AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Cali (200)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Seuls les enfants savent aimer

"Tu me manques à crever maman

Jusqu'à quand vas-tu mourir?



Ces quelques mots donnent le ton du roman autobiographique du chanteur Cali.

Bruno, qui n'est autre que Cali, perd sa maman brutalement d'un cancer. Il n'a que 6 ans et n'a pas le droit d'assister à son enterrement.

C'est dans le regard des autres et dans l'absence de celle dont il espère toujours le retour qu'il va devoir affronter le deuil et qu'il va pouvoir se reconstruire et vivre sa vie de petit garçon orphelin.



C'est une histoire bien triste qui nous émeut et nous fait monter les larmes aux yeux souvent. L'écriture est très fluide et met particulièrement bien l'accent sur les sentiments ressentis par ce petit garçon.

Le drame de sa vie, ses questions, ses doutes, son désespoir et c'est dans les mots de l'auteur que l'enfant qu'il fut s'offre une nouvelle chance.





J'avais acheté ce roman au Printemps du livre de Cassis en 2018, Cali sera présent lors de l'édition 2019, j'en profiterai pour lui prendre son second roman.
Lien : https://delcyfaro.blogspot.c..
Commenter  J’apprécie          60
Seuls les enfants savent aimer

Un magnifique lettre d'Amour d'un jeune garçon de six ans, face à la mort de sa mère. Son désespoir, son manque d'elle, et ses jours sans elle.

C'est beau, poétique et surtout poignant. L'Amour de ce petit garçon est présent à chaque page, chaque ligne. Une lecture très émouvante
Commenter  J’apprécie          70
Seuls les enfants savent aimer

Je connaissais Cali en tant qu'interprète (la montagne de J Ferrat) et chanteur. J'ai eu l'occasion de le voir en concert et ce livre me permet de comprendre beaucoup de choses.Cali est entier, vrai, excessif, dérangeant, émouvant et émotif et, comme ses chansons, son roman est un immense cri.Un cri d'amour, de colère, d'injustice, d'envie, de rancoeur. C'est très fort, très triste et la lecture finie, je me suis trouvée désemparée, impuissante face à un tel drame.
Commenter  J’apprécie          20
Seuls les enfants savent aimer

"Inconsolable !"

Le chanteur Cali dévoile sa tendre enfance marquée par la disparition de sa Maman, après une longue maladie, alors qu'il n'avait que 6 ans.

C'est tendre, c'est beau... Les mots pour évoquer sa Maman sont terriblement touchants.
Commenter  J’apprécie          120
Cavale ça veut dire s'échapper

Dans le précédent roman de Cali, Seuls les enfants savent aimer, on découvrait la douleur d'un enfant, Bruno, orphelin de mère et son deuil. On retrouve avec plaisir ce personnage qui a grandi. Entouré de sa bande d'amis, il fait de la musique, s'amuse et cherche l'amour.



Un roman qui propose une vision de l'adolescence, ce passage à l'âge adulte qui se fait parfois avec douleur. L'écriture est poétique, sensible, une belle bulle de lecture atypique.


Lien : http://lespapotisdesophie.ha..
Commenter  J’apprécie          20
Seuls les enfants savent aimer

Cali, je connaissais le chanteur, que j'apprécie, je découvre qu'il s'est mis à écrire, de façon pas si différente finalement : son style littéraire rappelle le parolier. Des phrases très courtes, des refrains, des redondances, une valse à trois temps, entre Bruno, sa maman et la mort, entre Bruno, Alec et "nous ne mourrons pas", entre Bruno, le silence et l'autour.

Je ne connais pas la chanson qui porte ce même titre.

C'est un roman que j'ai trouvé infiniment triste, qui donc ne m'a pas procuré de plaisir à la lecture, mais qui m'a émue. Emue parce que Cali est sans complaisance envers lui-même : il n'est pas là pour s'apitoyer, il raconte juste l'absence, la difficulté de faire son deuil pour un enfant de 6 ans (il me semble que le deuil, c'est avec l'écriture de ce livre qu'il l'a fait), les erreurs des grands (avoir voulu le tenir à l'écart pendant l'enterrement - le mettre en colo), ses accès de fureur et de méchanceté (tuer des bêtes - casser la tête à un de ses camarades qui l'avait bien mérité...), toute la douleur d'un petit garçon à l'âme meurtrie, mais que le corps va ramener à la vie, ou en tout cas la maintenir... par le contact avec Alec, son ami pour toujours, par les seins de Patricia, par les câlins de sa mémé...

