XIII, Tome 1 : Le jour du soleil noir

Un premier volet d'une série «qui a fait son petit bonhomme de chemin!!».
Déjà le titre: «le jour du soleil noir» est alléchant. C'est avec ce livre que je me suis remis à la BD.

Tout le mérite en revient aux auteurs. Van Hamme au scénario est fantastique dès ce premier tome il nous prend par la main et ne nous lâche plus. Un véritable «page- turner» comme les Anglo-saxons en ont le secret.

Sur un thème qui peut paraître simpliste au départ, un naufragé est soigné par un couple de retraités, mais qui très vite nous transporte... ailleurs. Van Hamme a créé un style de narration novateur (en tous les cas je n'avais pas vu cela ailleurs dans une BD depuis JM Charlier et Blueberry).

Bien sûr il faut associer les dessins de Vance qui comme d'habitude pour ce dessinateur collent parfaitement au scénario.

"Le jour du soleil noir", tome introductif de la série culte "XIII", a été publié en 1984 et la première fois que je l'ai lu, j'étais adolescente, c'était donc dans les années 90. A cette époque, visuellement, rien ne me "choquait", le luxe et la technologie illustrés dans l'album étaient en parfaite adéquation avec mon environnement de vie. Mais ça, c'était avant...

La relecture, en 2014, de cette bande-dessinée, a une toute autre saveur, celle du rétro car oui, adolescente, comme beaucoup d'entre vous, les disquettes 3,5 pouces représentaient le summum de l'avancée informatique et c'est à peine si j'avais entendu évoquer internet. Tout ça pour dire que les PC en forme de globe sur pied tarabiscoté qui permettent à XIII de trier des fiches d'état civil me semblent aujourd'hui un peu moins hi-tech et que le contexte de l'histoire a pris un peu de patine.

Vieillir n'est pas déshonorant, surtout quand on vieillit bien or cette nouvelle saveur n'a rien de repoussant et j'ai pris un réel plaisir à cette relecture. Vous conviendrez avec moi que c'est assez génial : trouver du plaisir à suivre une aventure où les protagonistes ont encore un vrai rôle à jouer pour sauver leur peau, où un téléphone portable ne fait pas tout le boulot, où un implant ne rend pas invulnérable, où sauter par une fenêtre depuis le troisième étage est la seule issue pour s'échapper...

Côté dessin, j'aime passionnément le trait de William Vance et ce premier tome plante à la fois très bien le décor et l'intrigue tout en enchaînant les rebondissements. C'est top et ça donne vraiment envie de poursuivre l'aventure. Et puis, XIII, quand même, quel beau gosse !

Je découvre la saga XIII aujourd'hui, enfin, j'entends par là que je commence la lecture. Je connaissais de nom, mais je n'avais jamais eu l'occasion de m'y intéresser. Mieux vaut tard que jamais comme on dit.

J'ai plongé dans cette lecture immédiatement, le scénario est bien construit, les personnages accrocheurs, trop accrocheur peut-être. Je pense notamment au tout début du tome, en quelques pages seulement, j'étais déjà attaché au petit couple qui recueille XIII.

Beaucoup de secrets, de complots, et de questions qui sont disséminées tout au long de cet album. Cette bande dessinée date de 1984 et pourtant n'a pas pris une ride. Hormis les looks vestimentaires et les voitures, on ne ressent a aucun moment les 30 années qui se sont écoulées.

J'ai hâte de lire le prochain volume et d'en savoir un peu plus sur XIII, a moins que je n'en ressorte avec quelques questions supplémentaires ?

Je n'arrête pas de dire que je ne suis pas fan de BD alors que, grâce aux challenges, j'en lis de plus en plus et j'apprécie.
Celle-ci ne déroge pas à la règle. Je l'ai lu pour clore le challenge « l'ABC des titres » et franchement j'ai été conquise par le scénario : Un homme amnésique échoué sur une plage avec le chiffre XIII tatoué sur sa peau.
Dans un rythme effréné ponctué de bagarres, de coup de feu, de meurtres et autres violences, nous suivons cet homme en quête de son identité.
Les dessins accompagnent parfaitement l'histoire ; les émotions des personnages sont admirablement illustrées
Et puis oui, je l'avoue je suis tombée, moi aussi, sous le charme de XIII.
La BD est courte, trop courte ; il ne me reste plus qu'à filer lire le deuxième tome car la question reste en suspens : mais qui est XIII ?

