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sur 4437 notes
Un polar en forme de road movie aux accents du Sud de la France. Voici ce roman de Fred Vargas, où le commissaire Adamsberg n'est que peu présent et dont les héros sont une troupe de marginaux. Entre croyances, légendes et meurtres en série.

Le Mercantour et ses loups sont au coeur de ce roman. Les bergers les accusent de tous les maux surtout quand on dénombre plusieurs dizaines de moutons égorgés. Mais les premières constations sont autrement plus inquiétantes car la dimension de la mâchoire du loup et hors norme. Et surtout, il a aussi fait une victime humaine. Ce serait-ce un loup-garou !

Même, si Fred Vargas nous a habitués à des romans plus exaltants, on retrouve ce mystère ambiant aux limites du surnaturel qui fait sa force. de toute façon la balade est belle et les personnages attachants.
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L'homme à l'envers, série : Commissaire Jean-Baptiste Adamsberg livre 2/10. le fameux commissaire Adamsberg tapis dans l'ombre dès le début de l'intrigue-comme en ombre Chinoise-n'apparaît pourtant véritablement qu'à la 200é page! Occasion donc de rencontrer de tous nouveaux personnages extrêmement fouillés et très travaillés, très attachants parfois, même truculents et drôles. le décor n'est plus ni Paris ni la célèbre brigade du 13é, mais le grand parc national du Mercantour situé sur les départements des Alpes-Maritimes et des Alpes-de-Haute-Provence et peuplé de brebis de moutons, de bergers et de… loups venus d'Italie dont un loup gigantesque, nouvelle bête du Gevaudan ou ne serait-ce pas plutôt un loup-garou? Apres de nombreux massacres de brebis, d'autres victimes ne vont-elles pas bientôt être découvertes ?
Une nouvelle narration puissante en pleine montagne, des personnages muets ou prolifiques, et Camille toujours présente étrange fragile et puissante à la fois. Une écriture forte poétique naturaliste humaine , un texte fin littéraire ou cru, un grand Vargas!
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Dans le Mercantour, des troupeaux de brebis sont régulièrement attaqués. Les loups qui ont fait leur retour dans le parc dix ans plus tôt sont montrés du doigt. La haine ancestrale des bergers s'enflamme. Mais deux détails surprennent les spécialistes : le prédateur ne tue pas pour manger et ses larges morsures font penser à une bête hors-norme. Lorsque Suzanne est retrouvée égorgée dans sa bergerie, c'est le loup-garou qui est mis en cause. Les vieilles superstitions prennent le pas sur la raison. Un homme qui vit en ermite en haut du mont Vence est suspecté. Ce serait un «homme à l'envers» ; s'il est glabre, c'est que ses poils doivent pousser en dedans. Camille, l'ex du commissaire Adamsberg, accompagne le fils adoptif de la victime et son vieux berger sur la piste sanglante du présumé loup-garou.

Le Mercantour offre un cadre exceptionnel à ce roman. Il est placé dans le contexte du retour naturel des loups dans le parc. L'idée est pertinente car l'animal a une place particulière dans notre imaginaire où, souvent représenté comme une bête vorace attaquant l'homme, il alimente toutes les terreurs.
J'ai trouvé que les traits des personnages étaient trop forcés pour être crédibles. Ils lassent à force d'être trop répétés : débuts de phrases amputés, mauvaises odeurs, vulgarité, interjections… On pourrait s'amuser à compter le nombre de ''merde'' placés dans le roman. Même les bonnes trouvailles finissent par agacer ; je pense notamment aux définitions et aux légendes inventées.
Je n'ai pas non plus accroché au principe de la musicienne-plombière qui calme son anxiété en lisant un catalogue d'outillage. Par contre, j'ai apprécié la surprise du dénouement et le fait que de nombreux détails égrenés au cours du récit y trouvent un sens. Les motivations des protagonistes m'ont semblées trop alambiquées, mais bon, hein, il fallait bien en inventer.

C'est mon second roman de Vargas et je ne suis toujours pas convaincu. Je compte quand même aller voir du côté des Évangélistes.

