Avec "
Le Diable a des ailes",
Harry Whittington à réussi l'un des meilleurs romans d'action que je connaisse. Dès le moment où l'avion décolle, le rythme s'accélère et il ne faiblira plus jusqu'à la dernière page, de l'attaque de la banque aux scènes aériennes, pourtant je ne suis pas particulièrement amateur d'aviation.
Comme souvent l'image de soi et celle que l'on veut donner aux autres régissent grandement les relations entre les protagonistes qui sont, elles aussi, intenses et évidemment problématiques.