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3,09

sur 44 notes
Jouons cartes sur table d'emblée pour l'un de ces nouveaux crûs Babelio : la lecture fut pas si mal mais le roman ne m'a que moyennement intéressé, à mon grand désarroi. Pourtant je ne cache pas qu'il a des qualités, évidentes comme peu visibles à première vue. Déjà évidemment, ce titre alléchant de mille promesses à la Rolling Stone. Me and the devil sonne volontairement comme un Sympathy for the devil. L'auteur cite même évidemment son ami Keith Richards. Il cite d'ailleurs pas mal de monde d'ailleurs (coucou Johnny Depp) tout en se mettant en quelque sorte en scène avec plus ou moins de distanciation. Et c'est en même temps déjà le point négatif --en toute subjectivité-- qui m'a gêné : Ce côté je connais du monde, d'ailleurs je vis fort bien à New York et je ne vais pas le cacher avec cet aspect haute culture (l'aspect érudit est omniprésent mais frôle presque la pédanterie) qui cadre avec revenu aisé, bon endroit pour vivre et bonne bouffe (très souvent l'on s'attarde sur la composition d'un plat culinaire, ingrédients --pas si faciles à trouver dans le commerce-- à l'appui !). Une espèce non pas de parisianisme mais quelque chose dans le même esprit bobo, New-Yorkais en sus s'y rapprochant (comprendre que les habitudes de consommation sont les mêmes) avec en plus des passages oscillants entre le Grotesque, l'auto-dérision, le sublime (un peu, nous noyer de mots n'est pas généralement la meilleure option) et la platitude.

Et si même le roman est en soi intéressant, sur les 400 pages qu'il fait environ, il ne commence pour moi à devenir prenant qu'après les 120-140 premières pages. Donc ne décolle véritablement qu'à un bon tiers. Là où chez Haruki Murakami, un roman-fleuve comme 1Q84 perdait pas mal de sa substance dans le troisième tome, donc vers l'approche de la fin (mais on peut pardonner à l'auteur vu que cette attente est justifiée par le lent rapprochement d'Aomame et Tengo), ici on a du mal à raccrocher les wagons dès le début. Il y a de ces livres qui évidemment ne s'en laissent pas compter (personnellement je prends UBIK de Philip K.Dick que j'adore mais qui ne débute véritablement qu'après le 4ème chapitre, l'attentat sur la lune, pour dès lors, ne plus nous lâcher), dont la difficulté est réhaussée par le plaisir de la lecture et quelque chose qui va probablement grandir et nous surprendre agréablement à la fin. Sauf qu'ici, si Tosches veut se rapprocher par exemple d'un certain Bukowski, c'est raté.

Ici je comprends bien sûr la métaphore du vampirisme (se régénérer en buvant le sang d'une jeune fille pendant l'acte sexuel proprement dit... En allant d'ailleurs pas forcément au bout de l'acte en lui-même d'ailleurs) qui peut tout aussi bien découler par ambiguïté de l'arrêt de l'alcoolisme du personnage/narrateur attention, voire même les touches fantastiques induites (la coloration de la pupille) qui finissent par fasciner un peu, j'apprends même des choses (le Baclofène, tiens, tiens...) mais au final je reste sur le pas de la porte (bon sang, quand j'écoute du Arvo Pärt, ça me laisse pantois, la musique me sidère. Je ne vais pas écouter ça en buvant mon petit lait sur le canapé en regardant l'air froid de la ville --oui New York c'est joli, certes-- pour me reposer en attendant ma nana. La musique je la vis comme une communion, mais c'est un point de détail). Trop de points de détails, trop de considérations qui bien souvent chez plein d'écrivains, ralentissent et finissent par énerver, voire faire décrocher le lecteur (et comme il s'agit d'une version aux épreuves "non corrigées" comme dit sur la couverture, on bute sur plusieurs fautes d'orthographe facilement repérables de plus, hélas). Et pourtant je concède que ce n'est pas un mauvais livre, c'est juste qu'il ne m'a pas emporté plus que ça, j'en suis le premier désolé.



