On ne sépare pas les morts d'amour

C'est l'histoire de deux adolescents de quartiers ennemis : Bakari et Erynn, tous deux fous amoureux mais n'ont pas le droit de s'aimer . ( Dans leurs quartier tout finit par ce savoir ) J'ai beaucoup aimé l'histoire aux complet, rien ne ma dérangée . J'ai apprécié le rythme qui est moyen (mi rapide mi lent ) et puis je trouve qu'il y a de l'action . Les personnages que j'ai admirés sont , Bakari , Erynn et les frères et soeurs de Bakari . Cependant, il y a des personnages que j'ai détestés, comme Delicia (à cause de sa trahison envers Erynn ) et Diango . La mère d'Erynn n'était jamais là pour sa fille donc je la mets entre les deux . Je vous le conseille fortement il est très passionnant et on accroche directement et on veut vite le finir pour savoir la suite .

Roméo & Juliette des temps modernes, où même du monde de quartier.
Ce livre est bouleversant, il est d'une douceur combiné à la brutalité de ce monde. La vie de quartier n'a rien de beau pourtant Bakari et Erynn vont nous prouver le contraire avec leurs amours.
Reste à savoir, si Roméo et Juliette ont une fin tragique est-ce qu'eux aussi l'aurons ?
Le language utiliser malgré le contexte reste tout même correct. Je me suis retrouvée très vite immergé dans cette histoire. J'aimerais même une petite suite à cet ouvrage...
Je vous conseille vivement ce magnifique roman.
A partir de 15 ans !

L'amour prend au dépourvu. Fait perdre pied. Encore plus quand on ne le désire pas, quand on souhaite garder sa liberté, réaliser son rêve. Impossible de rêver à deux quand on ne connaît pas l'amour. On ne veut pas s'imposer. Pourtant, l'amour n'a que faire de cela. L'amour s'immisce entre les failles pour les cicatriser, pour réchauffer le coeur et le corps, pour illuminer l'esprit.
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L'amour, ici, se présente à Erynn et Bakari. Cela pourrait être simple mais que nenni ! Ces deux êtres appartiennent à deux quartiers en guerre. Pas simple effectivement de lutter contre l'amour et contre Le Quartier. La Rage est constante. La Violence est permanente. La Haine est prégnante… Mais pourquoi ? Personne ne le sait ! C'est comme ça, un point c'est tout, c'est la vie…
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140 pages de douceur où l'amour virevolte pour réchauffer le coeur, pour nous rappeler ce qui est essentiel : amitié, amour et intégrité !
L'espoir n'est pas mort, tout comme l'amour, tout comme les belles histoires, tout comme les jolis livres…

Au coeur d'une ville, deux cités ennemies. Au coeur d'un coup de foudre, deux clans opposés. Lorsqu'une guerre de quartier éclate, la violence ne choisit pas ses victimes et le Destin prend souvent un malin plaisir à rejouer inlassablement la tragédie des amants maudits…

En s'appropriant le mythe Muriel Zürcher nous propose sa version très actuelle de Roméo et Juliette. Dans « On ne sépare pas les morts d'amour », elle dépoussière le fond et la forme du classique shakespearien mais ne touche pas à l'essentiel et nous offre, en prime, une fin où les larmes ne sont plus aussi amères.

Le roman se déroule en alternance sur deux temporalités : le récit des derniers instants de Bakari et Erynn et le déroulement de l'audience en zone de transit, sorte d'antichambre de la mort où sera décidé si les amoureux passeront leur éternité ensemble et dans quelle sphère.

Bakari est un héros touchant, un de ceux qui refuse la fatalité intelligemment en veillant sur sa jeune fratrie et en agissant pour se sortir du carcan handicapant d'une cité malheureusement trop actuelle puisqu'elle est une véritable zone de non-droit.
Erynn, quant à elle, est une héroïne qui a du tempérament et déborde d'une sensibilité à fleur de peau.
Le fait qu'ils se livrent chacun leur tour sur le déroulement des évènements nous plonge en plein coeur de l'action et l'autrice maîtrise à la fois le rythme et la montée d'angoisse du récit. Cette narration nous permet aussi d'appréhender le caractère de chaque protagoniste, d'être au plus près de ses pensées et de ses actions.

Les passages concernant la zone de transit, en revanche, m'ont beaucoup moins convaincue quand ils ne m'ont carrément pas barbée. L'auteur a tenté d'y glisser de la légèreté voire de l'humour, sûrement pour équilibrer les récits violents des deux amoureux mais j'aurais préféré plus de neutralité de la part des écoutanges. Là, ils donnent l'impression de participer à une sorte de jeu télévisé ou de s'amuser à pasticher un procès.

Pour autant, « On ne sépare pas les morts d'amour » plaira au plus grand nombre parce que l'écriture est vivante et qu'elle permet de lier l'un des thèmes les plus vieux de la littérature à un contexte social encore bien trop actuel.

Je tiens à remercier les éditions Didier Jeunesse (#Onneséparepaslesmortsdamour) via Netgalley (#NetGalleyFrance) pour cette découverte.

L'histoire de deux jeunes de cités ennemies, poignardés, et qui se retrouvent à rendre des comptes avant qu'on ne leur attribue l'Enfer et le Paradis. Une réécriture moderne de Roméo et Juliette, avec une petite touche mystique, écrite pour les grands ados. J'ai dévoré cette lecture avec grand plaisir. Je me suis beaucoup attachee aux personnages et frémi pour eux tout au long du film. Une fin très touchante

Jolie histoire qui revisite celle de Roméo et Juliette.

