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3.82/5 (sur 73 notes)

Nationalité : Italie
Né(e) à : Parme , 1969
Biographie :

Alberto Garlini est juriste de formation.

Il s'est rapidement orienté vers l'écriture en publiant de la poésie, puis, de la critique littéraire, et, enfin des romans.
Parallèlement à toutes ses activiités littéraires, il se consacre à l'organisation du festival de Pordenonelegge, tient également un atelier d'écriture à l'université de Campobasso, et, collabore régulièrement aux pages culturelles du Giornale (un quotidien national) ainsi que du Messaggero veneto (régional).
Il s'est lancé récemment dans l'écriture d'un roman policier où le détective traite ses suspects comme des personnages de roman.
Il vit à Pordenone, dans le Frioul, avec son épouse.


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Lorsqu'il se dirigea vers la porte, sa mère courut le serrer dans ses bras. C'est facile d'aimer un enfant, puis c'est difficile d'aimer ce en quoi il se transforme. Mais elle le prit dans ses bras comme on serre un enfant.
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Alberto Garlini
On ne peut pas aller contre la dynamique de la rage, même si le devoir de fidélité aux chefs l'exige. Et quand les chefs sont incompétents, encore mieux : c'est le devoir du soldat de les renverser.
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Plus le langage est archaïque, plus il est métaphorique.
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Il se croyait capable de tuer. Il était sûr que c’était simple, que c’était même le devoir d’un soldat politique. Il l’avait désiré avec chaque goutte d’énergie, il savait que c’était une question de temps et que ça arriverait. Mais rien ne s’est passé comme il l’avait prévu. Il n’y a pas eu de bataille. Le mort n’était pas un guerrier. Le couteau s’est enfoncé profondément sans raison, sans intention. L’excitation de l’instant. Mauro était fait pour devenir une victime. La mort d’un innocent est une offense à l’honneur. Un chevalier a le devoir de protéger les innocents, pas de les tuer. Un chevalier doit obéir à une règle de fer. Il ne peut la transgresser : c’est de cette règle, de l’acier de la discipline intérieure, que lui vient la supériorité morale lui permettant de s’arroger le droit de donner la mort. Mais Stefano a enfreint la loi et brisé son ordre intérieur.
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Dans toute sa vie, Franco a eu deux costumes. Il n'y en avait pas un pour le travail et un pour les fêtes, comme ça avait été le cas pour son père et du père de son père. L'un était pour agir et l'autre pour parler. L'un pour tuer et l'autre pour négocier.
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Quand on vit dans le désert et que les ressources sont limitées, c’est l’instinct de coopération qui prévaut, pas l’agressivité. En voyageant, nous nous entraidons. Nous échangeons les biens et les dons. Nous sommes tolérants. C’est l’homme sédentaire, l’agriculteur Caïn, qui dresse des murs dans le but de défendre l’exploitation exclusive de la terre et du sang.
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Lorsqu'il se dirigea vers la porte, sa mère courut le serrer dans ses bras. C'est facile d'aimer un enfant, puis c'est difficile d'aimer ce en quoi cet enfant se transforme. Mais elle le prit dans ses bras comme on serre un enfant.
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Le capitalisme commence à mourir. Le capitalisme mourra. Le capitalisme est déjà mort.
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Alberto Garlini
les noirs et les rouges

Les mots lui venaient d'une rage profonde, des injustices subies. De son père mort dans l'étable. Son père qui se balançait , un demi-sourire aux lèvres. Un sourire d'ivrogne et de raté.
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Il se remit à contempler le coucher du soleil. Il pensa à ses morts. Il y en avait tant. Quand on connaît plus de morts que de vivants, c'est qu'on est devenu vieux. Stefano avait vingt-deux ans et il était très vieux.
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