La mafia du chocolat, tome 1

Nous sommes en 2093, Anya Ballanchine héritière du parrain Leonyd Ballanchine, trafiquant de chocolat, alors illégal, rompt avec son petit ami qui a voulu la violer, mais quelques temps plus tard, il est empoisonné par du chocolat que lui a donné Anya.... Tous les soupçons se portent sur elle.

Un excellent roman jeunesse, avec un ton décalé et drôle qui nous embarque dans une histoire de Mafia et surtout une histoire de famille avec ses guerres intestines pour le pouvoir.
Evidemment il y a aussi une histoire d'amour à la Roméo et Juliette vraiment sympa avec des personnages très très attachants.

J'ai vraiment bien aimé cette histoire qui m'a fait passé un bon moment.

c'est totalement par hasard que j'ai décidé d'emprunter ce livre à une amie. La couverture n'est pas particulièrement belle, mais le résumé et l'avis très enthousiaste de mon amie m'ont poussé à le lire. Et je ne le regrette pas.
On découvre le quotidien d'une fille dont le père était un mafieux. Il n'est déjà pas facile à assumer, surtout quand on doit s'occuper d'une petite soeur traumatisée, d'un grand frère retardé mentalement et d'une grand-mère malade. Mais les ennuis arrivent très vite et compliquent tout. Je ne me suis pas vraiment ennuyée mais il y avait des moments où je ne pouvais pas décrocher de l'histoire et d'autres où j'avais envie qu'on en finisse. La fin n'annonce pas une partie de plaisir pour la suite mais il y a tout de même un message d'espoir derrière tout ça et je peux dire que cette lecture m'a rendue assez optimiste (étrange avec le pessimisme de l'héroïne, non ?).
le personnage principal de l'histoire est donc Annie, ou Anya. C'est la cadette de la famille mais elle est considérée comme l'aînée et doit s'occuper de chaque détail. Son passé est révélé petit à petit et je l'ai trouvé encore plus émouvante après ça. Elle est d'un naturel méfiant et prudent, ce qui se comprend. On découvre durant toute l'histoire son intelligence, mais aussi son coeur, où elle laisse finalement entrer un nouveau personnage. Ce personnage s'appelle Win. Dès le début on sait qu'il va y avoir une histoire d'amour, c'est obligé. Je pense qu'il y a eu de meilleurs petits amis et j'aurais aimé plus accrocher à son personnage. Natty est la petite soeur d'Annie et Léo le grand frère qui a eu un accident. C'est lui que j'ai trouvé le plus touchant et j'espère que son rôle sera développé dans la suite et qu'il aura enfin une belle histoire d'amour !
le style de l'auteur est en réalité celui d'Anya, et étant assez brusque, elle ne mâche pas ses mots. Elle fait néanmoins de l'humour assez cynique ce qui rend le roman drôle et spontané en plus du suspens déjà présent. L'auteur arrive à décrire les moments avec précision et justesse, pour montrer l'injustice qui en découle. Il s'agit donc d'une dystopie puisque le récit se passe dans le futur et dans une société rongée par les problèmes.
J'ai beaucoup aimé ce roman mais je lui trouve aussi quelques défauts, comme Win que je ne trouve pas assez à mon goût et parfois quelques petites longueurs. J'ai tout de même passé de très bons moments et je suis impatiente de lire le tome 2, dont le chocolat est... une grenade ! Alors autant dire que l'histoire sera sûrement encore plus explosive.

Je pense pouvoir dire sans trop me tromper que ce livre plaira à tous les amateurs de romans policiers.
Ce qui m'a beaucoup plus dans ce récit c'est le fait que même si l histoire prend la forme d'une simple enquête policière dans une époque futuriste, c'est en réalité un moyen de nous mettre en garde contre ce monde qui pourrait devenir le nôtre si nous ne faisons pas attention.
De plus, ce livre est raconté par l'héroïne elle-même, ce qui implique encore plus le lecteur.
« Je me suis assise dans un matelas, j'ai fermé les yeux et je me suis imaginée partager une tablette de chocolat avec quelqu'un que j'aimais. » : cette phrase m'a marqué car elle présente comme impossible quelque chose qui nous semble banal, possible dans la vie de tous les jours.

