Ce roman part d'une bonne intention, et aborde un thème assez inédit (en tout cas pour moi) : la relation réalité/fiction et ses limites. le livre est encore plus une découverte car il s'appuie sur un support également inédit : le romanga (il y a 2 livres dans le coffret : un roman de 120 pages et un petit manga).
En effet, tout cela est bien compliqué : le manga est une semi-autobiographie d'un des personnages, mais la réalité du livre (qui reste fiction dans notre monde à nous) rattrape la fiction du manga. Dit comme ça, je vous l'accorde, cela paraît bien compliqué. Mais j'ai quand même arrivé à me retrouver dans tout ça.
Cependant, ce roman reste assez bizarre. Un sentiment de bâclé s'en ait dégagé quand je l'ai fini. J'ai eu l'impression de ne pas avoir tout compris du sentiment que voulait nous procurer l'auteur. Je n'ai pas ressenti d'émotions dans cette lecture.
De plus, c'est l'écriture qui m'a bloqué : pas DU TOUT accrochant (dois-je mettre un E ? Je ne sais jamais …) et peu fluide. L'écriture de D. van Cauwelaert, pour moi, classe ce livre dans la triste catégorie de ceux qui cherchent à nous raconter une histoire sans faire la part belle aux mots, ni aux émotions.
L'allure générale de ce livre m'a déçu par son manque de charisme peut-être, par son sentiment de bâclé (particulièrement l'histoire de l'enfant qui se cache derrière Zédérem). Peut-être aussi suis-je pas assez mature pour tout comprendre dans le message qu'a voulu transmettre l'auteur.
CRITIQUE COMPLÈTE SUR https://lecturefolle.wordpress.com/2015/02/06/lenfant-qui-venait-dun-livre-de-didier-van-cauwelaert/
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