Bon, haut les coeurs, la prochaine chronique Babelio arrive très vite et elle s'avère bien mieux, si, si.
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Figure à part de la littérature américaine, Nick Tosches revient dans les librairies françaises avec un nouveau livre traduit chez Albin Michel, ‘Moi et le Diable'. Et le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il s'agit pour ce vieux roublard d'une entreprise inédite : on le connaissait romancier (avec notamment des polars), biographe (de Dean Martin, Sonny Liston ou Jerry Lee Lewis) et même poète (‘Chaldée'), on le découvre plus avant avec ce récit intime, sorte de journal d'une fin de vie. Car c'est bien ainsi qu'il se présente, comme un « homme en suspens » (pour reprendre un titre de Saul Bellow) au seuil de la mort. Un revenant passé par le Vietnam, le rock'n'roll, les histoires de mafia et l'alcool. Surtout l'alcool.
Si la première partie se concentre sur sa relation avec deux femmes aux pratiques sexuelles peu orthodoxes, réactualisant le mythe du vampire par la consommation qu'il fait de leur chair et de leur sang, la seconde moitié fait des allers-retours dans la vie de l'auteur, au gré de ses pensées ou de notes qu'il retrouve. Les obsessions de Tosches pour la littérature classique et antique ou la musique sont bien présentes, mais cette fois à l'état résiduel, comme au second plan de sa vie quotidienne faite de shopping et de réflexions diverses. Et de mafia il n'est, pour une fois, pas du tout question.
Un nouveau livre centré sur sa vie donc, aussi captivant dans son écriture qu'agaçant parfois dans son propos, quand le livre tend vers la complainte du bourgeois amer qui regrette le bon vieux temps, ou encore quand il règle carrément ses comptes. On en retiendra surtout de très belles pages sur l'addiction et la résilience, des scènes de sexe à faire rougir un moine, et une classe dont on ne se lasse pas. A déconseiller aux novices, qui n'y prendront pas forcément plaisir. Quant à ses fans, ils se réjouiront de retrouver la verve du vieux Nick, et des descriptions de New York rappelant aussi les films d'Abel Ferrara.
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Nick, le héros du récit est un écrivain vieillissant qui se voit décliner. Il ne trouve plus l'inspiration, il voit le monde changer autour de lui et il a du mal à l'accepter, il est devenu aigri. Tourmenté par ce qu'il a vécu pendant la guerre du Viet Nam, sentant ses forces et ses appétits décliner, redoutant la mort, il passe son temps à écumer les bars, il se noie dans l'alcool. Sandrine est la première des jeunes filles avec qui il se lie un soir d'ivresse et qui accepte de le suivre chez lui. La première qu'il va mordre "de ma bouche pleine de plastique, de fil de fer, et des quelques vraies dents qui coupaient encore...." Puis viendra Melissa une jeune étudiante avec qui il entretiendra une véritable liaison sur fond d'alcool et de morsures répétées. Il prend goût au sang. Il sent son corps changer, sa vigueur revenir, sa santé s'améliorer, il retrouve une nouvelle jeunesse. Il a l'impression d'accèder à la divinité. Mais sa soif de sang devient inextinguible. Il lui en faut encore et encore, de plus en plus, jusqu'à sa propre destruction, probablement jusqu'à la folie.