J'ai aimé vivre l'histoire en mode jugement dernier. Cela permet de ne se focaliser que sur les éléments importants pour faire avancer l'histoire, on évite les longueurs.
Les personnages principaux sont attachants et on veut croire à leur histoire.

lecture courte qui se laisse dévorer.

Les réinterprétations de l'histoire de Roméo et Juliette, par Shakespeare, sont nombreuses et ne manquent pas. Certaines bonnes, d'autres mauvaises... "On ne sépare pas les morts d'amour" se classe dans la catégorie des réussites en la matière.

Sur fond de guerre des clans dans deux cités (Vallon et Gâtines) dont la rivalité initiale s'est vue exacerbée par la mort d'un jeune de Gâtines, nous découvrons l'histoire d'Erynn et de Bakari. Vallon contre Gâtines, dans cette haine qui oppose les clans rivaux, il ne devrait pas y avoir de place pour l'amour. Cependant, à l'instar de Roméo et Juliet, les sentiments s'installent, l'histoire se poursuit, le fil rouge se tisse sur le canevas...

L'originalité de ce roman se situe dans l'ordre de son histoire. Chaque épisode de la vie des deux adolescents est démantelé, analysé, étudié pour comprendre l'événement tragique auquel nous nous attendons tous... et s'il n'était pas inévitable pour autant ? Une fin qui sort du classique de Roméo et Juliette, plutôt plaisante.

Le récit court, cependant, ne m'a pas permis de m'attacher complètement aux personnages d'Erynn et Bakari, c'est là mon seul regret qui accompagne un sentiment de frustration sur les dernières pages. N'en reste pas moins une pépite !

J'apprécie beaucoup les romans de Muriel Zürcher, ses personnages, tout en forces et en failles. J'avais donc hâte de découvrir celui-ci. Et je n'ai pas été déçue par les deux protagonistes, tout en nuances. Rêves, faiblesses, espoirs, doutes, ils sont profondément humains, et c'est un plaisir de passer quelques instants en leur compagnie.

Erynn et Bakari sont morts. Les deux adolescents, que nous découvrons au début de l'histoire, vont être "jugés", afin de déterminer où ils se rendront ensuite : paradis, ou enfer. Nous allons donc revivre des passages de leur vie...

Erynn et Bakari vivent dans la même ville, dans deux quartiers rivaux. Leurs chemins n'auraient pas dû se croiser, mais ils vont tomber amoureux... Un amour interdit, qui les met en danger.

De flash-back en flash-back, on découvre leur histoire, la naissance de leur amour, les difficultés. Des portraits apparaissent, tout en sensibilité. Les antagonismes, la violence. L'amitié, les trahisons. L'amour, plus fort que tout. L'histoire se déroule sous nos yeux, la tension monte, c'est l'escalade. Et même si l'on connaît la fin, je n'ai pas pu lâcher ce livre, curieuse de savoir où l'autrice nous menait.

Une lecture addictive donc, qui interpelle sur des thématiques d'actualité : la violence, l'impuissance des jeunes qui se sentent prisonniers d'un schéma, d'un quartier. La haine pour la haine. Quand on ne sait même plus d'où elle provient, ni pourquoi elle est là. Et pourtant au milieu, des personnages lumineux.

Réécriture originale de Roméo et Juliette, version guerre de quartiers, clin d'oeil aussi au célèbre West Side Story, ce roman ado nous offre, malgré la dureté des thèmes abordés, une bouffée d'espoir, une touche d'optimisme et de poésie.

Un court roman intense et lumineux, une plume que je vous invite chaleureusement à découvrir, si ce n'est pas encore fait !

Dès la couverture, le lecteur est invité à penser à "West Side Story" (quelle que soit sa version de référence) qui était déjà une réécriture de "Roméo et Juliette".
Point de suspens donc, quant à l'intrigue : deux jeunes de quartiers adverses tombent amoureux. La violence s'invite, et l'issue est fatale.

D'ailleurs, Muriel Zürcher lève immédiatement le doute qui aurait pu persister : on sait dès le départ que les amoureux ont été tués et par qui, l'enjeu étant de suivre la succession des événements qui ont mené au drame. Et c'est justement ce qu'elle a changé.
L'auteure aurait pu se contenter de modifier l'époque et le milieu social, mais elle change aussi la structure et quelques "détails" qui font mouche.
Les personnages apparaissent, avec leurs rancunes et leur envie de vengeance qui ne laissent aucune chance de sortir du cercle vicieux de la violence.

Le procédé, uniquement composé de flash-backs est très malin : non seulement il permet de contourner l'écueil d'une résolution connue d'avance, mais la trouvaille du "traducteur" nous épargne le langage "d'jeune", qui ne me convainc pas toujours. En revanche, j'ai trouvé l'attitude des "écoutanges" parfois puérile.
Un minuscule bémol face au défi de la réécriture d'une histoire mythique, dont Muriel Zürcher se sort avec brio.

j'ai pris plaisir à découvrir cette histoire. L'idée de cette réécriture est intéressante avec cette mise en scène du purgatoire qui va juger nos deux adolescents, et qui les pousse finalement à se confier. Je me suis attachée à Bakari, qui est rempli d'espoir pour la suite de son avenir, et à Erynn, avec sa noirceur qui va se transformer suite à sa rencontre avec Bakari. On apprécie de suivre leur romance et le développement de leurs sentiments. Les personnages secondaires sont plus contrastés, avec des personnages qu'on a vraiment envie de détester, comme celui de Diango. Je vous conseille donc la lecture de cette réécriture de Roméo et Juliette, qui fonctionne vraiment bien et qui est plaisante à lire. C'est une belle découverte.
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