Il n'y a pas d'Absolu. Ni d'un parti, ni d'un groupe. "En dehors" nous allons - individuels, sans la Foi qui sauve et qui aveugle. Nos dégoûts de la société n'engendrent pas en nous d'immuables convictions. Nous nous battons pour la joie des batailles et sans rêve d'avenir meilleur. Que nous importent les petits-neveux ! C'est en-dehors de toutes les lois, de toutes les règles, de toutes les théories - même anarchistes - c'est dès l'instant, dès tout de suite, que nous voulons nous laisser à nos pitiés, à nos emportements, à nos douceurs, à nos rages, à nos instincts - avec l'orgueil d'être nous- même.
C’est la vie qui se déroule, brutale : coups de poing, coups de plume, explosions, coups d’ongle. Faits divers : ce dont on cause, ce dont on rage ou l’on sourit… Tournez les pages.
Paris ! Le Paris qui vote, la cohue, le peuple souverain tous les quatre ans... Le peuple suffisamment nigaud pour croire que la souveraineté consiste à se nommer des maîtres.
Les lois qu'ils aiment ne les frapperont jamais assez.