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Purple Heart tome 1 sur 4
EAN : 9782803675593
64 pages
Le Lombard (13/09/2019)
3.68/5   38 notes
Résumé :
New York, années 50. Josuah Flanagan, ancien de la 101e aéroportée et décoré de la prestigieuse Purple Heart, travaille comme enquêteur pour un cabinet d'avocats. En fait, il bosse principalement pour James Layton, l'ancien commandant de sa compagnie. Josuah est chargé de découvrir qui fait chanter un magnat de l'immobilier. Ronald Husler, séduisant self-made man quadragénaire, est en effet victime d'un chantage lié au passé trouble de son épouse.
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Critiques, Analyses et Avis (19) Voir plus Ajouter une critique
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La Purple Heart est une Médaille militaire américaine, décernée au nom du président des Etats-unis, accordée aux soldats blessés ou tués.

Joshua est un ancien soldat, détective privé (façon Marlowe, Sam Spade, Mike Hammer, Fred Otash...).

Nous sommes dans les années 50, tout y est ou presque, action, aventure, angoisse, fatalisme, suspense, pessimisme sans oublier la femme fatale sexy...

un très bon polar noir, j'en redemande.

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Ce tome est le premier d'une série indépendante de toute autre. La première édition date de 2019. Il s'agit d'une bande dessinée en couleurs, comptant 56 planches. le scénario est écrit par Éric Warnauts, les couleurs sont réalisés par Guy Servais (surnommé Raives), et les dessins sont le fruit d'une collaboration entre ces 2 créateurs. Raives & Warnauts ont collaboré sur de nombreux albums et sur plusieurs séries comme L'Orfèvre,Les suites vénitiennes, Les temps nouveaux, tome 1 : le retour, ou celle immédiatement antérieure Sous les pavés (2018).

Dans les années 1950, Josuah Flanagan a pris son pick-up et s'est éloigné de la ville pour aller pêcher dans la nature. Il se trouve au milieu d'une rivière peu profonde et il vient d'attraper un deuxième beau poisson. Il les vide et les fait cuire sur un feu de bois Puis il va remplir sa gourde à la rivière, et cela lui rappelle le même geste effectué quelques années plus tôt en pleine hiver dans les Ardennes belges pendant la seconde guerre mondiale. Son copain Mike y avait laissé la vie, après avoir marché sur une mine. Il avait reçu la médaille Purple Heart à titre posthume, que sa femme avait donnée à Josuah, car elle ne lui rendrait pas la vie. Josuah Flanagan travaille pour le cabinet d'avocats Glenn, Rodger et Bernstein. Au temps présent du récit, James Rodger lui confie une mission sortant de l'ordinaire. Ronald Layton, un de leurs gros clients se trouve dans une situation problématique : un individu anonyme le fait chanter. Il possède un film de Lauren Layton, la femme de Ronald Layton, en train de s'ébattre avec un autre homme que son mari. Il réclame vingt-cinq mille dollars en échange de l'original. le mari est au courant des infidélités de sa femme, et il va intervenir auprès de son amant, un concurrent. Mais il ne veut pas que le film nuise à sa carrière.

Josuah Flanagan accepte la mission et se rend dans la station balnéaire cossue où se trouve la demeure des Layton. Il trouve Lauren Layton dans la piscine. Leur conversation est interrompue par l'arrivée de Ronald Layton qui remercie Flanagan de s'occuper de son problème. Lauren Layton glisse un ou deux sous-entendus pendant la conversation pour essayer d'allumer Flanagan. le soir, Josuah Flanagan va rendre visite à Aron Seligmann dans sa boutique d'antiquités. Ils se sont liés d'amitié alors qu'il était venu acheter un saxophone qu'il avait repéré dans la vitrine, et qu'au moment de payer, il avait remarqué la suite de chiffres sur l'avant-bras de Seligmann. Chacun d'eux avait connu les camps d'extermination, l'un en tant que victime, l'autre en tant que libérateur. Alors qu'il pénètre dans la boutique de Seligmann, Flanagan entend une conversation houleuse : Seligmann est en train de se faire chahuter par deux costauds en costume qui lui réclament des tableaux. Flanagan sort son arme et s'annonce comme étant de la police pour faire fuir les 2 agresseurs. Il s'en suit un échange de coups de feu.

