La confrérie de la dague noire, tome 2 : L'amant éternel

Cela faisait un moment qu'il était dans ma PAL, et bien qu'ayant adoré le premier tome, L'Amant Ténébreux, Je n'avais pas plus envie que ça de me replonger dans cette série. C'est donc par hasard que je me suis lancée dans cette lecture, après avoir fait piocher un de mes fils dans ma PAL, pour m'aider à choisir une lecture. Et quel plaisir finalement de retrouver les guerriers de la Confrérie. Vous pouvez me croire, le livre n'a pas fait long feu !

L'histoire de ce tome est centrée sur Rhage, qui est un personnage que j'ai beaucoup apprécié, je l'ai même préféré à Kholer. On découvre pourquoi la Vierge Scribe lui a jeté cette malédiction pas moins d'une centaine d'années auparavant. le mal être de Rhage face à cette bête qui fait partie de lui. On nous explique pourquoi il a un tel besoin de se battre et d'avoir toutes ces conquêtes féminines. J'ai bien aimé sa détermination à protéger Mary, le fait qu'il se dresse même contre ses frères et son roi pour elle. Et j'ai particulièrement apprécié la scène de sa rencontre avec Mary !

J'ai également beaucoup aimé Mary, elle est déterminée et forte malgré le retour de sa leucémie. Cest un personnage altruiste mais également réservé. Et elle ne veut pas s'attacher, car elle se sait condamnée.
Sa relation avec Rhage est donc évolutive, et pour lui ce n'est pas gagné d'avance ! J'ai bien aimé cet aspect de leur relation, qui contrairement à Beth et Kholer dans le premier tome, met du temps à aboutir.
Autant vous prévenir, il y a toujours autant de scènes de sexe. Elles sont parfois même un peu trop détaillées mais on finit par s'y habituer (et peut-être même à attendre la prochaine...).

Dans ce tome on rencontre également Bella, une vampire femelle qui se trouve être très attirée par Zadiste. Elle va vite déchanter puisque celui-ci est totalement associal et réfractaire à tout contact physique avec quiconque. J'ai bien aimé les scènes concernant ce dernier d'ailleurs, qui nous donnent de suite envie de lire le troisième tome, centré sur son personnage. On veut en savoir plus à son sujet, et connaître la raison de toute cette haine et cette méchanceté, mais aussi l'origine de toutes ses cicatrices.

On rencontre aussi John, un jeune homme qui est à environ deux ans de sa transition et ne le sait absolument pas. C'est Mary qui le rencontre d'abord et le présente à Bella. Cette dernière, sentant qu'il n'est pas loin de sa transition, décide de le conduire aux membres de la Confrérie afin qu'il soit aidé. C'est donc de cette manière que tout ce petit monde se rencontre.
Je pense que le personnage de John est prometteur et j'attends d'en savoir plus à son sujet dans les tomes suivants.

On a toujours affaire aussi aux éradiqueurs puisqu'ils ont en tête d'exterminer les vampires et vice versa. Sauf que maintenant ils enlèvent les civils et les torturent dans le but d'obtenir des informations sur la Confrérie. Ils nous sont donc encore moins sympathiques que dans le premier tome et la fin de celui-ci ne va pas arranger les choses.

J'ai trouvé que le style (la traduction ?) s'était un peu amélioré dans ce tome, on retrouve les négations, leur absence m'avait pas mal génée dans le premier tome. J'ai apprécié aussi le fait que le livre se termine sur une intrigue non résolue, ce qui permettra de faire le lien avec le tome suivant (que j'ai déjà dévoré à l'heure qu'il est, je dois l'avouer).

En bref : une lecture très (très) agréable, et une série que je continuerai sans hésiter !

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Bon, il m'a fallu passer outre mon dégout pour la traduction pour rentrer dans l'histoire. Une fois cela fait, on pouvait se concentrer sur le reste.

