Sans prise de tête, on peut le lire sous un coup de soleil, tant de fraicheur nous fera oublier le feu des rayons solaires car le souhait de Izzi est bien sûr celui de chacun de nous, trouver un ami de cœur, celui à qui l'on est tout confiant. Après avoir découvert que son homme la trompait, Izzy trouvera l'amitié auprès de Henry son chien mais celui-ci ne parle pas, elle espère tout de même retrouver un jour celui qui parle...
Une bonne détente!
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Le résumé de la 4ème de couverture n'est pas très bien fait, car il ne met pas en lumière les bons éléments déclencheurs, et il recèle de petites inexactitudes. Donc pendant la moitié du roman je me suis demandée ce qu'il se passait.
Mais sinon, petite comédie romantique très sympathique, assez bien menée. Je me suis retrouvée en Izzy, fille un peu paumée, qui peut détester quelqu'un au premier regard et devenir très mauvaise langue, qui adore les potins, qui n'aime pas la solitude, et s'adresse à son chien comme à un humain.
Les personnages sont très attachants, il y a quelques quiproquos qui font sourire, une ou deux situations sortant un peu de l'ordinaire mais sans être absurdes...
J'ai passé un très bon moment avec ce livre.
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J'aime bien les livres de cet auteur car elle ne néglige pas les seconds rôles. Tous les personnages évoluent pendant l'histoire. j'ai bien aimé ce roman parce que tout n'est pas stéréotypé dans les personnages. J'ai beaucoup apprécié l'organisation de la murder-party ...
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J'avais soudain une impression de déjà vu, comme s'il me rappelait quelqu'un. C'était plus flou que l’écho d'une lointaine musique, mais en même temps je percevais des vibrations vaguement inconfortables que je ne parvenais pas à identifier.
quand la plupart des hommes sont aussi romantiques qu’un pâté en croûte, toutes les balivernes susceptibles de vous faire tourner la tête sont bonnes à prendre.
On pourrait quand même aller voir le Taj Mahal,dit il.Mais ca fait une sacrée trotte pour te dire je t'aime"
je savais qu'il m’aimait.Il n'avait pas besoin de le dire. Les yeux pleins de larmes,je déclarai d'une voix lamentablement chevrotante : " Et tu me fais pleurer,en plus,alors que je n'ai pas un kleenex...
- Allez,viens dans mes bras
Je raccrochai comme par réflexe. Comme quand vous retirez la main du fer brulant avant que la douleur n'atteigne votre centre nerveux.
Sous cette perfection glaciale, se cachait tout bêtement une autre simple mortelle qui disait des choses stupides, faisait des gaffes et se sentait idiote.