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3,66

sur 1343 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Le 16ème tome des Rougon-Macquart ne trônera pas parmi mes favoris de la série, même si sa lecture aura été bien moins douloureuse que celle de son grand frère "La faute de l'abbé Mouret".

Avec son nombre de personnages remarquablement réduit, sa prose exaltée et emphatique plutôt oppressante et son thème éthéré, "Le rêve" a certes de quoi faire couler beaucoup d'encre dans une classe de littérature, permettant bien des interprétations et ouvrant sur de nombreuses analyses, mais n'a pas eu le pouvoir de totalement me charmer. Cela tient sans doute en grande partie au fait que le goût de décortiquer la littérature m'a passé avec les années ; je ne suis plus aujourd'hui qu'en quête du plaisir, celui que procure un style poétique et une trame dynamique ; poésie et action, j'en conviens, n'étant pas toujours facile à concilier.

Pour ce qui est du style, rien à dire. Ou plutôt rien à ajouter à tout ce qui a déjà été dit. C'est du Zola, c'est vivant, palpitant et enivrant. Pour la trame, aïe. Notre cher auteur devait être en pleine crise de mysticisme et aura peut-être voulu créer son propre mythe, le situant grosso modo entre le "Roméo et Juliette" de Shakespeare et l'hagiographie de Sainte Agnès. Partant de là, le récit trouve difficilement son équilibre entre tragédie (un peu trop théâtrale) et texte sacré (un peu trop mythologique).

"Le rêve", c'est la dissection du désir, la poussée de la passion, nés dans une âme innocente, celle d'Angélique, une orpheline au nom prédestiné puisque Zola en fait un ange, la parabole de la pureté, le symbole de l'innocence et l'allégorie du martyre. L'enfant naturelle de Sidonie Saccard, abandonnée à sa naissance, témoigne dès son plus jeune âge d'une belle propension à l'imagination. Fantasque, exaltée, mystique, elle a conçu le rêve qu'un Prince Charmant viendrait l'épouser et ferait d'elle, la pauvresse, une nouvelle reine de Saba. A 16 ans, sa rencontre déterminante avec un ouvrier verrier va la faire basculer du rêve à la réalité. Se succèdent alors dans le récit, de façon très académique, trois phases bien identifiables : le souhait du songe, la réalité du rêve et le réveil... brutal.

N'allez pas croire en me lisant que ce roman ne vaut pas le détour, loin de là. Simplement, pour moi, c'est typiquement le genre de texte dont la puissance poétique ne conviendra pas à tous les lecteurs, surtout aux plus terre-à-terre. Je pense que pour l'apprécier, il faut déjà avoir une sensibilité spirituelle bien éveillée et être prêt à entrer dans une bulle d'irréalité où chaque parole et chaque action sont dictées non pas par le pragmatisme du quotidien mais bien par la ferveur de l'idéal, celui qui habite les poètes et les saints. Sans cela, gare à l'ennui !

Un beau texte, mais pas le meilleur de l'auteur.


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Challenge Petits Plaisirs 2016
Challenge 19ème siècle 2016
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Un condensé de rêveries douces-amères mêlées de mysticisme et de religiosité.

Roman particulier s'il en est ! Il est clair que les amoureux des romans d'action doivent passer leur chemin car, ici, point d'action quasiment mais des descriptions à volonté : des analyses de sentiments, des peintures de vie quotidienne, des explications imagées du travail de broderie, des évocations historiques et religieuses, des récits détaillés de procession ou autre fête, des réflexions sur la vie, le bien et le mal.
La thématique principale semble bel et bien être l'Amour dans toute sa beauté et sa pureté. Amour chaste mais éternel, dont on meurt. Au-delà des classes sociales et des conventions de ce monde, la jeune Angélique trace son chemin de vie modeste, pieuse et laborieuse. Doit-elle être un exemple ? Peut-elle être considérée comme une héroine de roman ? Sa vision des choses est singulière, ayant vécu en recluse : que connait-elle du monde ? Cela ne l'empêche pas d'aimer pleinement.
Quelles que soient les questions que le lecteur actuel se pose à cette lecture, il n'en reste pas moins un texte superbe, magnifiquement écrit !

Une pause littéraire offrant un délice de phrases, des instants de contemplation en toute simplicité.
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Après le déchaînement des critiques qui se sont abattues sur Zola dès la publication du quinzième volume des Rougon-Macquart La Terre, il décide d'écrire un livre dans lequel les lecteurs ne le reconnaîtront pas. Un roman qui ne choquera personne, y compris les jeunes filles innocentes. Un roman qui laissera couler une idylle, sans aucune violence décrétée ordurière par ses détracteurs. Il laisse donc de côté la réalité crue du Second Empire, et nous offre une petite part de rêve, un petit moment imaginaire baignant dans la pureté, dans le sentimentalisme et dans des légendes religieuses, source indispensable du miracle.