Typique du genre romance paranormale : on change de personnage, mais fondamentalement rien ne change le nouveau mâle/la nouvelle femelle qui est malheureux/maudit/insupportable ou autre épithète du même genre va rencontrer l'amour de sa vie ne pas le reconnaitre/le fuir, mais tout fini bien pour eux.
Tout est dit !
Que je suis mauvaise langue quand même…le style…bah comme le premier quoi, on le cherche sous la trad., mais je n'ai pas l'impression qu'il y ait tant de qualité d'écriture que ça (ou alors je suis juste allergique au genre).
Mais le PIRE du pire de ce livre : c'est le sexe ! Il y en a partout tout le temps, et ça m'a saoulé disons…à la deuxième occurrence ! Je ne l'ai même pas trouvé si bien écrit que ça, donc un peu de soucis à avaler le livre après (le nombre de vannes vaseuses qu'on peut sortir après ça dans une critique pareille …)
Concernant l'histoire, on aborde celle de Rhage qui a des petits problèmes de maitrise de soi. Quand les émotions sont trop fortes, Pouf une bestiole de 3m de haut prend sa place et bouffe tout sur son passage…forcément ça calme tout le monde autour. Et voilà qu'il rencontre Marie, une humaine, atteinte du cancer et probablement en train de mourir (c'est la grande question à son propos : où en est sa maladie ?). Malgré quelques retours en arrières et quelques moments de panique, elle accepte étonnement bien toute cette histoire. D'un autre côté, quand on estime n'avoir plus rien à perdre dans la vie, la raison devient surfaite.
Ils vont donc tenter d'être ensemble vaille que vaille. Malgré la Vierge Scribe, le sale caractère de l'un, le problème de communication de l'autre et un enlèvement pour saupoudrer le tout.
Comme toujours l'histoire est assez moyenne et un peu facile à mon goût. En tant qu'urban-fantasy je suis écoeurée, en tant que romance paranormale, ce roman tient alors la meilleure note. Tout est question de point de vue comme toujours.
Bref, ce que j'ai aimé néanmoins, c'est l'histoire filée de Bella qui promet un sacré bon prochain tome. Enfin je l'espère ! Et celle de John (même si quelque chose me dit qu'il y a un lien (oh ténu) avec l'épilogue du tome 1). John est un personnage qui me touche beaucoup plus que les deux héros ici.
On voit également le Roi reprendre ses sujets en main, du moins s'y essayer, et ça rend bien. Donc je résume : l'histoire filée est plutôt pas mal, trop de Q, et la romance m'est passe loin au-dessus du crâne. Mais c'est un BON roman de romance paranormale.
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Les guerriers sont comme le chocolat, une fois qu'on y a gouté, on est accro ! J'étais déjà tombée sous le charme de Kohler, gros nounours un peu bougon en carapace, mais tendre à l'intérieur, que j'avais découvert dans le premier tome, quel ne fut pas mon ravissement lorsque j'ai apprit à connaître Rhage dans celui-ci ! Ce personnage m'intriguait déjà beaucoup dans le tome 1, nous savions alors qu'il était le beau gosse de Confrérie, le coureur de jupons, mais aussi frappé par une dangereuse malédiction qui le faisait se changer en bête dès qu'il perdait le contrôle de lui même. Une bête aux allures de dragon aux yeux blanc et aux dents aussi aiguisées que celle d'un tyrannosaure, de quoi faire très peur en sommes.

L'Amant éternel est centré sur ce personnage énigmatique et profondément torturé, ainsi que sur sa romance avec une jeune femme courageuse du nom de Mary. J'ai beaucoup apprécié le personnage de la jeune femme, elle est à la fois faible, à cause de sa leucémie qui la ronge à petit feu, et forte par ce que, mine de rien, c'est une battante. C'est précisément ce que j'ai aimé chez elle, elle m'a beaucoup touchée. Elle et Rhage se ressemblent d'une certaine manière, ils portent tous les deux en eux un mal qui leur pourrit la vie, et ensemble, mais qu'ils arriveront à combattre ensemble. C'est en ça que l'amour entre le vampire et l'humaine m'a bouleversé, parfois même jusqu'aux larmes. Ils se complètent, s'aident à surmonter la douleur, même si ça n'a pas été très facile au début, le temps qu'ils se fassent confiance et s'avouent leur peur mutuelle, bien que, très vite, on sent très clairement naitre un amour invisible, à toute épreuve.

