Trop littéraire, trop digressif, ce texte prétentieux de part son étalage de figures de style et de connaissances (dont j'admire quand même la culture de l'auteur au passage), ce texte donc, écrit au subjonctif plus-que-parfait n'a pas besoin de lecteurs: il se suffit à lui-même.
Mais, si Érik Vigneault écrit un autre livre, j'irai y jeter un coup d'oeil.
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Tout savoir sur Juliette, premier roman surchargé d’Érik Vigneault, est une enfilade de digressions, de parenthèses, d’incises souvent prétentieuses, de rencontres réelles ou imaginées qui nous sont racontées au subjonctif plus-que-parfait.
Lire la critique sur le site : LeDevoir
Premier roman résolument expérimental et hautement réussi, qui rappelle les envolées acides de Thomas Bernhard, d'une vénéneuse érudition et qui contient un incroyable catalogue des célèbres suicidés.
Lire la critique sur le site : LaPresse