Sofiane Weitten 3°1

La mafia du chocolat nous emmène dans un monde où le chocolat est interdit et la caféine illégale. Lorsque l'ex petit ami d'Anya, fille de l'ancien gérant de l'industrie illégale Balanchine, tombe gravement malade, empoisonné avec du chocolat, elle est tenue pour responsable ! Envoyée dans le centre de lybertie, un centre de détention pour mineur, Anya enquête pour trouver qui a empoisonné le chocolat de la famille Balanchine...

Gabrielle Zevin nous offre une histoire poignante entre l'amour d'Anya et sa famille. Qui a empoisonné l'ex petit ami d'Anya ? Comment finira Anya? Pour le savoir, lisez La mafia du chocolat; vous ne le regretterez pas !

Clément.

Résumé : Anya Balanchine vit à New York avec son frère aîné, resté simple d'esprit depuis un accident de voiture où leur mère a été tuée, avec sa petite soeur et leur grand-mère gravement malade. Anya n'a également plus de père car celui-ci a été assassiné. Il est dur pour elle d'être la fille du parrain du chocolat Balanchine, car le chocolat et le café sont illégaux. Anya a aussi un petit-ami peu fréquentable avec qui elle va rompre. Sa vie bascule lorsque celui-ci est au bord de la mort après avoir mangé du chocolat Balanchine qu'elle lui avait fourni : elle se retrouve dans un centre de détention pour mineurs, accusée de meurtre, elle tombe amoureuse du fils du procureur qui veut protéger son fils en l'empêchant d'être avec Anya, elle est finalement libérée, mais assiste à l'embrigadement de son frère par la famille Blanchine, se retrouve de nouveau orpheline avec la mort de sa grand-mère, et commence à comprendre qu'elle va devoir se mêler des affaires de la famille Balanchine.

Mon avis : Un roman original avec une héroïne au caractère bien trempé, soutien de famille, qui se retrouve bien malgré elle mêlée aux affaires maffieuses de sa famille, pouvant même devenir une des dirigeantes de cette entreprise familiale. Et bien sûr, l'amour s'en mêle, compliquant tout.... A savourer comme une plaquette de chocolat.
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En 2083, le chocolat et le café sont illégaux, le papier est difficile à trouver, l'eau est précieusement rationnée, et la ville de New York est dominée par le crime et la pauvreté. Anya est la fille du défunt criminel le plus célèbre de la ville, Leonyd Balanchine, à la tête des chocolats Balanchine et de la mafia locale. Assassiné dans son bureau, il laisse trois enfants : Léo, 19 ans, l'ainé de la fratrie, qui accuse un retard mental depuis un grave accident de la route alors qu'il avait 9 ans, dans lequel sa mère a été tuée. Ils avaient été pris pour cible par des tueurs voulant éliminer le parrain, depuis Léo est resté bloqué en enfance. Anya, 16 ans, sa fille ainée, qui a en réalité la charge de son frère et de sa jeune soeur Natalia, 12 ans. Vivent également avec eux, Galina (Nana), la mère du parrain défunt, gravement malade depuis des années et branchée en permanence à des machines qui lui permettent de survivre et Imogen Goodfellows, sa garde-malade, par ailleurs lectrice infatigable de romans victoriens.
On fait connaissance d'Anya, à la veille de la rentrée scolaire. La jeune fille va entamer sa première dans la très catholique école de la Sainte Trinité. Elle a fait voeu de rester vierge pour son mariage et son petit ami, Gable Arsley, devient trop pressant et tente de la violer. Heureusement Léo intervient et chasse l'adolescent, début des ennuis. Car dès le lendemain, il commence à répondre des calomnies sur le dos d'Anya et finit avec un plat de lasagnes sur la tête. Elle est bien sûr punie, car on ne rigole pas avec la discipline à Sainte Trinité, et c'est ensuite que tout va réellement démarrer. Anya, qui déjà n'a pas bonne réputation, est la meilleure amie de Scarlett, une apprentie comédienne, qui n'a pas elle non plus la meilleure réputation. Elles sont un peu mises au banc par les élèves et par les professeurs mais vont faire la connaissance de Win, le fils de l'adjoint du procureur, new-yorkais de fraiche date, qui suit le même cours de français que Scarlett et qui devient le binôme d'Anya en cours de science médico-légale. Un soir, en rentrant du lycée, son cousin Jacks sonne à la porte. La famille souhaite que Léo les rejoigne et travaille à la piscine, le Q.G des Balanchine, la jeune fille voit cela d'un très mauvais oeil mais fini par accepter sur les conseils de sa grand-mère même si elle n'a aucune confiance dans son cousin. Celui-ci laisse en partant un carton empli de chocolat (denrée interdite vous vous souvenez ?) pour Nana. La vieille dame offre deux tablettes d'extra-noir, le préféré d'Anya, afin qu'elle le partage avec quelqu'un qu'elle aime. Elle n'aura pas l'occasion de les savourer car Gable débarque pour soi-disant faire la paix et s'excuser, mais surtout pour se faire offrir du chocolat, puisqu'il sait qu'il y en a toujours chez les Balanchine. Elle veut se débarrasser de lui au plus vite et lui offre les deux tablettes, malheureusement pour lui, le chocolat est empoisonné et va l'envoyer tout droit à l'hôpital, et Anya, tout droit en prison, à Liberty, une maison de correction construite dans les fondements mêmes de la statue de la liberté, qui elle a disparu.
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C'est l'un de ces livres sur lesquels j'ai du mal à faire un point une fois que je l'ai fini... J'ai même longtemps hésité entre 3 ou 4 étoiles, mais bon 3,5, en arrondissant, ça fait 4. Je vais donc faire deux parties : ce que j'ai aimé, ce que je n'ai pas aimé.

