Étrangement, ma lecture précédente était écrit par
Katerina Autet, lauréate du Grand prix des enquêteurs 2020. Coincidence ? En tout cas, le postulat de départ : vieux manoir hanté (qui sait ?), correspondance mystérieuse, disparition. Toute cette ambiance me plaît beaucoup au premier abord.
Deux hommes vont se retrouvés, suite à l'avarie de leur train, obligés de cohabiter dans un vieux manoir. L'entente est loin d'être cordiale, et l'atmosphère plus que pesante. Mais leur relation va s"améliorer lorsque l'auteur et l'étudiant vont découvrir de mystérieuses lettres manuscrites d'un illustre homme de lettre. Dans cette correspondance, il est fait allusion à une femme recluse contre sa volonté. Ni une, ni deux, les deux héros vont tenté d'éclaircir cette situation énigmatique.
Transporté par la quatrième de couverture, le lecteur enthousiaste va progressivement déchanté. le manque de suspense et de tension, alors que le cadre s'y prête totalement est bien dommage. Même si les romans policiers historiques sont toujours captivants, il est bon d'avoir un minimum d'action et surtout un meurtre ou du moins une victime.
Néanmoins, les références historiques sur le Second Empire et la Commune sont intéressantes, et c'était un coup de maître d'associer à cette histoire de cmystérieuse orrespondance, le nom d'un célèbre romancier français. la plume d'
Adrienne Weick est agréable, et elle a une réelle connaissance de la biographie et de l'oeuvre de cet illustre écrivain Norman. D'ailleurs le lecteur curieux trouvera à la fin du roman un arbre généalogique de la famille d'Aboville ainsi qu'une courte biographie de ce célèbre auteur français — non il n'y aura pas de spoiler sur son nom ! Pour son premier roman, l'auteure avait matière à imaginer un très bon livre, mais elle a un peu loupé son coup. le suivant sera sûrement plus abouti.
Lien :
http://lillyterrature.canalb..