur votre livre, je vous présente mes sincères salutations.

Lylou L
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Citations et extraits (22) Voir plus Ajouter une citation
“J’aurais peut-être dû faire attention à ton cœur, quand tu me l’as collé dans les bras. Je l’ai piétiné, et ça ne se fait pas - même à petits pas précautionneux, on n’a pas le droit ; on ne brise pas les coeurs, voilà. Je suis désolée. Peut-on briser un cœur avec douceur ? Ça m'a semblé un processus si naturel, je n’ai pas dû l’inventer.
Zut, c’est atroce : j’ai encore l’air de me moquer. Est-ce que je suis une bitch de ne pas t’aimer ? D’être épuisée, soûlée, gavée de ta vénération fanatique ? Tes regards, à force d’insister, m’ont usée ; tes bises appuyées m’ont décapée, irritée. On ne demande pas aux gens l’autorisation de les aimer, peut-être qu’on devrait.
Oui,
j’ai été cruelle,
mais,
c’est le rôle qui m’a été assigné.” (pg 94 & 95)
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Est-ce que je suis une bitch de ne pas t'aimer ? D'être épuisée, soûlée, gavée de ta vénération fanatique ? Tes regards, à force d'insister, m'ont usée ; tes bises appuyées m'ont décapée, irritée. On ne demande pas aux gens l'autorisation de les aimer, peut-être qu'on devrait.
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On a laissé flotter un long moment sans rien dire, à regarder le plafond et à se repasser la conversation. Là-dessus, tu as murmuré l’une de tes citations préférées :

“C’est comme ça qu’on voit si on se plaît avec une personne : quand on peut se taire tout à fait, au moins une minute, et profiter du silence”,

On a hoché la tête, parce que c’était évident que cette question mise en suspens -

On se plaît ?

en fumant notre premier joint à trois, là, tout de suite, on y répondait.

Mais...toi et moi,
est-ce qu’on se plaisait?
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On ne demande pas aux gens l'autorisation de les aimer, peut-être qu'on devrait.
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J’ai dit :
-Je comprends, Yliès, et je sais – j’ai déjà vécu ça, de ne désirer rien d’autre que d’être prise, serrée, écrasée dans les bras de celui qui habite tes nuits et tes journées ; je sais ce que c’est. C’est dingue, dur, et ça te tord les boyaux et ça te flingue la tête, c’est douloureux. Je vois très bien, mais
je ne ressens pas ça pour toi.
Tu es un super
pote,
mais je ne te vois pas comme ça.
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Vidéo de Julia Thévenot
Se re-présenter
Scientifiques, sorcières, écrivaines, femmes oubliées ou femmes silenciées… Violences physiques, violence symbolique, l'Histoire a occulté la place d'une moitié de l'humanité.
Animé par Willy Richert.
Avec les autricesMaram al-Masri (Les Âmes aux pieds nus, Éditions Bruno Doucey),Titiou Lecoq (Les femmes aussi ont fait l'histoire, Les Arènes Jeunesse et Les Grandes Oubliées, Les Arènes),Sandrine Mirza (Histoire de France au féminin, Casterman)et Julia Thévenot (Mille pertuis, vol. 1, La Sorcière sans nombril, Gallimard Jeunesse).
Avec la participation de Lina Aknin et du club de lecture du lycée Charles de Gaulle - Poissy (78).
Un grand merci à Camille Grison, professeure. Et la voix de Cécile Ribault Caillol pour Kibookin.fr
La lecture, c'est du sport !
Je, Olivier Douzou, Rouergue Interprété par Leïla Chik et Alban Gérôme. D'après les illustrations de Violette Vaïsse.Avec le soutien de la Préfecture de la Seine-Saint-Denis.
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