Découvrir un nouvel album de Warnauts & Raives provoque un plaisir anticipé à l'idée de retrouver leurs dessins évocateurs et enchanteurs, et de plonger dans un récit ambitieux raconté à hauteur d'être humain. La couverture n'est pas très parlante, si ce n'est pour le revolver et la voiture en feu qui promettent de l'action à New York. La quatrième de couverture évoque une enquête menée par un détective privé dans les années 1950. Effectivement, il est bien question d'une enquête à New York, et même de 2. La première enquête emmène Josuah Flanagan dans les hautes sphères à rechercher un maître chanteur. En fait, il s'agit surtout pour lui de côtoyer la femme du client qui en sait beaucoup plus et qui n'est pas une oie blanche. Les artistes en font une beauté exotique sans trop forcer la dose, une eurasienne avec un beau corps sans retouche chirurgicale, et des expressions de visage qui montrent une forte personnalité. Ainsi le lecteur ne peut pas la voir comme une victime, encore moins comme une potiche, mais comme une personne à part entière. La deuxième enquête concerne trois tableaux déposés chez un vieil antiquaire qui intéressent deux allemands costauds et pas compréhensifs pour un sou. La première enquête repose sur une mécanique bien huilée avec plusieurs surprises. La seconde s'avère plus classique, servant essentiellement à introduire de l'action dans le récit.

Le lecteur côtoie des individus bien campés. Josuah Flanagan a un corps athlétique sans être sculpté, et le regard habité. Les dessins montrent qu'il fume régulièrement et qu'il s'en jette un derrière la cravate avec son ami Wilson Woods, sans donner l'impression d'être alcoolique. Il est le personnage principal et le héros. Il n'y a que 2 planches dans lesquelles il n'apparaisse pas. La première est consacrée à Wilson Woods le montrant en train de poser des questions à différents individus dans Harlem, avec une dernière image établissant qu'il a lui aussi combattu dans les Ardennes belges où il a rencontré Flanagan. Woods dispose d'une forte carrure, il est toujours bien sapé et il répond du tac au tac à toute allusion raciste. Bien sûr, c'est un bagarreur qui sait se servir de ses poings. L'autre page où Flanagan n'apparait pas est consacrée à Estelle dont le nom de famille n'est pas précisé. Elle a dormi dans le lit de Flanagan (et lui dans le canapé), en chemise et fait penser à Marilyn Monroe, sans en être un décalque. En regardant les personnages, le lecteur apprécie l'assurance tranquille de James Rodger, se surprend à guetter des signes révélateurs sur le visage de Ronald Layton, est impressionné par l'assurance très différente d'Aron Seligmann, qu'il vienne de subir une dérouillée, ou qu'il s'apprête à parler aux journalistes.

Le lecteur sait également qu'il va pouvoir se promener dans des endroits bien définis, représentés avec soin, tout en privilégiant l'impression qui s'en dégage, plutôt que le détail photographique. La scène introductive et la scène de fin lui donnent l'impression de se retrouver les pieds dans l'eau, entièrement accaparé par le mouvement de sa ligne, isolé du monde et profitant du calme qu'est l'absence d'agitation générée par d'autres êtres humains. Par la suite, le lecteur laisse son regard s'attarder sur les représentations de New York : la vue de l'Empire State Building (avec une petite remarque en passant sur le fait qu'il va enfin être utilisé, anecdote véridique), une vue de Manhattan depuis un étage élevé de l'Empire State Building, un petit tour dans Harlem, une petite virée à Broadway et dans une boîte de jazz, une très belle promenade de quatre pages dans Central Park se terminant au pied de la fontaine Bethesda, une confrontation se déroulant sur Randall's Island, île située sur l'East River. Les dessins de Raives & Warnauts associent un plan de prise de vues rigoureux, avec des contours détourés par un trait fin et précis, mais aussi léger et spontané, avec une mise en couleurs à la peinture, apportant des informations sur les reliefs, la texture et l'ambiance lumineuse, pour des cases sophistiquées semblant avoir été prises sur le vif. Les auteurs intègrent quelques références organiques dans les dialogues augmentant encore la sensation d'immersion à cette époque : la décoration de la Purple Heart (médaille militaire américaine, accordée aux soldats blessés ou tués), la mention de J. Edgar Hoover (1895-1972), les nightclubs, le Grand Sommeil (1946) avec Lauren Bacall & Humphrey Bogart, réalisé par Howard Hawks.

