Rouget de Lisle écrivait à Berlioz, quelques semaines après les journées de Juillet 1830 : " Votre tête paraît être un volcan toujours en éruption ; dans la mienne il n'y eut jamais qu'un feu de paille qui s'éteint en fumant encore un peu. "
L'auteur de la Marseillaise voulait faire le modeste. Il savait bien, au contraire, de quel éclat puissant, superbe, irrésistible avait brillé cette flamme qu'il se plaisait à appeler un feu de paille, et qui, de nos jour... >Voir plus
L'examen attentif des faits nous a démontré de la façon la plus positive qu'il n'est rien de fondé dans ces doutes, que Rouget de Lisle est complètement, absolument, pleinement l'auteur de la musique et des vers de notre chant national.