Dans ce second tome, nous apprenons aussi à déchiffrer, ne serait-ce qu'en façade, le personnage de Zadiste, le guerrier qu'on décrit comme le plus instable de la Confrérie, le plus dangereux et qu'on considère presque comme une bête sauvage. le vampire marqué d'une longue balafre en travers du visage rencontre Bella, une vampire civile qui, tout de suite, se sent irrésistiblement attirée par lui. Cette rencontre amorce indubitablement les événements du tome 3.

En parallèle, nous suivons les éradiqueurs qui oeuvrent, comme à leur habitude, contre la Confrérie, mais cette fois, d'une manière plus discrète. Peu de meurtres, contrairement à ce qu'il se passe dans premier tome, mais pour les amateurs de bonnes bagarres, ne vous inquiétez pas, vous en aurez pour votre compte. Nous entrons également davantage dans l'univers de M.O, un éradiqueur pas tout à fait comme les autres, qui se muent, à mesure de l'avancée du roman, en une espèce d'amoureux psychopathe légèrement flippant sur les bords. Néanmoins, on peut lui trouver une certaine sensibilité, car on découvre qu'il n'est pas totalement corrompu par l'Oméga, grande puissance maléfique. C'est, à mon sens, un point de vue intéressant que l'auteure développe avec brio.

C'est un livre qui témoigne également d'une grande amitié, notamment celle qu'on voit naitre entre Rhage, Viszs et l'humain, Butch. Une amitié sincère, sans arrières pensées. Les trois hommes s'entraident sans réfléchir, et cela m'a beaucoup touché, notamment au début lorsqu'on voit Rhage se métamorphoser pour la première fois dans le second tome. Les deux autres n'hésitent pas une seule seconde à venir à son secours et à prendre soin de lui. J.R. Wards possède indéniablement le don de nous faire ressentir très clairement les émotions de ses personnages, comme s'il s'agissait des nôtres. C'est, à mon avis, ce qui nous charme tant en lisant ses mots, plus que les guerriers eux même.

En outre, un roman riche en suspens et qui, d'ailleurs, perdure même après avoir lu la fin, de sorte que l'on ait qu'une seule envie : lire la suite impérativement ! Très bonne stratégie de la part de l'auteure, mais qui nous laisse néanmoins sur notre fin. Mon seul regret est que Rhage et Mary ne participent pas plus que cela à l'intrigue principale, comme s'ils vivaient leur romance à l'écart de tout ça. Ainsi, on peut voire deux intrigues se détacher très clairement : la romance de Rhage et Mary, d'un côté, et la chasse aux éradiqueurs de l'autre, qui implique les autres membres de la Confrérie et plus particulièrement Zadiste. La suite dans le prochain tome…
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Rhage n'est pas mon personnage préféré. C'est même celui-ci dont j'en attendais le moins à vrai dire, alors il suffisait d'une bonne intrigue, d'une belle relation et de l'action pour me convaincre. C'est chose faite, et bien plus ! Je me suis attachée à ce héros maudit, bien moins macho qu'il n'y paraît et très sensible. L'espace d'un instant, j'ai même envié Mary pour qui le guerrier est prêt à tout sacrifier.
Contente d'avoir pris plaisir à ce membre qui m'intriguait peu, je peux d'or et déjà vous dire que j'ai hâte de rencontrer les autres.

Ce tome présente malgré tout quelques défauts, notamment pas mal de longueurs et des raisons parfois futiles au comportement des uns et des autres. Je pense notamment à la malédiction de Rhage que j'ai trouvé un peu exagérée comme punition ou aux réactions de rejet de Mary concernant sa maladie. Rhage est aussi long à la détente : il ne comprend pas pourquoi Mary le rejette et c'est un peu long. Sans parler de leur ébat qui tardent à venir. J'ai aussi été un peu déçue par la fin un peu trop facile.

Je dois quand même avouer que sur la fin, j'en avais un peu marre. Mais heureusement, mon chouchou est entré en scène ! Ahhhhhhhhhhhhhhhh Zhadisttttttttttttttttttttttttttt

Le héros du prochain tome apparaît de plus en plus dans la fin du tome 2, notamment car les deux tomes vont s'enchaîner très vite. On y rencontre Bella, la voisine et amie de Mary, qui va se révéler sensible au tortueux guerrier. En plus, on sent plein de choses poindre : violence, torture, triangle amoureux.... J'A-DO-RE !!!!