Voici la première de quelques critiques de ma série BD préférée : « XIII ».
Pourquoi XIII ?
1 ) Parce qu'il y a des questionnements :
Qui est XIII ?
XIII, environ 30 ans, est devenu amnésique à la suite d'une balle reçue à la tempe.
Où est sa famille ? Sa mémoire fait défaut, mais ses réflexes sont restés : en close-combat, c'est un expert ;
on découvre avec lui, son identité petit-à-petit, au fil des tomes, malgré ses nombreuses « couvertures » lui permettant d'échapper à La Mangouste ou même aux hommes du gouvernement.
Qui est le numéro I de l'organisation cachée dont XIII fait partie à son insu ? La volonté de cette organisation secrète , très à l'extrême droite, responsable de l'élimination du président Sheridan, a des buts innommables ...
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2 ) Parce que je trouve le dessin beau ;
3 ) Parce que l'intrigue est complexe et à rebondissements ;
4 ) Et enfin parce qu'une belle Warrior ( qui ressemble à ma femme ) vient toujours à la rescousse de XIII dans les situations difficiles, avec quelques pointes d'humour et d'amour 😊

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« le soleil noir » est le jour où le président Sheridan a été assassiné comme Kennedy.
Deux retraités trouvent un jeune homme inanimé au bord de l'eau. Ils font appel à une chirurgienne radiée pour cause d'alcoolisme : la balle qui a effleuré le cerveau est ressortie. Il a complètement perdu la mémoire. Qui est-il ? Ils l'appellent Alan comme leur fils, mais découvrent qu'il est tatoué « XIII » sur la clavicule. Quand il revient de la plage, les retraités sont morts et il essuie des coups de feu. Il s'aperçoit que ses réflexes fonctionnent et qu'il est expert en close-combat. L'un de ses agresseurs est en fuite, l'autre est mort. Dans sa poche, il trouve une photo où il est représenté en compagnie d'une mystérieuse jeune femme…..
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Qui est XIII ?
Steve Rowland, mari de Kim ?
Shelton, tueur du président ? Shelton est-il Rowland ?
Qui est "Un" ?

Un couple de retraités, Abe et Sally, trouvent un homme blessé et amnésique et le soignent avec l'aide de Martha, une ancienne chirurgienne alcoolique. Mais qui est-il et pourquoi est-il menacé?
C'est le point de départ d'une histoire qui va nous tenir en haleine tout au long d'une formidable série.
Ce premier tome réunit déjà tous les ingrédients qui vont faire le succès de la série XIII : une intrigue palpitante concoctée par Jean van Hamme et mise en image par William Vance, des personnages mystérieux et attachants, des rebondissements incessants.
C'est un de mes premiers grands coups de coeur en BD, et je le relis aujourd'hui avec plaisir.
Pour ce premier tome, j'ajouterai aussi une mention particulière pour le titre particulièrement évocateur, le jour du soleil noir, celui de l'assassinat du président Sheridan, qui ressemble à s'y méprendre à celui de Kennedy. Quel titre bien trouvé!

Ca a peut être un peu vieilli (les décors, les ordis et les vêtements sont gentiment vintage, mais je dois reconnaître que j'ai été emportée par cette énième relecture.
Ce premier tome de cette série fleuve est une belle réussite.
Le rythme est directement dynamique, l'histoire rebondit déjà dans tous les sens et on est pourtant que dans les premières pages d'une série qui se caractérise par sa longueur et ses incessants retournements de situation. Mais nous n'en sommes pas encore là.
Le lecteur est emporté dans cette enquête originale (pour l'époque) : Un amnésique part à la recherche d'un inconnu : lui -même. Ce qu'il apprend dans ces premiers balbutiements de cette histoire est dramatique...et ce pauvre XIII n'est qu'au début de ses surprises.
Côté dessin, Vance est ici dans le summum de son style, a la fois précis et nerveux.

