Un maître anglais de la science-fiction, qui a inspiré, entre autres, «
Le Village des Damnés » de Wolf Rilla puis
John Carpenter, s'essaye à la nouvelle. Grâce à une drogue indienne, la chinjuatine, Jane Waterleigh est transférée dans un futur où il n'y a plus que des femmes. Un virus, découvert à l'époque par le docteur Perrigan a supprimé tous les hommes. En sortant de son songe, Jane tue le docteur Perrigan et incendie son laboratoire. Elle est jugée. Mais à la fin de la nouvelle, on apprend que Perrigan a un fils, biochimiste. Cinq autres nouvelles : « Odd », « Oh, Where, Now Is Peggy Mc Rafferty ? », « Stitch in Time », « Random Quest » et « A Long Spoon ». Bien souvent, ces textes sont aussi quelque peu satiriques : le sport, l'argent, la mode… Tout cela est diablement efficace et me rappelle Oscar Lemnaru. Ainsi, le monde dans lequel s'est transportée Jane Waterleigh est troublant par sa ressemblance avec le nôtre sur certains points d'une part, d'autre part par la pertinence de certaines considérations, si bien qu'on finit par douter : finalement, et si…