Ce que j'ai aimé :

- J'aime beaucoup la période de la prohibition, et avec ce livre, on est un peu (beaucoup ?) plongé dans cette époque, avec les produits interdits, le marché noir, la mafia... même les tenues décrites font penser aux vêtements de cette époque ! Bref, j'adore vraiment tout ce côté.

- J'aime bien les personnages, et même le personnage principal, ce qui est rare ! Je trouve que le personnage d'Anya est assez crédible : une enfant qui a été obligée de devenir adulte très vite. Elle est très réfléchie, mais n'en devient pas ennuyeuse pour autant. Ses pensées parfois froides et calculatrices ne la font pas non plus passer pour un personnage détestable. Elle est attachante car elle aime sa famille et fait tout pour la protéger. J'aime bien sa petite soeur, et aussi Leo. Ils ont chacun leur utilité dans l'histoire. La vieille grand-mère mafieuse et protectrice : super. J'aime aussi Scarlet, qui donne une petite touche de folie, juste ce qu'il faut. Bref, j'aime bien tout le monde... sauf une personne...

Je n'ai pas aimé :

- Alors, désolée à toutes ses fans, mais je n'ai pas aimé le personnage de Win. Anya passe son temps à le décrire comme parfait, mais franchement, il ne fait rien de si "remarquable" dans le livre. Alors oui, il est un peu galant et prévenant, ça doit la changer de Gable, mais de là à dire tout le temps qu'il est parfait et à risquer la vie de toute sa famille pour lui... j'ai de gros doutes. J'ai trouvé ça encore moins crédible vu comme Anya est quelqu'un de réfléchi... Dès qu'elle est avec lui elle a presque un dédoublement de personnalité... C'est dur à croire !

- Bon j'ai bien aimé l'histoire, mais en soit ça y va très (trop ?) progressivement. Il n'y a pas tant d'action que ça. En fait j'aurais quand même bien aimé qu'elle soit un peu plus mêlée à "la famille"... (ce qui arrivera dans le deuxième volume ?), et donc qu'il y ait un peu moins de passage "lycée"...

- Tout le côté religieux, "pas de sexe avant le mariage"... cher aux auteurs américains (le livre est américain), qui aurait pu être un peu atténué pour la traduction française... Enfin, j'imagine que certains parents seront contents.

- Je trouve que les personnages dans ce livre ont une mémoire phénoménale. Son père est mort quand elle avait 9 ans, mais elle arrive à ressortir au moins une trentaine de phrases de son père... elle en a fait un livre ou quoi ? Enfin, l'auteur en fait une touche humoristique sur la fin, donc ça passe.

Alors oui, j'ai plus de points négatifs que de points positifs, mais vous remarquerez que les points positifs sont plus gros et représentent de plus gros aspects du livres. Quand on aime les personnages, l'époque, et l'ambiance, c'est déjà beaucoup. Les points négatifs justifient surtout le fait que je n'ai pas "adoré" le livre, et donc pas mis 5 étoiles :)
J'envisage tout de même de lire la suite.

