un face à face entre un grand père qui décline et son petit fils.
Des rivalités familiales, des non dits, des secrets de famille, l'été sera le moment des révélations , des partages, des découvertes. Personnages caricaturaux, écriture simple, peu de surprises.
Roman vite lu mais vite oublié.
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Bouquin prêté par une voisine. Je n'ai pas pu dépasser une trentaine de pages, malgré des efforts renouvelés : mais que c'est mièvre, gnangnan ! Ca se veut touchant, mais on dirait un mauvais téléfilm, avec décor en carton pâte et comédiens qui surjouent...
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Creux, lisse. A force de vouloir faire grand public, on arrive à du vide. Bientôt elle va nous decrire l'eau, a quoi sert l'eau, et puis le soleil, comment le soleil est tout jaune. Elle n'a rien a dire, c'est clair. Et les gens adorent. Ca les rassure l'art du vide et ça leur fait passer leur temps, ça ne contrarie personne. Ça fait des petites émotions sur l'oreiller. On s'endort tranquille pour 20 euros de produit marketing ( C'est les éditions Fayard). La réalité est conforme aux cliches. Les lecteurs ont-ils autant de choses dans la tête que l'auteur : c'est a dire pas grand chose en fait? La douce poésie du vide.
L'auteur y parle des fondements de la vie, mais on dirait un livre ecrit par un fonctionnaire, devoir de reserve oblige qui joue sur la corde sensible à profusion de belles images comme sur Instagram. Tu m'étonnes qu'on parle d'elle dans le journal 20minutes, insipide, sans avis critique, démago a mort. C'est dingue comme les gens aiment le consensuel bien lisse.
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