Le « plaisir de vivre » relevait chez elle, bien sûr, d’un privilège de classe. Mais la liberté qu’il recouvre, cet art, résume l’historien, de ne faire « que ce qui lui plaisait et quand elle le souhaitait » – tromper ouvertement le mari que sa famille lui avait imposé, divorcer, se remarier par amour, avoir son propre appartement et retrouver ce nouveau mari à sa guise… –, entre en résonance avec la Révolution, qui eut quelque temps les sympathies de la marquise, favorable à la monarchie constitutionnelle.
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Au service du roi, de Mathieu Da Vinha