La date, le lieu renvoient dès les premiers mots à une ambiance religieuse dans laquelle Zola nous englue assurément. Il nous tire les larmes en ce petit matin de Noël avec cette enfant de neuf ans qui grelotte sous ses haillons, tentant de se protéger de la neige derrière un pilier dans le renfoncement de la porte Sainte-Agnès de la cathédrale de Beaumont-l'Église.
D'une étroite bâtisse accolée à cette cathédrale, un gentil couple de brodeurs la prend en pitié et la recueille pour en faire leur apprentie avant de l'adopter définitivement puisqu'elle a été abandonnée à l'Assistance Publique. La violence du monde, dont Zola ne peut se défaire complètement, figurera ici dans le passé d'Angélique et il n'en sera plus question après les quelques informations qu'elle délivrera rapidement aux Hubert. Et pour figurer dans le cycle des Rougon-Macquart avec l'hérédité qui coule dans les veines de cette vaste famille, l'auteur prête à Angélique des réactions orgueilleuses et coléreuses, pleines de passion excessive mais vite suivies de larmes de remords et de regrets. Un foyer aimant dans ce petit coin béni fera-t-il taire les tares héréditaires ?
Pour Hubertine, sa mère adoptive, le respect et l'obéissance doivent éloigner d'elle ce penchant fougueux et passionné et elle doit y veiller. Angélique grandit donc cloîtrée dans cette maison, à l'ombre de la cathédrale, sans jamais s'éloigner de ce petit bout de ville exhalant son souffle religieux. Zola lui donne alors « une vie de soumission, de pureté et de croyance » accentuée par la lecture de la Légende dorée, ses belles gravures et son monde de bondieuseries dont elle s'émerveille et se passionne.
J'admire habituellement les capacités de l'auteur à s'emparer d'un sujet et à l'exploiter sous tous les angles mais là, les éléments qu'il a puisés dans ce livre très ancien m'ont fait bailler d'ennui. Trop de martyrs, de saints qui se bataillent contre les diables, de supplices et tortures dont ils ressortent triomphants et grandis, trop de passages assommants en vieux français…
Plus ancré dans le réel, j'ai préféré le vocabulaire propre au métier de chasublier qui défile à la façon « zoliesque». Les ors et les soies, en longues aiguillées, se brodent sur les tissus des chasubles et Angélique y dépose sa passion et excelle dans ses ouvrages. Et, bien mieux que n'importe quelle appréciation posée sur le talent de l'auteur à faire vivre la cathédrale, je préfère vous en donner ce bel exemple « Des plantes, toute une flore, les lichens, les graminées qui poussent aux fentes des murailles, animaient les vieilles pierres du sourd travail de leurs racines. » Il fait donc vibrer ici cet édifice religieux, lui donnant une place centrale dans cette part de rêve.


Zola porte un accent particulier sur le symbole de pureté qu'amène la couleur blanche et y revient régulièrement avec les murs à la chaux de la chambre d'Angélique, avec les morceaux de tissus qu'elle dérobe enfant, avec la blancheur du linge d'où émergera l'idylle avec Félicien pour enfin sortir du rêve de la jeune fille qui espère son prince charmant. Zola s'essaierait-il au conte de fées ?

Dans un étourdissement de sainteté, de cantiques, de processions, d'encensoirs, ce n'est pas un souffle mystique qu'il fait défiler mais une réelle tempête religieuse qui peut plaire ou agacer…
Angélique n'est pas sans nous rappeler Albine de la Faute de l'abbé Mouret. Elle est l'image même de la vertu, de l'ignorance, de la naïveté et toutes deux vivront un amour ardent.
Mais les miracles existent-ils en dehors du livre des légendes ?