Moi et le diable n'est pas un roman ordinaire. Dérangeant et cru dit la quatrième de couverture : le lecteur est prévenu. Sa lecture m'a laissé un certain malaise : j'ai eu du mal à dissocier l'auteur (Nick, écrivain new yorkais d'une soixantaine d'années, érudit, musicien) de Nick le personnage du livre ( Nick, écrivain new yorkais d'une soixantaine d'années, érudit, musicien.....). le récit est à la première personne et à aucun moment l'auteur ne nous laisse croire qu'il s'agit bien d'une fiction et non de ses propres fantasmes, d'une biographie romancée. On assiste à la descente aux enfers d'un homme déjà bien abîmé : blasé de tout, misogyne, raciste. Il a déjà exploré les mondes empoisonnés de l'alcool en long en large et en travers, il n'en est pas complètement revenu mais il va y ajouter orgies sexuelles et vampiriques. Il espère y trouver ce qu'il cherche désespérément. Jusqu'à la rencontre avec le diable qu'il pense être son allié mais qui se moque de lui et le renvoie prestement dans son camp : "Acheter votre âme ?". Il a haussé le ton. "Je ne suis pas un trafiquant de camelote"......." Boire leur sang pour gagner leur jeunesse. Dans quelle BD de bas étage êtes vous allé pêcher cette idée ridicule digne d'un rituel africain ?"

Il y a beaucoup de longueurs dans ce récit (même si cela repose un peu de trouver des descriptions aussi banales que celles de la vie quotidienne entre deux scènes de sado masochisme ou de vampirisme....). Les passages sur les goûts musicaux de Nick, sur l'Egypte ancienne en passant par ceux décrivant sa passion pour les couteaux aux manches précieux pourraient être intéressants dans un autre contexte, mais là j'ai trouvé que c'était un peu lassant.

Nick Tosches a beaucoup de talent : il réussit fort bien à faire entrer son lecteur dans le personnage de Nick et c'est en cela que ce roman est si fort et si dérangeant. Mais je n'ai pas aimé Nick et donc je n'ai pas aimé le roman. C'est un livre qui ne peut pas laisser indifférent : certains l'aimeront beaucoup d'autres pas du tout.

Merci à Babelio et à Albin Michel : je suis toujours friande de nouvelles expériences livresques même si certaines s'avèrent décevantes.......
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Ce roman m'a déçue… Je ne m'attendais pas à lire ce genre d'histoire. le résumé me faisait penser à un thriller mêlé à une histoire de vampire et cela n'a pas été du tout le cas.
Bien sûr le vampire est présent mais on assiste plus à un enchaînement de scènes de sexe, crues, sans réelles histoires ni but.
Je ne suis pas habituée à lire ce genre de roman et j'ai vraiment été gênée par certaines scènes. Je pense sincèrement que ce n'est pas un roman à mettre entre toutes les mains et que ce point devrait être indiqué dès le départ.
Certaines scènes sont décrites avec une vraie précision mais cela se limite aux scènes crues et dérangeantes. Pour ce qui est des lieux, des personnages ou de leurs émotions il n'y a pratiquement pas de descriptions.

L'écriture est un peu trop complexe et parfois trop philosophique. Je suis habituée à lire des thrillers et des polars pour me sortir de mon quotidien et prendre plaisir à lire une enquête ou un quotidien différent. Avec ce roman je ne suis pas arrivée à me détendre, je n'avançais pas et pourtant je n'avais qu'une envie, celle de le finir pour passer à autre chose.
Je ne pensais vraiment pas lire un livre comme celui-là aussi pervers et gênant… J'avais parfois l'impression d'être un voyeur tellement certaines scènes étaient décrites et cela m'a dérangée.

Ce qui m'a étonnée c'est le nombre de fautes dans les mots, les verbes mais aussi les mots répétés et les fautes de frappe… J'en ai rencontré souvent tout au long du roman et je trouve cela assez incroyable quand on sait que c'est une grande maison d'édition qui publie ce roman et que c'est un roman traduit…