Ce tome n'est pas mon préféré, mais il s'en sort mieux que je ne l'escomptais. ^^ Je n'ai qu'une hâte maintenant : enchaîner le tome 3 !
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Après six mois sans nouvelles, il était temps que je me plonge de nouveau dans l'univers de J.R. Ward et de la Confrérie de la Dague Noire ! Toutefois, j'ai quand même dû aller relire ma chronique sur le premier tome pour rafraîchir un peu ma mémoire de poisson rouge…

Une guerre fait rage à l'insu des humains. Six vampires protègent leur espèce contre la Société des Eradiqueurs. Ils sont regroupés au sein de la mystérieuse Confrérie de la Dague Noire. Rhage est le plus redoutable et le plus dangereux d'entre eux, car il est victime d'une terrible malédiction : son démon peut s'éveiller à tout moment et mettre en péril ceux qui l'entourent. Pourtant, lorsqu'il est un jour chargé de la protection de Mary, une humaine, Rhage voit en elle son destin et son salut. Quand à Mary, atteinte d'une maladie incurable, elle a depuis longtemps cessé de croire au destin ou aux miracles, et la vie éternelle n'est à ses yeux qu'une douce illusion. Tout va changer lorsqu'elle rencontrera les guerriers de la Confrérie… et surtout Rhage.

Ce deuxième tome se concentre principalement sur le personnage de Rhage. Il possède un charme enfantin, il est sexy, drôle et loyal. Un véritable playboy qui possède des valeurs, mais qui ne peut s'empêcher de fantasmer sur chaque femme qu'il croise. Pourtant, il possède un lourd secret tatoué dans son dos : un dragon donné par la Vierge Scribe sous forme de malédiction. Luttant chaque jour pour éviter de nuire à ses proches, la seule façon qui s'offre à lui pour calmer la bête est de pratiquer la violence et le sexe.

Mary lutte également chaque jour, mais contre ses craintes personnelles et contre sa leucémie. Son corps garde les séquelles de ses différents combats, mais elle peine quand même à rester optimiste. Sa vie basculera complètement lorsqu'elle se liera d'amitié d'un jeune garçon muet nommé John Matthew, qui est un de mes personnages favoris avec Zadiste.

Lors de la première rencontre entre Rhage et Mary, l'attirance et l'alchimie se mettent en place très rapidement. Même s'il y a eu quelques réticences au début, ils vont tous les deux changer pour l'autre. Tout au long de cette histoire, leur relation est crédible, déchirante et douce à la fois, mais aussi chaude que les flammes de l'enfer. [ATTENTION SPOILER] : A la fin de cette lecture, la scène entre nos deux tourtereaux et la Vierge Scribe est absolument déchirante et haletante.

La plume de J.R. Ward est dans la même lignée que le tome précédent, càd simple et croustillante. Je suis un peu sans voix après la lecture de ce deuxième opus. Dire que j'ai adoré est un léger euphémisme. La camaraderie et la fraternité qui lient nos différents frères sont si uniques et si enviables. Pourtant, ils ont l'air si torturés intérieurement… J'ai particulièrement apprécié les échanges verbaux entre les frères de la Confrérie. Des échanges culotés, mais hilarants. L'intrigue progresse très rapidement que le lecteur n'a pas une seule seconde de répit.

J'aurais juste un petit défaut à relever : les descriptions un peu trop intimes de temps en temps, que ce soit sur un corps émoustillé et sur les ébats en eux-mêmes. Avec mes vingt-et-un ans, cela ne me gène nullement, mais j'essaye de me mettre dans la peau de certaines personnes encore mineures qui pourraient complètement être choquées.