Le Rêve, parenthèse purement romantique et religieuse, répond tout à fait à la mise au placard de toutes les indécences, violences, hypocrisies que Zola développe énergiquement dans ses autres romans. C'est peut-être pour cette raison qu'il paraît bien fade et que j'ai apprécié son petit nombre de pages, il n'aurait pas fallu que Zola s'éternise davantage sur cette « vie telle qu'elle n'est pas, telle qu'on la rêve.»
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Cet opus est bien différent des autres livres de la série. L'histoire d'abord est resserrée autour de peu de protagonistes et même parfois est à une seule voix; celle d'Angélique, la jeune héroïne, et cela est plaisant. Il y a également presque unité de lieu, limité à cette proximité avec la cathédrale adjacente à la maison des brodeurs qui ont recueilli Angélique, ce qui donne d'ailleurs lieu à des passages remarquables pour exprimer les sensations et les ressentis qu'elle procure. L'attention portée au travail de broderie d'Angélique et de ses parents "adoptifs" permet à l'auteur des descriptions précises mais pas du tout ennuyeuses: juste un hymne au travail bien fait et à la création. En fait, j'ai trouvé ce roman plein de grâce, si on accorde une attention bienveillante à l'exaltation de l'héroïne, en considérant l'époque à laquelle le livre a été écrit, une époque où la religion comportait une grande part de rêve pour une âme "vierge" (la lecture de la Légende Dorée, livre de chevet de beaucoup de croyants y était pour beaucoup). de plus, l'écriture est incroyable, elle qui rend la réalité palpable, en faisant appel aux sens et aux images. Jolie lecture.
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Fallait bien qu'à un moment ou un autre, une oeuvre de la série Rougon-Macquart m'interpelle moins... et ce fut le cas ici... Après un livre dont l'écriture ne m'a pas plu, je me suis dit que du Zola, c'était une valeur plus que sure au niveau de l'écriture... Certes, j'ai retrouvé cette plume habile, magnifique, tout en douceur cette fois, mais c'est l'histoire qui m'a laissé sur ma faim... Parce que mis à part l'écriture, il faut bien dire qu'il ne s'y passe pas grand chose... Bref, on passe maintenant à La bête humaine !!! ;)
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Le rêve est un ouvrage à part dans la saga des Rougon-Macquart de Zola. Tout ici est différent.

Ce qui saute aux yeux, tout d'abord, est le format, ici bien plus réduit que la plupart des autres ouvrages de la geste familiale.

Ensuite, le lien avec la famille n'est pas aussi évident que dans les autres romans de la série. Certes il y a bien le personnage principal, son hérédité (et ce que cela comporte pour Zola), mais tout reste discret, peu mentionné.

L'intrigue en elle-même est aussi très différente de ce que nous réserve d'habitude l'auteur. Il a ici clairement cédé aux critiques de son temps et cela se remarque qu'il n'écrit pas vraiment pour lui, mais plutôt pour l'idée que l'on doit se faire de lui.

Le cadre tranche tout autant. Nous nous retrouvons ici dans une petite ville de province, dominée par sa cathédrale. Si la galerie des personnages est riche, ceux-ci ne jouent qu'un rôle de second plan, laissant la part belle à une protagoniste et à trois personnages de second plan.

Le texte est relativement facile d'accès, bien qu'il faille accepter de très longues descriptions, et réflexions, qui sont au coeur de l'ouvrage et qui ne laissent qu'une petite place aux dialogues. Il s'agit là d'une approche logique qu'il faudra accepter.

En somme voici un roman assez atypique dans sa série, qui peut être lu séparément. Moins connu que les grands succès de la série, il n'est pas forcément celui qui est le plus facile à suivre jusqu'au bout, malgré des rebondissements imprévus… hélas divulgâchés par des notices intempestives.
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Seizième tome des Rougon-Macquart, ce roman de Zola retrace l'histoire d'Angélique Rougon. Comme à son habitude, Zola choisit un thème sociétal qu'il déroule efficacement dans un roman. Cette fois-ci, il s'intéresse à la foi populaire et au renouveau du mysticisme dans la société française de la seconde moitié du XIXe siècle.

Angélique, enfant trouvée, s'enfuit de chez sa nourrice. Recueillie par un couple de brodeurs, elle grandit là comme dans un cloître, loin du monde, niant le mal. Petit à petit, elle s'ouvre à la religion, mais va également découvrir l'amour, ce qui, pour elle, ne sera pas compatible … Tiraillée entre ses deux aspirations, la jeune fille, faible de volonté et d'esprit, choisira une solution intermédiaire …

Pour la deuxième fois, un roman de Zola auquel je n'ai pas vraiment accroché. Lorsque Zola parle de religion, cela m'ennuie (surtout quand il nous fait de l'hagiographie à répétition), et je n'ai pu qu'être agacée par les religiosités d'Angélique, toujours si belle, si blanche, si vierge, et surtout d'après moi, si inconsistante …

Bref pour moi ce n'est pas le meilleur et de loin. Mais malgré tout je continue ma découverte des Rougon …
Lien : http://missbouquinaix.com/20..
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Après « La Terre », quel contraste !

Ce seizième volume des Rougon Macquart est une déception.
Nous y suivons Angélique, orpheline, recueillie par les Hubert, un couple de brodeurs en mal d'enfant.
Angelique est une héroïne dévote, une espèce d'illuminée mystique qui vit dans un rêve où se mêle son adoration des Saintes et sa conviction qu'elle rencontrera le grand amour.
C'est un parangon de pureté, belle, blonde, vierge et finalement martyre. Sacrément pénible à mon goût 😁.

