Une naissance entourée de mystère semblait destiner Maxime Weygand à une vie effacée ; des dons exceptionnels l'ont, au contraire, mis de bonne heure sur le devant de la scène. Avec Foch d'abord, en Pologne et en Syrie ensuite, à la tête de l'armée enfin.
Lorsque la limite d'âge l'atteignit, en janvier 1935, cinquante années de cette vie bien remplie avaient été consacrées à l'armée et au pays et l'ancien généralissime n'aspirait plus qu'à la retraite, afin d...
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