Quelle douce lecture...
Après, celà comment ne pas aimer sa vie!!!
Avec tout le respect que j ai pour la plume de Tolstoï, ce fut telle une mission suppliciale à accomplir d'arriver sans succomber au bout de cette nouvelle.
L'auteur est parvenu à ses fins, ici, la lourdeur de la mort qui enlace sa cible est plus que pesante, tapie dans l'ombre lorgnant par-dessus notre épaule de lecteur.
Bien sûre, à lire.
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