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Les bergers du Mercantour n'approuvent pas l'idée du loup en liberté. Mais est-ce bien un loup qui tue les brebis autour du village de Saint-Victor ? Une autre enquête d'Adamsberg.
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Dans le folklore populaire, l'homme à l'envers est celui qu'on appelle communément loup-garou, parce que ses poils sont à l'intérieur, non à la surface. Est-ce donc lui qui égorge sans vergogne depuis des semaines brebis et autres humains sur son passage dans le massif du Mercantour ? Ou bien est-ce un loup enragé, un électron libre ? Toujours est-il que les esprits s'échauffent et les gens commencent à sérieusement s'impatienter contre la réintroduction des loups aussi près de chez eux. A mort les loups ! voici le sentiment général prédominant. Au coeur de ce maelstrom sous haute tension, Camille, personnage récurrent de Vargas, âme soeur du commissaire Adamsberg, notre anti-héros tout aussi "vargassien", a tout quitté pour suivre un biologiste canadien dans un village perdu du Mercantour. Confrontée aux événements carnassiers, elle se trouve embrigadée malgré elle dans une chasse à l'homme particulièrement risquée pour découvrir le fin mot de l'histoire mais chut !
Et mon avis dans tout cela ? Assez partagée je dois l'avouer. D'abord séduite par cette atmosphère pesante, très typique de Vargas, chaque personnage s'installant progressivement dans ce huit clos rural, j'ai fini par me lasser de l'ambiance : trop d'attente tue l'appétit !. Je n'ai pas non plus été convaincue par les personnages du roman, peu attachants, trop illuminés à mon goût et donc peu vraisemblables. A force de vouloir trop singulariser ses personnages Fred Vargas les a rendus peu convaincants. Et cerise sur le cheesecake, le fin mot de l'histoire m'a refroidie comme jamais avec le sentiment d'avoir un peu perdu mon temps. Pour conclure, pas certaine que Vargas soit ma came finalement. Tant pis.
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À histoire atypique, il faut un flic qui le soit tout autant. Aussi lorsque dans une enquête il est question de loup garou Adamsberg n'hésite pas à s'y impliquer. Surtout lorsque celle qui vient le chercher, le connaissant que trop bien, est une de ses anciennes maîtresses. Il faut dire qu'il n'a pas encore fait le deuil de leur idylle.

N'essayez pas de comprendre le raisonnement d'Adamsberg lorsqu'il se lance dans une enquête. Il n'y a rien de structuré dans sa démarche. Il marche à la prémonition. Son esprit engrange alors les informations, ne les trie ni ne les classe. Il se contente de les accumuler pour le cas où. Elles restent comme les pièces d'un puzzle dispersées dans les méandres de son cerveau et attendent la main qui les organisera le moment venu. Sa conviction se forme dans le même désordre. Peu à peu elle prend forme et vient se substituer à ce qui l'avait incité à s'intéresser à l'affaire, ce qui n'est même pas encore une intuition, ce quelque chose d'indéfinissable : une clairvoyance, un présage qui le contraint à se jeter dedans, quelles que soient les réticences et oppositions.

Drôle d'équipage qui s'est lancé sur les traces d'un présumé loup garou. Il faut dire que ce dernier ne se contente pas d'égorger les brebis. Des humains subissent le même sort sous ses crocs. Mais les gendarmes ont tôt fait de classer l'affaire en accident. Cet équipage qui ne croit pas à l'accident, c'est d'abord Camille, une belle jeune femme qui, comme d'autres sont boulanger pâtissier, est musicienne plombier. L'accointance des deux métiers ne saute pas aux yeux, mais c'est comme ça, c'est Camille. L'autre c'est le Veilleux, vieux berger solitaire et taiseux qui avec l'aide d'un confrère d'alpage téléphone à ses brebis lorsqu'il doit s'en éloigner. le troisième c'est Soliman, l'enfant africain adopté. Sa mère, la Suzanne, à péri sous les crocs du loup.

Mais n'est pas enquêteur qui veut et quand la traque ne fait qu'arriver trop tard et déplorer les victimes, il est temps de faire intervenir un flic qui s'intéressera à ce que les autres négligent. Un flic différent. Spécial. Adamsberg entre en scène. Par la petite porte comme d'habitude, mu par cet embryon de pressentiment lui insufflant que le mythe du loup garou pourrait bien avoir l'apparence de quelque chose de plus humain. Qui lui dit aussi que si Camille est revenue vers lui c'est qu'il faut y voir un signe. Que dans pressentiment, il y a sentiment.