Nous voici dans un nouveau récit dystopique (encore !) mais Gabrielle Zevin a choisi de le faire ressembler son univers à l'époque de la prohibition aux États-Unis. Les pénuries sont partout et la production de ces produits engendrent trop de dépenses supplémentaires pour la société. L'eau, l'électricité… tout est contrôlé et facturé à la moindre goutte. Prendre une douche de 5 minutes devient un pur luxe, tout comme se déplacer en voiture. Alors forcément le chocolat et le café sont considérés comme trop coûteux pour le bénéfice engendré ; d'où leur illégalité.

J'ai retrouvé dans ce roman l'ambiance de l'époque prohibitionniste, cet arrière goût d'avoir connue une époque plus enjouée, moins rationnée et surtout moins contrôlée. Il est d'ailleurs très intéressant d'écouter la grand-mère d'Anya raconter sa jeunesse. En toute bonne fille du XXIème siècle, elle a connu l'opulence et la consommation à outrance. Rien ne lui était refusé que ce soit dans les technologies ou la consommation de produits. Voir décrit au passé notre époque actuelle nous fait jeter un autre oeil dessus.

Anya est le personnage principal de ce roman. Elle est décrite comme une fille forte voire froide. Elle n'a que 16 ans et a déjà une tonne de décisions à prendre et à gérer entre sa grand-mère, son frère ainé et sa petite soeur. Elle est accompagnée dans la vie d'une super meilleure amie et va aussi rencontrer un jeune homme qu'elle aurait du éviter. Win est, en effet, le fils unique du nouveau procureur. Et quand votre famille fait dans la contrebande c'est le genre de chose qu'il vaut mieux éviter. Malgré ses calculs et son apparente tranquillité, Anya va vite apprendre que lorsque les sentiments s'en mêlent tout devient plus compliqué.

J'ai trouvé belle l'écriture de Gabrielle Zevin. Elle ne ménage pas ses personnages et les emmène jusqu'au bout de leurs sentiments et de leurs capacités quitte à détruire l'histoire qu'elle a elle-même créée. A priori il s'agirait d'un tome 1 mais pour moi une suite n'est pas nécessaire. La fin reste ouverte, à nous d'inventer celle que l'on veut.
Lien : http://boumabib.fr/2012/10/1..

La mafia du chocolat est une dystopie. On suit l'histoire de Anya Balanchine, la fille du parrain de la mafia du chocolat qui est accusé du meurtre de son ex-copain empoisonné par le chocolat de la fabrique de sa famille.
J'ai beaucoup aimé ce livre car c'est la première fois que je lis une dystopie. L'histoire se déroule dans un monde où pas mal de choses que l'on connaît aujourd'hui n'existent pas. Par exemple, les fruits et les légumes, le chocolat, la caféine et même les animaux de compagnie sont interdis. Les personnages sont très attachants.Anya est forte et courageuse. Parfois je m'imaginai à sa place. Je recommande donc ce livre.

RESUME: Ce livre raconte l'histoire d'Anya, 16 ans, orpheline et qui doit malgré elle s'occuper de sa petite soeur, Natty âgée de 12 ans et de son grand frère Léo, handicapé mental âgé de 18 ans, étant donné que sa grand-mère, Nana, son tuteur légal, est alitée. Elle vit à New-York, là où le chocolat et la caféine sont illégaux. Mais étant la fille du défunt parrain du chocolat, elle en possède donc illégalement chez elle dans un coffre fort. Un jour, elle reçoit de la part de son cousin Jacks une livraison de chocolats empoisonnés. Ignorant cela, elle en donne à son ex petit-ami après que celui-ci a longuement insisté. Gable, son ex petit-ami tombe alors dans le coma. de ce fait, Anya est soupçonnée, étant la fille du célèbre parrain. Non seulement elle se fera arrêter, mais en plus elle se retrouvera mêlée aux histoires mafieuses de sa famille.
Devra-t-elle renoncer aux cours pour sortir son revolver ?

CRITIQUE: Ce livre m'a plu car je l'ai trouvé poignant. Pour ma part, je n'ai pas décroché à un seul moment. Quand on finit un chapitre, on a tout de suite envie de savoir la suite. Les passages descriptifs étaient minoritaires, ce qui rendait le livre plus captivant. J'ai aussi aimé le fait de ressentir les émotions de l'héroïne. Je trouve Anya très courageuse et mentalement très forte car être orpheline, avoir pour seul tuteur une grand-mère alitée, au bord de la mort et en plus devoir veiller sur son frère et sa soeur le tout en étant accusée d'empoisonnement, je pense qu'il faut avoir les épaules solides et une bonne maturité pour supporter tout ça.

Thérésa.