En résumé, un roman qui n'est pas à mettre entre toutes les mains et qui personnellement m'a déçue et dérangée concernant certaines scènes, la différence entre le résumé et l'idée que l'on se fait de l'histoire en la lisant ainsi que le roman en lui-même.
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Je me suis arrêtée à la page 200. Quel est ce livre où le sang la violence, le sado-masochisme se côtoient. Non, j' ai détesté et il est rare que je pense cela d' un livre. Non seulement c'est plus que de la violence, mais c'est entièrement gratuit, simplement pour l'expérience d' un homme border line. Quelle horreur !!!
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Je savais que ce titre fait partie de ceux très spéciaux qu'on aime ou qu'on déteste, ou sur lesquels on n'arrive pas à se prononcer. Il faut dire que le scénario est tellement atypique et l'écriture tellement immersive que l'auteur nous fait entrer dans un monde dans lequel nous n'avons pas forcément envie de nous plonger.

Sombre, torturé, malsain, pervers, j'ai été à de nombreuses reprises mal à l'aise pendant ma lecture ; il m'est ainsi arrivé de me forcer à ne pas mettre d'images sur les mots que je lisais, tellement je ne désirais pas ressentir cette histoire. Je ne peux pas nier le talent de l'auteur et le travail d'écriture que représente cet ouvrage, mais il est clair qu'il n'est pas pour moi. Je suis même plus à l'aise avec un écrit pornographique signé Esparbec qu'avec ce roman contemporain.

J'ai eu plusieurs fois envie d'abandonner, à tel point que j'ai bien failli le laisser de côté, tout en sachant que si je baissais les bras, je n'arriverais pas à le reprendre. Je me suis donc forcée, et cela n'a pas été facile. C'était un calvaire de poursuivre ma lecture et ma famille m'a de nombreuses fois entendue m'en plaindre. Je ne savais vraiment pas si je serais capable de le lire dans son intégralité, moi qui me refuse à ne pas terminer les livres que j'entreprends de découvrir. Néanmoins, le style permettant tout de même de comprendre une grande partie du récit, j'ai fini par arriver au bout sans passer à autre chose, ce qui serait revenu à le condamner.

Entre alcool, drogue, sang, suicide, mort et sexe, le protagoniste sous Valium entraîne le lecteur dans sa quête perverse de la jeunesse, mais aussi dans sa chute. Plusieurs femmes vont donc se succéder et se donner à lui, offrant leur corps mais aussi leur sang. Avec ce comportement vampirique, notre héros espère ainsi tirer de ses jeunes proies la force vitale qui s'échappe de son corps année après année. Suite à des ébats sexuels sanglants et malsains, le processus de métamorphose qui se met en place, ou que cet homme sous l'emprise de l'alcool croit ressentir, ne va pas le mener vers la résurrection mais vers sa propre fin. À travers divers sujets, allant de l'art à la religion en passant par la musique, la mythologie et la philosophie, Nick Tosches explore le pacte faustien et donne ainsi à voir les élucubrations d'un alcoolique qui oscille entre désir de sobriété et appel de la nuit.

Je ne peux également passer sous silence le fait que le héros de ce roman se nomme comme l'auteur de ce dernier : Nick Tosches – cela n'est jamais clairement dit, le nom du protagoniste étant rarement cité ni relié directement au nom qu'il utilise pourtant pour parler de sa famille. Doit-on y voir une certaine forme d'autobiographie fantasmagorique, où sont représentés les peurs, les fantasmes et les réflexions torturées de l'auteur, lui-même libertin voire dépravé ?

Durant ma lecture, je me suis parfois surprise à lire sans vraiment lire ; je parcourais les mots sans chercher à aller plus loin. Dans ces moments-là, l'agencement de ces derniers ne faisait rien naître en moi ; ils n'étaient que des tas de lettres noires jetés sur le blanc du papier. Aucun sens, aucune histoire.