Touchant donc et pas larmoyant, bien écrit, avec quelques longueurs cependant, un joli premier ouvrage!
Commenter  J’apprécie          00
Cavale ça veut dire s'échapper

#Chronique



Cavale ça veut dire s'échapper de Cali - le cherche midi éditeur​



"On ne comprenait pas tout, mais à nos âges tout explosait autour et on ne demandait qu'une chose, exploser avec."



Beaucoup moins touchée par ce second récit qui retrace la vie de Bruno, 15 ans...

Mon avis : http://www.leslecturesdelily.com/2019/04/cavale-ca-veut-dire-sechapper-ecrit-par.html#more
Lien : http://www.leslecturesdelily..
Commenter  J’apprécie          10
Cavale ça veut dire s'échapper

On reconnaît bien le chanteur Cali derrière ce texte rédigé par Bruno, adolescent.

J'ai été moins touchée que par le premier récit "Seuls les enfants savent aimer", sans doute parce que les récits d'adolescents ne m'intéressent pas plus que ça. Le style est oral, Bruno vit toujours à Vernet, il a 15 ans et s'intéresse aux filles, à la musique et à sa bande de copains. D'ailleurs, ils vont former un groupe de punks appelé "Pénétration anale". Bruno sera le chanteur de ce groupe, naissance de sa vocation ?

Il évoque les années 1980. Chacun peut y retrouver un peu de soi, s'il est né à peu près dans la même décennie.

C'est pas mal, mais sans plus. Je préfère Cali chanteur, pour ma part. Mais c'est juste mon avis.

Commenter  J’apprécie          191
Seuls les enfants savent aimer

#Chronique : Seuls les enfants savent aimer de Cali - le cherche midi éditeur​



« Personne ne croise mon regard. Ils l’évitent, ce regard d’enfant triste. Un petit garçon de six ans abîmé. »



Cali nous parle de son enfance avec beaucoup de tendresse et de poésie. Une belle découverte pour moi !

http://www.leslecturesdelily.com/2019/04/seuls-les-enfants-savent-aimer-ecrit.html

Je vous parlerai très bientôt de son deuxième livre : Cavale ça veut dire s'échapper qui n'est autre que la suite de Seuls les enfants savent aimer.

Bonne lecture à vous !
Lien : http://www.leslecturesdelily..
Commenter  J’apprécie          60
Seuls les enfants savent aimer

Cali m'enchante comme toujours. Il nous parle de lui, Bruno, petit garçon de 6 ans.. Et de ses amours. Sa maman partie l'année de ses 6 ans, et tous ceux qui lui ont permis de surmonter l'épreuve, qui ont fait que la vie continue. Son papa, ses soeurs, pépé, mémé, Alec sont meilleur ami, son 1er amour d'école . J'ai vu plusieurs fois Cali en concert, il me transporte à chaque fois. Durant ma lecture, j'entendais sa voix me raconter. Magnifique. Que de poésie.
Commenter  J’apprécie          10
Seuls les enfants savent aimer

Un roman basé sur la perte. Cali a perdu sa maman à six ans et il raconte des moments de sa vie d'enfant depuis. Sa vie, par rapport à sa famille ou encore à ses amis. Une véritable déclaration d'amour, merveilleuse et douloureuse.

Un texte Magnifiquement émouvant, d'une intimité inouïe, creer en partie par l'écriture, quelque peut poétique.



Attention toutefois à ne pas lire ce livre quand on est déprimé...
Commenter  J’apprécie          20
Cavale ça veut dire s'échapper

J’ai passé un très très bon moment de lecture avec ce roman, qui m’a replongé avec bonheur dans mes années de turpitude adolescente, où comptaient principalement mes copines, mes hormones et mon look (oui, bon, un peu l’école quand même, mais moins) !