Le lecteur se laisse donc facilement emmener aux côtés de ce détective privé dans un New York reconstitué avec goût. Au cours d'une cellule de texte, les auteurs explicitent le sous-titre : le sauveur fait référence à la signification du prénom du personnage principal. Raives & Warnauts montre donc un individu qui n'a pas réussi à sauver son ami Mike qui a trouvé la mort en marchant sur une mine. D'une certaine manière, il a participé au sauvetage des prisonniers des camps de concentration et d'extermination. Dans le même temps, le lecteur peut se trouver décontenancé par le mode narratif mis en oeuvre par les auteurs. Ils utilisent régulièrement des textes inscrits entre deux rangées de cases, avec un style légèrement mélodramatique, pouvant paraître vieillot. Alors même que la narration visuelle est toujours aussi impeccable et personnelle, l'histoire semble s'appuyer sur de nombreux stéréotypes prêts à l'emploi : le jeune homme traumatisé à la guerre, l'amitié entre le soldat et le prisonnier de guerre, le grand afro-américain costaud, le chef d'entreprise sans morale, la spoliation des juifs, l'arnaqueur arnaqué, les pages d'action redonnant du rythme entre les discussions. le lecteur peut bien voir les thèmes sous-jacents : surmonter un traumatisme, accepter ses limites, trouver une place satisfaisante dans la société, faire avec le système et la place qu'on s'est vu attribuer. Mais d'un autre côté, s'il a en tête les précédents albums de ces auteurs, il ne retrouve ni la même richesse du contexte historique (avec des notes en fin de tome sur les événements référencés), ni l'épaisseur des personnages pour lesquels il prend fait et cause, y compris avec leurs défauts, leurs failles.

Warnauts & Raives emmènent le lecteur dans le New York des années 1950, avec une superbe reconstitution visuelle, fidèle sans être obsessionnelle, baignant dans les ambiances lumineuses apportées par la peinture. L'histoire met en scène un enquêteur privé vétéran de la seconde guerre mondiale, travaillant pour un cabinet d'avocat, recherchant un maître chanteur et des voleurs de tableaux. le récit est bien construit et prenant, avec une mise en images élégante, mais les personnages semblent manquer un peu d'épaisseur et les péripéties auraient été plus prenantes si elles avaient été nourries par plus d'éléments historiques ou sociaux.
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Le duo Warnauts & Raives a signé la série Suites vénitiennes, basée sur Venise au XVIII éme au début de sa chute et le commerce avec l'Afrique notamment, et Après-guerre, une BD en deux tomes sur le difficile retour des populations après la seconde guerre mondiale. Deux bonnes BD, même si Suites vénitiennes avait tendance à perdre en intérêt à chaque tome (neuf quand même) et si Après-guerre se faisait un peu trop complexe dans le déroulé de l'intrigue. Un défaut qu'on ne retrouve pas dans Purple heart : l'histoire – la double histoire même – est claire, voire simple au possible.

Josuah Flanagan est revenu de la seconde guerre mondiale avec une prestigieuse décoration, la Purple Heart, et avec des amitiés de guerre définitives. Dans le New-York des années cinquante, il gagne sa vie comme détective, au désespoir de sa mère qui l'aurait plutôt vu reprendre ses études interrompues suite à sa mobilisation.
Son employeur le charge de faire la lumière sur une tentative de chantage basée sur la diffusion de films pornographiques. La victime est un riche homme d'affaire marié à une bien plus jeune eurasienne de toute beauté. Ce sont ses ébats qui ont été tournés. L'homme d'affaire doit récupérer les bobines pour garantir ses ambitions politiques (on a connu cela en France avec un dénommé Benjamin G. …).
Josuah tente de dénouer les fils de cette histoire de cocuferie et de remise de fonds contre des films, tout en aidant Aron, un brocanteur juif rescapé des camps, à se débarrasser de deux nazillons qui cherchent à récupérer trois tableaux de mauvaise facture.

Les dessins dégagent une douce nostalgie, les années 50 sont celles d'un New-York en construction où l'Empire State reste un des seuls grattes-ciel, les clubs de jazz sont remplis… La double intrigue se déroule avec fluidité et tient dans ce premier tome. Une série prometteuse.
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Avec ce premier tome d'une nouvelle série de BD, un bon polar/thriller, « Purple Heart » : le sauveur, nous faisons la connaissance de Josuah Flanagan, ancien soldat, décoré de la « Purple Heart », pendant la Seconde Guerre mondiale. Médaille militaire américaine, décernée au nom du président des États-Unis, accordée aux soldats blessés ou tués.