Je n'ai pas retrouvé dans ce tome l'analyse sociologique que j'apprécie tant chez Zola.
Ici, la religion écrase tout. Dans une ville vivant au rythme de sa cathédrale, j'ai trouvé cette histoire un peu trop mielleuse et pétrie de bondieuseries.

Malgré une écriture plus travaillée que jamais, je retiens surtout le manque de saveur de cette romance. Next !
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A la suite de la Terre (1887) d'une noirceur extrême, Zola choisit en 1888 un sujet plus léger : un roman d'amour, presque un conte, d'un format plus court (275 p) se déroulant uniquement dans la ville imaginaire de Beaumont dans le nord de Paris

Angélique,  enfant trouvée, s'endort épuisée dans la neige sous le porche de la cathédrale. Elle est recueillie par un couple de chasubliers (brodeurs de chasubles et d'articles religieux), sans enfants qui l'adoptent et lui transmettent leur métier. Pour préserve l' innocence de la jeune fille,  elle grandit à l'intérieur de leur maison, à l'ombre de la cathédrale.

Pour unique lecture , la Légende Dorée de Voragine. Pour uniques sorties, la messe, les visites de bonnes oeuvres à ses pauvres et la lessive dans le ruisseau. Exceptionnellement,   une sortie aux ruines du château voisin enflamme son imagination, elle s'enthousiasme pour des histoires de princesses, de chevaliers, de fantômes. 

Arrivée à la puberté, elle rêve du prince charmant qui viendra l'épouser. Ses parents adoptifs tentent de lui expliquer que simple brodeuse, elle devrait être moins ambitieuse:


Comme dans la Faute de l'Abbé Mouret, Zola va s'intéresser au catholicisme, aux saints et martyrs, à l'exigence de chasteté et à l'innocence supposée des jeunes filles. Point de Paradou ou de jardin enchanté, ici Angélique brode des lys et des roses blanches sur du satin avec des fils de soie et d'or. le linge blanc d'une pureté virginale entoure la jeune fille. C'est en lavant son linge à l'eau pure du ruisseau qu'elle rencontre Félicien, l'ouvrier verrier commis à la restauration du vitrail de Saint Georges de la cathédrale. 

Le verrier et la brodeuse semble si bien accordés, artisans, artistes dévoués à la Cathédrale. Angélique tombe profondément amoureuse. le verrier se métamorphose en prince charmant de haute noblesse,  mais promis à un riche mariage.

La petite brodeuse doit se faire une raison . Elle va mourir d'amour. Et c'est là que l'invraisemblable se produit. La petite enfant trouvée fera le riche mariage dont elle rêve.


Même si Zola a fait un grand travail de documentation sur les techniques de broderie. Même s'il nous offre une image détaillée de la cathédrale, de ses statues, ses vitraux. Même s'il nous fait connaître la légende des saintes et des martyres, je me suis ennuyée dans cette bluette qui se rattache de manière très tenue à la saga des Rougon-Macquart : Angélique a été abandonnée à la naissance par Sidonie, l'entremetteuse rencontrée dans La Curée. Contrairement à tous les personnages de la famille, elle ne porte ni la tare de l'alcoolisme ni la folie qui touche tous les Rougon-Macquart comme l'abbé Mouret.

Si le vice est passionnant, l'innocence est ennuyeuse. 
Lien : https://netsdevoyages.car.bl..
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5ème tome des Rougon-Macquart dans l'ordre de lecture recommandé par Zola, 16ème tome dans l'ordre de parution.
Ce tome a pour thème principal la religion. Très peu de personnages (on les compte sur les doigts de la main !), les tomes des Rougon-Macquart se suivent mais ne se ressemblent pas.

Angélique, enfant abandonnée, est recueilli chez un couple de brodeurs de la ville de Beaumont. Elle grandi à l'ombre de la cathédrale de cette ville, bercée par les légendes des Saints à qui elle voue un culte total. Angélique est un personnage fort avec un caractère bien trempé comme Zola les aime.
L'univers dans lequel évolue le roman est très convaincant, pratiquement tout le roman se passe dans le même endroit à quelques mètres près (maison des Hubert, clos Marie, cathédrale). Zola a très bien réussi à nous transporter dans un atelier de brodeur, dans des des processions religieuses, et également dans l'intimité de la chambre d'Angélique.

En plus de la religion, le livre aborde les thèmes de la passion amoureuse et de la famille.

Pas déçu de cette lecture, les rebondissements sont présents. J'ai été plusieurs fois surpris de la tournure des évènements, avec parfois une pointe de suspens !
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