On entre dans ce bouquin avec une grande envie de voyager au Vietnam, et, au fil des écrits on se perd parfois dans un train, souvent dans le village familial de Hang et de sa mère et sa tante et on a beaucoup de peine à garder le fil conducteur du livre.
On est toutefois touché par la sensibilité de cette petite fille qui grandit dans une précarité significative et qui tente de garder estime pour sa mère malgré la rancoeur qui la ronge.
Mais la toile de fond communiste, celle qui est censée nous en dire plus sur une époque, un vécu, un empire, n'est pas assez clair pour moi et se perd dans des descriptions fastidieuses et des à propos inutiles.
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