On le retrouve 6 ans après la guerre, dans le New York des années 50. Il est devenu enquêteur pour le cabinet d'avocat de Layton, son ancien commandant au front.

Malgré un scénario basique, l'ambiance des années 50 est très bien rendue et palpable, notamment dans les planches avec un trait de crayon fin, maîtrisé et réaliste, avec le jeu des ombres et des lumières rendant le tout très réaliste et visuel. Un héros sombre, torturé, homme à femmes, collant parfaitement à l'intrigue et au genre de cette BD.

On sent bien que c'est un premier tome, l'intrigue se pose, je trouve malgré tout qu'elle manque d'action. J'espère que cela sera le cas dans le second tome, que je ne manquerais pas de lire.

Lien : https://julitlesmots.com/201..
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Un ancien militaire décoré de la Purple Heart est rendu à la vie cible après blessure.
De retour aux États-Unis il occupe un poste de détective privé.
Il va devoir travailler sur plusieurs dossiers pas toujours très honnêtes.
Des dessins façon années 50 mais des dialogues plus actuels.
Un peu d'Histoire , un peu de culture dans ce roman graphique
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critiques presse (4)
ActuaBD
13 janvier 2020
Warnauts et Raives reviennent ici à leur passion pour le polar et le roman noir. Résultat : un album sombre et prenant. Une nouvelle série qui plaira à tous les amateurs de bon polar à l’ancienne !
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Auracan
07 octobre 2019
Après plus de trente ans de collaboration, le tandem Warnauts/Raives fonctionne toujours aussi bien et le lecteur va découvrir un polar bien construit avec des personnages, souvent torturés, dans les décors newyorkais des années 50 au charme suranné d’une Amérique fort contrastée.
Lire la critique sur le site : Auracan
BDGest
18 septembre 2019
Le sauveur, premier volume de Purple Heart, présente toutes les caractéristiques d'un bon polar de série B, avec en prime, un agréable parfum de l'œuvre incontournable de James Ellroy.
Lire la critique sur le site : BDGest
Sceneario
27 août 2019
Les connaisseurs du talent conjugué de Warnauts & Raives apprécieront le graphisme de cet album. Mise en scène efficace, grandiose, rythmée au milieu de décors incroyables refaisant vivre majestueusement ces années 1950. Les couleurs apportent beaucoup de lumière au récit.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
L'officine d'Aron Sleigmann était ouverte sept jours sur sept. Aron ne respectait plus le shabbat depuis la sortie des camps. Josuah y était entré un jour pour acheter un saxophone exposé en vitrine. Il venait de rompre après une liaison longue de six mois, un record à ses yeux. Il avait besoin de compenser. Lorsqu'Aron lui avait tendu l'instrument poussiéreux, Josuah n'avait pu éviter de remarquer la suite de chiffres sur son avant-bras. Les 2 hommes s'étaient regardés et, sans un mot, ils avaient compris qu'ils avaient tous deux foulés les lieux mêmes de l'horreur absolue, l'un en tant que victime, l'autre en libérateur. Ils étaient devenus amis.
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Josuah avait du temps à rattraper. Ces trois années de guerre qui lui avaient été volées dans sa jeunesse, toutes ces choses qu'il aurait dû découvrir et vivre alors en toute liberté, insouciance… Cette pensée le rendait furieux et ce n'est qu'une fois repu, allongé à côté d'un corps féminin, que cette colère s'atténuait. Lauren semblait avoir perçu cette part sombre et elle s'était abandonnée, confiante.
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Curieux personnages, pensa Josuah en se remémorant sa rencontre avec les Layton. Tout semblait séparer le sémillant business man et la somptueuse eurasienne : l'âge, le caractère et même les sentiments… Il avait l'impression d'avoir assisté à une pièce de théâtre aux dialogues soigneusement étudiés et aux attitudes savamment travaillées, comme si le couple vivait en jouant constamment la scène.
Commenter  J’apprécie          50
Joshua n'avait pu sauver Mike, malgré les promesses faites à Sally.
Il avait bien essayé de stopper l'hémorragie lorsque son ami avait marché sur une mine dans cette vallée des Ardennes Belges... cela leur avait valu la purple heart. Mike à titre posthume, lui pour blessure.
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Putain, Mec ! La, Tu me la coupes ...
J'me fait pas de souci. T'es du genre lézard ...
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