J'ai vraiment dû m'accrocher pour le terminer, et je ne vous cache pas que les trente dernières pages ont été les plus laborieuses. J'étais vraiment soulagée de le refermer, cette fois-ci pour de bon.
Lien : http://healingwords.fr/moi-e..
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J'ai aimé autant que j'ai détesté ce livre.
Finalement, je l'ai plus détesté à la vue de la note accordée.
Je l'ai quand même terminé sans même être certaine que je le lisais. Parfois, je réalisais que je n'étais plus réellement dans ses mots.
Etrange expérience, agréablement désagréable.
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Nick est un écrivain alcoolique qui ne supporte pas la déchéance que le temps impose à son corps. Alors, il va se mettre en chasse de femmes jeunes qui pourront assouvir sa soif de rajeunissement. Il se découvre un plaisir sans borne à mordre ses proies, avec leur bénédiction, et se repaître de leur sang. Les lumières d'une résurrection s'ouvrent à lui, mais plus il marche dans l'illumination de cette renaissance, plus les ténèbres vont l'envahir, jusqu'à condamner toute possibilité de retour en arrière…

J'ai découvert ce roman de Nick Tosches, et partant, cet auteur, grâce à une opération spéciale Masse Critique. La quatrième de couverture promet un « roman dérangeant et virtuose, cru et furieux, qui revisite avec originalité le thème de l'immortalité et du pacte faustien ». La couverture, d'un fond noir, est bien en accord avec le résumé de l'oeuvre ainsi que son titre : « Moi et le diable ». En toile de fond, on voit apparaître la tête d'un félin. le cadre est donc posé, le lecteur, averti : on risque bel et bien d'être dérangé, mais aussi conquis.
Dérangée, oui, conquise, au final, non, plutôt dégoûtée.
Le narrateur n'a rien pour être attachant : alcoolique, mal en point physiquement et psychiquement, autocentré, fortuné, cynique, d'un épicurisme qui vire rapidement vers le pédant et d'une perversité assumée, autant par lui que ses partenaires qu'il cumule sans vergogne. Les multiples références littéraires, au départ, peuvent intéresser, ainsi que les réflexions sous-jacentes sur l'existence, l'écriture, le vieillissement, la maladie, …, mais elles sont entrecoupées de scènes si crues, voire insoutenables, qu'elles en deviennent décalées, absurdes. On navigue entre l'éther d'un intellectualisme extrême et les plaisirs débridés des sens et de la chair, les deux s'appelant, se confondant, se stimulant.
Dans cette noirceur univoque, on pourrait s'attacher à l'intrigue, à une promesse distillée à la fin du résumé en quatrième de couverture : « bientôt, la soif qu'il cherche à étancher le plonge dans des ténèbres effrayantes ». Des ténèbres, il y en aura, effectivement, l'acmé conjuguée de l'alcoolisme et d'une forme de schizophrénie, comme résultante d'un pacte diabolique avec l'au-delà. Mais on peine à percevoir une progression dans l'histoire. La thématique du vampire est explorée ici d'une bien étrange manière, qui mêle réel et imaginaire de la folie. « Moi et le diable » sonne plutôt comme « Moi et l'autre en moi qui me vampirise »…
A la fin de ce voyage en terre étrange et repoussante, je tiens, malgré tout, à remercier Babelio et les éditions Albin Michel pour cette découverte en avant-première.
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Nick , l'auteur a une imagination débordante et une connaissance encyclopédique. Ce roman est modèle du genre pour la richesse de son style et ses références mythologiques, historiques et littéraires .
Ce vielle homme , écrivain qui vit ses dernières années à la recherche de l'élixir de jouvence (ici le sang). Déroule ses pensées, ses excès - sexe, alcool - , jusqu'à la fin de ses illusions de régénérescence et l'acceptation de son état : vieux.
Ce roman est touffu et pourtant parfois un peu fourre tout . Je l'ai quand même lu avec plaisir pour son style et la profondeur des remarques du personnage . Roman a ne pas recommander à des âmes sensibles ou trop jeunes. .
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Un début et moitié excellent. mais par contre la fin du livre ça devient un calvaire à lire. Déçu à cause de la forme de la fin.
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