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3,44

sur 714 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Un petit roman qui se lit bien. Trop d'effet de style à mon goût comme les passages à la ligne répétés avec le même sujet comme pour nous marteler un sentiment que l'on n'aurait pas encore vu poindre ! J'aime bien avoir l‘impression qu'il y a un peu de travail stylistique et là je me sens flouée !

Les douleurs dans le creux du ventre ou dans je ne sais quelle partie du corps sont aussi trop répétées. Même dans la quatrième de couverture, on a le droit à « un creux du désir » ! Ça sonne quand même bien creux tout ça. J'aurais aimé plus d'expérience, davantage de faits qui me fasse ressentir ces « creux »…. Et puis cette errance du narrateur m'a fatiguée à la longue !

Enfin, un petit livre pas très exigeant, peut-être écrit trop rapidement. Pas le meilleur de Delphine de Vigan. J'ai davantage apprécié « Rien ne s'oppose à la nuit »

2/5
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Hum... je suis dubitative.
Maudit que cette histoire m'a énervé.
J'avais envie de secouer ce Mathieu à chaque page.
Sa résistance et sa mollesse en même temps...

Ce n'est pas pour moi ce genre d'histoire.....

Next!
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J'ai retrouvé la belle écriture, très agréable à lire, que j'avais déjà trouvée dans Rien ne s'oppose à la nuit et Les heures souterraines, et qu'on ne peut pas enlever à l'auteure mais je n'ai pas vraiment été séduite par l'histoire.
Un homme, la quarantaine, marié et père de deux enfants, bien dans sa vie, a le déclic un jour et écrit un livre qui se révèle être un succès. Il reçoit du courrier de lectrices et un jour, parmi ces lettres, celle d'une jeune femme qu'il a très bien connu par le passé. Une ancienne amante, une passion dévorante qu'il pensait avoir oubliée.
Cette résurgence va bouleverser sa vie, l'obnubiler jour et nuit, influer sur sa vie familiale et son processus d'écriture.

A part cela, il ne se passe pas grand-chose d'autre dans ce roman.
Bien entendu, tout est dans le style, et il est plutôt beau. Delphine de Vigan est douée pour décrire les sentiments, c'est indéniable.
J'ai d'ailleurs eu parfois envie de lire certains passages à voix haute, preuve pour moi que la magie de l'écriture était présente, mais juste certains passages.
Je n'ai pas trouvé l'histoire assez rythmée pour me tenir en haleine, dans l'attente impatiente de savoir ce qu'il y aura la page d'après.

suite sur mon blog...
Lien : http://linecesurinternet.blo..
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aussitôt lu aussitôt oublié…
ce n'est pourtant pas mauvais, il s'agit plutôt d'une erreur de format. il aurait pu s'agir d'une très bonne nouvelle ou au contraire, si les personnages avaient été plus
fouilles, plus attachants ou au contraire plus désagréables, ç'aurait fait un très bon roman. beaucoup trop court, on passe un peu à côté de l'idée qui était intéressante…
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J'ai énormément aimé l'écriture, très fine, très délicate, mais quelque chose m'a manqué dans les personnages. Difficile de dire quoi. L'impression qu'ils étaient fantasmés, irréels. de faux personnages, surtout celui de Sara, dont on a du mal à comprendre la démarche.
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Delphine de Vigan a également attendu plusieurs romans avant de connaître un énorme succès critique et public avec Les heures soutteraines, chronique ici et dont le tout nouveau roman, Rien ne s'oppose à la nuit ( très beau titre tiré de la chanson de Bashung Osez Joséphine) vient tout juste de sortir, et semble trés bien parti pour être un des évenements de cette rentrée littéraire 2011 (la blogosphère qui bruisse de critiques positives sur ce livre, est là pour en témoigner).

Cet été, j'ai découvert un de ses premiers romans, Un soir en décembre, où l'on reconnait très bien son style : De Vigan n'a en effet pas son pareil pour nous écrire le trouble, le désoeuvrement, le moment où l'on aimerait tant s'accrocher à quelque chose de solide pour repartir de l'avant, mais qu'on n'y arrive pas.

Cela dit, par rapport aux heures souterraines, j'ai trouvé l'intrigue beaucoup trop ténue et sans réel rebondissement. C'est l'histoire d'un écrivain qui voit sa femme partir et il ne fait rien pour la retenir, et devant son apathie, même moi qui ne suis pas le plus énergique des hommes, ait eu envie de lui donner quelques baffes pour le bouger quelque peu.


Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Matthieu est un homme heureux : 45 ans, une femme qu'il aime, deux garçons qui lui ont fait découvrir l'intensité des joies paternelles, un bon boulot, et son premier roman qui a été plus qu'un succès. Heureux: il le dit lui-même. Mais voilà, panne d'écriture, il doute, d'autant que débarquent les lettres d'une jeune femme qui a été sa dernière liaison passionnée avant qu'il ne se marie. Remise en question, gouffre, dépression... Mon Dieu, quel pauvre homme!

Certes le procédé est assez astucieux, et bien exploité, de confronter le présent de Matthieu à son passé raconté par les lettres. Il y a une certaine vigueur dans l'écriture et une analyse psychologique assez judicieuse.

Mais le sujet est complètement éculé : crise de la quarantaine, remise en question, écrivain en panne....
Et Delphine de Vigan ne recule pas devant les métaphores: son héros, qui ne porte plus de lunettes depuis des années décide brutalement, à ce moment crucial, de les porter à nouveau (vous comprenez, il regarde enfin les choses en face!). Et au jour le plus sombre, n'y a t'il pas un rat crevé sur les rails du métro?
Elle n'hésite pas à LA scène cruciale du livre, celle qui va permettre à Matthieu de faire enfin un choix, après la rencontre, sur un banc public, d'une vieille alcoolique philosophe, propos profonds à la clé sur l'amour, les livres, la vie...

D'aucun verront ici le questionnement tragique d'un homme qui remet en question ses choix de vie. J'y ai surtout vu un mâle indécis, pleurnicheur, qui s'écoute et m'est totalement indifférent.
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Bien mais sans plus ...
On suit les personnages pas à pas mais au final quand on a fini le livre on a guere eu d'emotions.
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Delphine de Vigan par ci, Delphine de Vigan par là, j'en ai tellement entendu parler qu'il fallait bien que je teste. du coup quand je suis tombée sur ce livre à la bibliothèque, j'ai pensé que c'était le bon moment. Mais je dois ajouter que j'avais un gros a priori, cataloguant d'emblée tout ça dans le style “roman fleur bleue pour filles”…
Avalé en quelques heures, il s'agit d'une lecture facile au style vif et plein de fraîcheur. Les drames intérieurs de ces personnages sont analysés avec tellement de justesse que malgré un début assez fade, le côté banal et - admettons-le - légèrement cucul la praline du sujet, j'ai plutôt apprécié ce livre. Il se trouve que l'auteur sait évoquer le deuil amoureux de manière sobre et pudique, voire simple et efficace. J'ai bien aimé la délicate atmosphère de nostalgie qui se dégage de cette histoire de désenchantement.
Contre toute attente donc, je dirai que ce fut une bonne surprise (même s'il ne faut pas abuser de ce type de roman).
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Je suis passée complètement à côté de cette histoire…

Il s'agit du deuxième livre écrit par Delphine de Vigan mais malheureusement il n'était pas pour moi.

Matthieu Brin est un auteur marié à une jolie femme Elise et père de deux enfants. Il a sorti récemment son roman et écrit le suivant dès qu'il peut.

Un jour il reçoit une lettre qui fait écho en lui, il s'agit d'une lettre de Sara, une histoire d'amour qui date de juste avant son mariage.

Une histoire d'amour passionnelle d'ailleurs alors de recevoir ses lettres va bouleverser son monde, il va repenser à elle; s'enfermer dans une bulle pour « écrire », il devient distant et s'éloigne d'Elise qui ne l'attire plus.

Nous lecteurs; on assiste à ce couple qui sombre et plus particulièrement Matthieu. Sauf que personnellement je ne comprenais pas vraiment pourquoi.

Je n'ai pas trouvé les lettres de cette Sara transcendantes au point de tout détruire dans son foyer. J'ai trouvé le personnage de Matthieu pathétique et méprisant vis-à-vis d'Elise qui m'a fait un peu de peine. Elle se retrouve délaissée, elle essaye d'apporter son soutien et de se battre pour son couple alors que monsieur pense à la femme avec qui il l'a trompé de nombreux mois.

Bref, très déçue par ce roman qui m'a laissé perplexe et sera très vite oublié… Mais encore une fois bien consciente d'être passée à côté du sujet.
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