Lui, c'est un homme qui est retrouvé échoué sur une plage et qui a complètement perdu la mémoire : "Un bébé adulte, sans souvenirs, sans famille, sans amis, sans passé, sans identité, sans rien ! J'ai beau me torturer à fouiller ma mémoire, je ne vois qe du blanc. Un blanc uniforme, immense, totalement vide !", son seul signe distinctif est le chiffre XIII tatoué.
Tandis qu'il se remet de ses blessures, des personnes en ont après lui et veulent avoir sa peau à tout prix : "Dans tout cet imbroglio, il n'y a qu'une seule chose certaine, mon pauvre vieux : avant de perdre la mémoire, tu n'étais pas un simple petit employé de ministère comme tout le monde !", mais selon un médecin son amnésie pourrait ne jamais disparaître : "Alors, je risque de ne jamais savoir ? Cette blessure par balle, ce tatouage ... qui suis-je, Martha ? Un flic ? Un gangster ? Un agent secret ? Un mercenaire ? Ou un simple touriste dévalisé par des truands ? Qui suis-je, bon sang ?".
En plus d'être poursuivi par des tueurs à gage et de devoir fuir, d'autres personnes cherchent à le capturer : "Je ne suis ni un flic ni un juge. La seule mission que j'ai reçue, à présent, que je t'ai retrouvé, est de te faire parler, XIII. Par n'importe quel moyen !", car apparemment il détiendrait les clés d'une opération de grande envergure baptisée "jour du soleil noir" (opération qui n'est pas sans rappeler l'assassinat du président Kennedy puisque le président des Etats-Unis nommé ici Sheridan a été abattu au cours de celle-ci).

Je connaissais la série XIII de nom, pourtant je ne m'étais jamais lancée dans sa lecture, et ce n'était pas faute de connaître et d'apprécier le travail de ses deux créateurs : William Vance et Jean van Hamme.
J'ai (enfin !) remédié à cette grossière erreur en découvrant le premier tome de cette série, et je ne regrette absolument pas car ce premier tome déchire.
Tous les ingrédients sont là pour une histoire palpitante : un héros amnésique dont le lecteur ne sait s'il est bon ou mauvais mais auquel il s'attache très rapidement, une bonne dose de mystère, des rebondissements, et des dessins de qualité.
A ce stade je ne saurai dire la réelle nature de XIII, et j'ai envie de dire qu'importe, car je me suis très vite attachée à ce personnage, la dose de mystère l'entourant n'y étant sans doute pas pour rien.
Je ne peux que louer la qualité du scénario de Jean van Hamme et c'est fort regrettable que le deuxième tome soit actuellement emprunté à ma bibliothèque car je m'y suis précipitée pour découvrir la suite (je vais donc devoir attendre un peu).
Quant aux dessins de William Vance j'adore, y compris la mise en couleurs réalisée par Petra.

"Le jour du soleil noir" ouvre formidablement la série littéraire "XIII", une bande dessinée conçue sous la forme d'un thriller et de laquelle se dégage une réelle ambiance.
Je vais m'empresser de lire la suite et je ne peux que vous inviter à découvrir cette série de grande qualité.
Lien : http://lemondedemissg.blogsp..

En 1984 débutait une des séries les plus prolifiques et les plus suivies de la bande dessinée franco-belge, XIII ! le pitch est devenu classique, mais est particulièrement prenant : un homme émerge des flots, amnésique, sans autre indice qu'une clé et un étrange tatouage sous la clavicule gauche sous forme de chiffres romains. Après s'être quelque peu remis, celui que ses sauveurs appellent temporairement Alan compte bien se mettre en quête de son identité, d'autant plus qu'il semble traqué par des forces conséquentes et que s'éveillent en lui des réflexes de combat particulièrement affûtés...
Ce premier tome donne déjà beaucoup de pistes à explorer, les personnages s'enchaînent vite comme les rebondissements, mais le tout est lié avec un sens du rythme tout à fait certain. le trait très réaliste de William Vance est efficace, à part sur quelques scènes placées dans l'ombre. Mais, dans l'ensemble, ce premier tome est particulièrement riche et complet !

J𠆚i attendu l’âge de 49 ans pour lire mon premier XIII! C𠆞st un scandale !
Pour faire les choses bien , j𠆚i commencé par le premier. J𠆚i rapidement compris qu’il n’y avait aucun fondement à mon blocage ! C𠆞st une excellente BD , ça n𠆚 pas vieilli , le dessin est magnifique, le récit limpide, et passionnant, cela donne vraiment envie de poursuivre dans la série .

Donc honte à moi !