Les dialogues sont savoureux entre ces personnages qui présentent tous une originalité propre à les disperser plutôt qu'à les rassembler. Malheureusement l'intrigue pêche par manque de crédibilité, mais ils deviennent tellement attachants tous ces indépendants que lorsqu'ils se réunissent pour la même cause, on ne craint plus d'embarquer avec eux dans la bétaillère. Elle respire le suint de mouton, mais soit, ils n'avaient rien d'autre sous la main. Et puis Adamsberg, le suint de mouton ne le dérange pas non plus, alors à Dieu vat sur la piste du loup garou.
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Voilà ma troisième lecture de Fred Vargas, découverte récente, y'a un mois, à force d'en entendre parler je me suis lancée. Ouaisssssss, c'est chouette ! J'ai encore tout aimé de ce road movie à la mode « berger » .
Allez on plante le décor. le Mercantour, en été, un loup attaque les brebis, un loup à la mâchoire gigantesque, qui finit par tuer Suzanne Rosselin, une femme comme y'a plus d'homme, qui dirige un élevage de brebis, d'une main de fer, un peu trop brutale, un peu trop grossière, moche et qui pue, comme la décrit Lauwrence, le Canadien. Lui, c'est un spécialiste du grizzli, et il est bien dans le Mercantour, a observé les loups venus des Alpes italiennes, il s'attache à Sibellius, à Marcus à Cracus le Pelé et à Camille, sa compagne, à son nuque, son corps, son sourire.
Camille, c'est la Camille du commissaire Adamsberg, celle qui apparaît et disparaît de sa vie, mais qui lui colle à la peau. Et pendant qu'il mange ses nouilles à Paris en regardant les actualités , il la voit avec ses bottes adossées à un arbre, à côté d'un grand blond, Ah Camille, te revoilà. Mais qu'est-ce qu'elle fout dans le Mercantour , la musicienne plombiere ?

C'est tout le talent de Fred Vargas, on les adore ses personnages, on les suit et elle nous en offre de beaux dans ce polar, Soliman, le jeune africain, trouvé sur les marches de l'église, élevé par Suzanne, dans le respect de ses origines lointaines, et la connaissance des boutures de tomate et puis encore le Veilleux, berger de son état, pas bavard, mais philosophe à sa façon, qui téléphone à ses brebis pour leur remonter le moral.
Et les voilà ces cinq là , partis sur la route dans une vielle bétaillère à la recherche de l'assassin de Suzanne, un loup garou, un homme sans poil, parce qu'il les a à l'intérieur…
Moi je suis bien contente d'avoir fait le grand saut, d'avoir tâter de la Vargas, du coup je suis repartie mardi avec deux autres polars dans ma valise, Adamsberg j'arrive….
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Challenge plumes féminines 2022 – n°29

Je remercie Pat0212 pour cette 1ère pioche de Mars, ça me permet ainsi de le sortir enfin de ma pal, il y traîne depuis un moment. Comme pour le précédent de Vargas, l'occasion s'est présentée de l'écouter en 9h d'audio plutôt que de le lire. Ayant de la route matin et soir, j'en profite. J'espère passer encore un bon moment en compagnie d'Adamsberg et de ses enquêtes.

Curieuse histoire que celle-ci où Adamsberg passe en personnage secondaire avec ses rêveuses élucubrations. On y suit principalement Camille, une de ses ex, mi-musicienne mi-plombier, au sein du Gévaudan. Quelques répliques m'ont bien fait rire. Par contre, à force de chasser des loups, je commençais à m'ennuyer et à me demander où voulait en venir l'auteure. Certes, elle nous fait voyager de part le monde mais quand même… En 3 bouquins, je suis partie en Islande, au Québec et dans les Alpes. Mais ses histoires sont tellement tarabiscotées et le début un peu longuet qu'elle me perd dans les méandres de son univers et des élucubrations d'Adamsberg. J'ai même hésité à l'abandonner car au bout de 1h45 d'écoute, je commençais à penser à autre chose en même temps et ce n'est pas bon ça… Finalement, l'histoire se lance enfin à la poursuite d'un loup-garou tueur de brebis et de gens. Est-ce le même tueur ? Camille aide deux hommes dans leur traque du tueur car l'un a perdu sa mère adoptive par sa faute. Sans m'en rendre compte (ou presque), j'ai fini d'écouter cette histoire où on ne retrouve Adamsberg que quand Camille et ses deux compères ont besoin d'un flic spécial pour avancer dans leurs recherches. Avec ses méthodes bizarres de déductions, il résoudra cette enquête avec brio et en évitant même de se faire trouer la peau à cause d'une autre affaire. L'auteure a vraiment créé des personnages truculents pour accompagner Adamsberg, j'ai ri plus d'une fois à leurs discussions et à leurs réparties que j'imaginais très bien dans ma tête. Elle réussit même l'exploit de nous dépeindre toute une panoplie de flics sans tomber dans la surenchère. Ce n'est que vers la fin que j'ai suspecté le meurtrier sans réellement toucher du doigt ses véritables raisons.

Comme vous l'aurez compris, malgré un début chaotique, j'ai eu un coup de coeur pour ce tome qui a su me tenir en haleine tout du long de ses 9h d'écoute. le style de cet opus est différent de d'habitude mais sans s'en rendre compte, on se laisse entraîner à la suite de Camille et de la traque du loup-garou. Si vous êtes amateurs de romans policiers sacrément bien ficelés, je vous conseille très fortement de le découvrir. Pour ma part, je continue à épurer sa bibliographie et ma pal.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Toujours accro aux aventures du commissaire Adamsberg, j'ai pioché ce titre car je suis encore plus accro aux loups. Curieuse de lire comment Fred Vargas allait traiter ce pauvre canis lupus dans son roman, j'ai donc embarqué pour le Mercantour.

