Avec ce deuxième numéro de Spider-Man, au moment d'une énième remise à zéro des revues Panini, nous nous retrouvons au beau milieu de l'arc Spider-Island tout en continuant de suivre l'Avenging Spider-Man (en décalage de quelques mois).
Comme le dévoile la couverture, nous avons le loisir de suivre une belle association entre Spider-Man et de Rulk. Ce dernier perd facilement de son intérêt premier à être du côté des « gentils », mais l'associer ainsi avec le célèbre tisseur compense ce malheureux état de fait. Bref, ce passage m'a plu ;
Zeb Wells gère bien son affaire avec ce remake de Spider-Man Team Up, car Spider-Man ne cesse d'accueillir certains Avengers dans ses aventures en solo. Cette association toute de rouge vêtue fonctionne très bien entre malice et force pure.
Concernant l'arc Spider-Island, même s'il ne m'a pas enthousiasmé de masse, nous sommes dans la partie la plus agréable : la situation dégénère, personne ne sait encore comment réagir et nous faisons des découvertes intéressantes. Sans les tie-ins juste à côté, il y a plein d'ingrédients de l'histoire qui passent à la trappe et nous y perdons une bonne part de l'intérêt de ce récit vraiment particulier à suivre.
Dan Slott fait sûrement ce qu'il peut pour maintenir tout cela à flot.
Bref, ce numéro deux se laisse lire sans déplaisir mais pêche encore par de nombreux points sans compter les choix litigieux de la part de
Panini Comics…