Conclusion, ce deuxième tome est meilleur que le précédent et je ne peux que vous conseiller de commencer cette saga si vous aimez les bonnes romances paranormales, avec une légère dose de sexe. En tout cas, j'ai hâte de poursuivre avec le troisième tome afin de faire plus amples connaissances avec Zadiste.
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Je m'attendais à suivre la suite des aventures de notre cher couple royal Beth/Kolher. Et bien que nenni ! Maintenant, nous découvrons Rhage (Hollywood pour ses frères)…

Ce deuxième tome est dense :
- on fait donc la connaissance approfondie de Rhage,
- on découvre un potentiel futur nouveau frère (la méga phrase),
- on apprend à connaître Mary, une jeune femme malade au coeur sur la main,
- on rencontre Bella, la récente amie vampire,
- …

Toutefois, le plus gros morceau du livre, c'est la rencontre entre Mary et Rhage...
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Voila un magnifique tome qui ne m'a pas du tout déplu au contraire j'ai été absorbé du début jusqu'à la fin. L'histoire de Mary et de Rhage est tellement captivante, ( vers la fin j'avais les larmes aux yeux à cause du choix crucial.)
. Les passages de O en fait était là pour augmenter la pression qu'on avait pour savoir la suite des évènements pour la Confrérie et en fin de compte ils ne m'ont pas tellement dérangé au contraire, O est un personnage dérangé qui est perdu et qui finalement ne recherche que son bonheur (même si personnellement je ne l'aime pas du tout). kohler était un personnage fascinant mais Rhage est vraiment ... surprenant. C'est le mot pour le décrire puisque en effet il m'a surpris du début jusqu'à la fin (Surtout lorsqu'il fut le premier à dire "je t'aime" à Mary et que c'est lui qui fut repoussé comme "un chien herrant" selon Mary)
J'ai beaucoup aimé le personnage de Mary qui sort de l'ordinaire avec son problème. Personnellement j'attends avec impatience la suite avec Zadiste et aussi de voir l'évolution du personnage de Butch même si je me doute de la fin ...

Le cycle de la Confrérie de la Dague Noire reste à coup sur l'un de mes grands coups de coeur avec ce deuxième tome, L'Amant Eternel.

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Une fois le premier tome achevé, j'ai entamé au plus vite le second tome, curieuse de voir ce qu'il avait à proposé. C'est toujours une crainte que j'ai lorsqu'il s'agit d'une saga. On a aimé le premier tome, mais on ne sait pas si les suivants seront à la hauteur.

- Et bien oui ! Incontestablement oui ! Dans ce second livre, les personnages de Kolher et Beth sont fort absents pour ne pas dire inexistants. Ils font leur apparition une fois ou deux mais leur rôle est vraiment figuratif. Dans ce volet, la part est réservée à l'un des membres de la confrérie à savoir Rhage. Il rencontre une humaine, Mary et l'histoire se centre sur leur relation tout en reprenant les histoires avec les éradicateurs là où elles s'étaient arrêtées. Ce qui m'a beaucoup plu c'est que la relation entre Rhage et Mary est plus recherchée et plus travaillée que celle que l'on a pu découvrir entre Kolher et Beth. Je n'estime pas l'une meilleure que l'autre, elles sont différentes et c'est tant mieux. A quoi bon lire trois livres si la seule donnée variante n'est que le nom des personnages ? Non, ici, j'ai trouvé les sentiments plus forts, plus progressifs aussi, plus subtiles. le petit plus également, c'est que le livre se termine sur une intrigue non résolue. En effet, alors que le troisième tome est consacré à Zadiste, on en amorce déjà l'histoire dans le second tome. Si le but est de nous maintenir en haleine pour le troisième opus, l'effet est tout à fait réussi et il me tarde déjà de l'entamer.
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Un second tome que j'ai beaucoup aimé. Je l'ai trouvé encore mieux que le premier volume. Je pense que c'est principalement du aux personnages principaux. J'ai vraiment préféré suivre Rhage que Kohler même si je l'avais trouvé sympa aussi.

La confrérie de la Dague Noire c'est de l'action, de la romance érotique, du suspense, de la frustration et de la passion. J'aime vraiment ce mythe du vampire très original. C'est la première fois que je les vois représentés de manière si atypique. Ici, les vampires ne sont pas immortels et ils se nourrissent le plus souvent de vampires du sexe opposé. Ils ne sont pas une menace pour les humains. de plus, les femelles vampires peuvent enfanter lors d'une période spécifique. de l'autre coté il y a les éradiqueurs qui ne sont pas humains (ils placent leur coeur dans une jarre suite à un rituel macabre qui les transforment en éradiqueurs), les doggen qui sont les domestiques des vampires et bien d'autres choses.

Je vous conseille ;-)