En fait, je connaissais déjà cette histoire, grâce au téléfilm de Josée Dayan. Inutile de me demander ce que je pense de l'intrigue, je savais déjà le nom du coupable dès la première page.

Mais ce n'est pas grave, je voulais avant tout retrouver mon commissaire préféré et cette atmosphère particulière que l'écrivain sait si bien faire naître en quelques lignes.

Une bête tue des brebis. Jusque là, rien de très anormal, surtout si l'on vit dans une zone à loups. Les choses se corsent lorsque la victime suivante est humaine. Lawrence, le spécialiste canadien des grizzlis, et Adamsberg se doutent bien que le loup n'y est pour rien. Uen traque à l'homme débute alors, ponctuée de fausses pistes et d'informations erronées. Parallèlement, nous suivons, de loin, une enquête du commissaire qui risque de lui coûter la vie. Autant dire qu'un petit séjour à la montagne n'est pas de refus.

Comme d'habitude, on y croise des personnages hauts en couleur et diablement attachants (qui me consolent un peu de la quasi-absence de Danglard), comme le Veilleux (qui appelle ses brebis sur un portable, pour les rassurer), Soliman, le prince Africain, fils adoptif de Suzanne et grand connaisseur du dictionnaire, ou Suzanne (la spécialiste des gros mots), le pivot de cette tribu, à la fois crainte et respectée des autres habitants de Saint-Victor, qui forment une équipe improbable et pourtant évidente.

Ajoutons la mystérieuse Camille, et nous avons la clé de la présence d'Adamsberg dans les montagnes (qui sont quand même un peu loin de son cinquième arrondissement).

Finement, au travers de son intrigue, Fred Vargas fait passer son message en faveur des loups et brosse un portrait très réaliste de ces communautés montagnardes pour lesquelles le prédateur est toujours assimilé au tueur féroce des contes et légendes. Et cependant, point d'autre méchante bête que l'Homme dans cette affaire...

Je me suis à nouveau régalée avec ce polar atypique, alors vivement le prochain.
Lien : http://lectures-au-coin-du-f..
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Des attaques répétées de troupeaux de brebis frappent des communes des Alpes : il s'agirait d'un loup du Mercantour, parc naturel protégé où vivent quelques familles de loups en liberté. La caractéristique de celui-ci est d'avoir une mâchoire particulièrement large…et les crocs très acérés.

Lawrence, spécialiste du grizzly, venu du Canada étudier les loups, semble impressionné par l'ampleur des blessures sur les ovidés. Il a noté la disparition d'un des animaux de la meute qu'il surveille. Sa compagne, Camille, n'est autre que l'ancienne amie d'Adamsberg qui de Paris suit les évènements sur son poste de télévision…Jusqu'au matin où les victimes ne sont plus de simples brebis, mais une femme, Suzanne, solide paysanne au parler franc. Et amie de Camille. Suzanne qui vivait avec son fils adoptif, Soliman, d'origine africaine, et un vieil homme attaché à ses bêtes, le Veilleux.

A bord d'une bétaillère conduite par Camille, les deux compères vont partir sur les traces d'un supposé coupable, aux allures de loup-garou, sur des routes de montagne plus que cahoteuses…Une carte qui semble indiquer l'itinéraire de l'assassin a été trouvée dans la cabane du prétendu monstre. Jusqu'au jour où suivant sa trace entre nouveaux cadavres d'hommes et de brebis, détours inattendus, cierges allumés dans les églises selon un étrange rituel, ils en arrivent à une ultime conclusion : trouver un flic pas comme les autres qui puisse débrouiller les fils de cette histoire d'un autre âge… Après hésitation Camille se décide : il n'y en a qu'un qui fasse l'affaire, le commissaire Adamsberg. Ce dernier qu'une enquête avait mené en Avignon accepte et vient les rejoindre dans la bétaillère. Jusqu'à l'arrivée de Lawrence.

La montagne, les loups, le trappeur, des personnalités originales, une intrigue bien rythmée, des contes et des croyances aux couleurs de la fameuse bête du Gévaudan, tout est réuni dans le roman de Fred Vargas pour nous mener des sentiers abrupts de ces paysages montagneux millénaires, aux tréfonds de l'âme humaine habitée par une sauvagerie que la civilisation est loin d'avoir fait disparaître…Sans compter une bonne dose d'humour, une pointe de dérision, et aucune complaisance pour les scènes macabres, un excellent polar à dévorer dans une bétaillère sentant fort le mouton lancée à la poursuite du loup-garou ! Ou simplement dans son fauteuil préféré...
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