Le tour du monde en 80 jours

Ceux qui me suivent...et qui me lisent savent déjà que je suis un grand fan de Jules Verne. Et ce n'est pas avec cette nouvelle aventure extraordinaire que cela va changer. du grand Jules Verne, un de ses (grands) classiques même. Je suis toujours emporté dans ses histoires où son imagination est sans limites. À relire encore et encore. Toujours le même plaisir, toujours des moments d'évasion.

[Livre audio lu par Damien Genevois]
Contrairement à ce que l'on pourrait croire, ceci n'est PAS le récit d'un voyage, mais celui d'un transport. Les personnages sautent d'un moyen de transport à un autre sans s'arrêter un seul instant durant tout ce voyage vain, onéreux et parfaitement inutile. Récit qui doit être probablement passionnant pour les enfants amateurs de bateaux, voitures, trains ou traîneaux, je l'admet volontiers, mais qui a su difficilement éveiller mon intérêt.

Si encore, ça avait été le transport d'un homme... Mais non, le personnage principal n'est pas un être humain, c'est un bloc de marbre, tout simple, tout bien carré, qui est transporté tout autour du monde... J. Vernes a-t-il voulu se moquer du flegme et de l'insensibilité anglaise en créant ce personnage improbable et si peu attachant? Si c'est ça, en tout cas, c'est réussi.

Quand au gros tas de clichés nationalistes qui constituent le reste de l'histoire, il est devenu fort poussiéreux en vieillissant. J'ai donc bien peur que si vous n'avez pas découvert cette histoire avec vos yeux d'enfant, vous aurez bien du mal à l'apprécier en tant qu'adulte.

La lecture de Damien Genevois (littératureaudio.com) est assez bien faite. Quelques petits défauts techniques et quelques inégalités de rythme un peu trop prononcées en diminuent légèrement la qualité mais l'ensemble est très bon.
Lien : http://www.litteratureaudio...

Souvenir d'enfance d'une lecture fastidieuse et ennuyeuse, et pourtant j'aimais Jules Verne.
Comme quoi, dès les plus tendres années, la rencontre entre un livre et un lecteur tient à une fragile alchimie, même si ce Verne-là est sans doute plus daté que les autres.

Un roman qui ne se présente plus, tant il a déjà fait parler de lui. Ayant déjà dévoré quelques livres de cet auteur iconique, j'étais rempli d'impatience en commençant les premières pages de cette nouvelle aventure.

Il semblerait cependant que l'effervescence et la magie du tour de monde n'ont pas opérée sur moi. J'ai en effet trouvé les héros assez « faibles ». Phileas Fogg m'est devenu insupportable par son flegme et sa nonchalance et ce peu importe les épreuves traversées. J'ai trouvé Fix et Passepartout d'une naïveté consternante.

La succession des modes de transports, bien qu'effrénée, devient vite lassante. Les différentes péripéties qui émaillent le parcours sont résolues trop rapidement pour laisser le temps au lecteur de se divertir entre deux trains ou steamers. Une morale également un peu douteuse qui laisse à penser que la fin justifie les moyens...

Jules Vernes nous propose donc un tour du monde rapide, brutal, sans aucun répit et sans pause. L'auteur reste à cet égard assez visionnaire de la société du XXIème siècle et de son tourisme itinérant, qui prétend nous faire découvrir des régions ou des pays en quelques jours. Bref, pour votre prochain voyage M. Fogg, je laisse ma place.

Livre ennuyant, qui est très long à lire.

Médiocre.

J'ai trouvé ce livre peu intéressant. C'est la course et rien d'autre...Autant regarder un grand prix de formule 1...

C'est un livre de très bonne litérature ( je dois le dire ) mais je ne l'ai pas terminé car je n'ai pas réussi à m'y accrocher complètement...

J'ai voulu l'écouter en version audio mais ce livre reste avant tout un roman jeunesse. L'intérêt n'est plus là !

J'ai été extrêmement déçue.. Etant une fan de Jules Verne, j'avais hâte de découvrir ce roman. Avec cet auteur, j'étais habituée à l'aventure, à l'action, à la découverte et aux voyages… eh bien on ne trouve rien de cela ici. le personnage principal, pour ne pas risquer de perdre son pari, ne sort jamais de son train ou de son bateau au début du roman : on ne voyage donc pas, et on ne découvre pas les villes par lesquelles il passe. Seul son domestique Passepartout visite un peu et nous donne un aperçu de tous ces pays. Les rares fois où il sort de son moyen de locomotion “normal”, il y a enfin un peu d'action, notamment lorsqu'ils sont dans la jungle en Inde. Mais ces moments restent assez rares. Même quand il sort du train, aux Etats-Unis, on n'a aucune description de la bataille pour récupérer Passepartout.
En revanche, certains moments sont BEAUCOUP trop décrits : dès le début, l'auteur nous décrit Phileas Fogg avec énormément de détails, donc beaucoup sont inutiles ou répétitifs. Et dans le chapitre suivant, Passepartout arrive dans la maison de Fogg, le rencontre pour la première fois et… nous le décrit avec beaucoup de détails.. J'ai sauté ce passage, qui ne nous apportait rien de plus sur ce personnage. Les longueurs causées par les descriptions rendent la lecture très lourde et inutilement longue.
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