Les romans de Cali sont des romans qui ne peuvent, selon moi, pas plaire à tout le monde. Le langage un peu cru d’un homme qui n’hésite pas à mettre des mots sur ce qui est laid, ce n’est pas forcément ce que tout lecteur souhaite lire. Pour ma part, j’adhère totalement. Je trouvais déjà les textes de ses chansons (notamment celles de son premier album) très sincères, j’ai donc apprécié retrouver cette sincérité dans ce nouveau roman. Car oui, l’adolescence, c’est aussi les pensées noires, les bagarres, la découverte de l’alcool et de la drogue, le sexe, les trahisons. Des passages décrits sans langue de bois, sans artifice de poésie, mais toujours avec un langage maîtrisé.



Mais ce roman, c’est surtout la découverte de la vie. Au milieu de son groupe de copains avec qui il découvre les joies de la musique, Bruno découvre l’amour, ses espoirs et ses désillusions. J’ai revécu les moments où le temps s’arrête lorsqu’on croise au détour d’un couloir la personne qui nous plait, les minutes que l’on passe à décrypter le moindre grain de sa peau, le ton de sa voix, ou son expression au moment de telle ou telle annonce. J’ai également revécu les confidences amicales, la manière dont seule votre meilleur(e) ami(e) a le don de vous comprendre et de savoir vous parler. Et puis il y a la famille, le socle, les personnes que l’on évite d’impliquer de peur de les décevoir. Et même si nous venons de deux époques différentes, que nous n’écoutions pas la même musique, n’avions pas les mêmes passions et ne sommes pas du même sexe, j’ai totalement partagé les émotions de Cali.



Je vous conseille de vous pencher sur ce roman si vous le croisez chez votre libraire, sincèrement. Je l’ai davantage apprécié que Seuls les enfants savent aimer, et je sais qu’une suite est en préparation… Hâte de la découvrir !
Lien : https://matoutepetiteculture..
Commenter  J’apprécie          30
Seuls les enfants savent aimer

Bonjour Cali



Je compte bien vous rencontrer à Quiberon pour le salon du livre, moi avec mes "fissures" vous avec Cavale...

Comment commenter "Seuls les enfants savent aimer", j'en suis incapable,

nos destins sont trop proches. Alors je dépose ce texte, il dit avec ma voix de 11 ans, un autre vécu de ces heures sombres.





Je ne perçois plus que son absence.

Ses rires se sont dilués dans le jardin de notre enfance,

la nature les a repliés dans les draps de ses souffrances,

la mère et son enfant se sont endormis sous la neige de l'hiver.





Je ne perçois plus que ton absence

et des points douloureux,

qui forment une ligne étrange à travers mon corps,

des points d’acupuncture.

Ton inconsolable absence a tout contaminé,

comme un immense sanglot sur tout mon corps.





La nuit venait se dérober à notre sommeil,

les jours mangeaient les nuits,

notre enfance s'ancrait dans le noir.

Un vide, a peu à peu, enfouis nos émois,

voilait de pluies mes souvenirs.

Les cauchemars se délectaient

ils chérissaient la peur,

et patiemment enveloppaient nos cœurs de honte,

enduisant notre peau de crachins.





Nous étions trois âmes errantes

de 5 , 6, et 8 ans

dans une maison devenue froide, privée de bruits,

aux espaces vides que nos mains ne savaient plus palper .

Aucune larme n'a coulé,

aucune plainte ne fut entendue,

mais une angoisse palpable,

increvable lessivait les murs.

Pareil aux brumes, l'absence

investissait chaque espace,

un nuage de cendres jointait les ouvertures pour l'éternité.





Tu es devenu un silence,

puis une pierre,

puis une prière dans le creux de nos entrailles,

et tous les jours un regard penché vers l'horizon.

Parfois une crevasse s'ouvrait sous mes pieds,

j'espérais alors

que mon pied glisse,

qu'il glisse pour te rejoindre.



Commenter  J’apprécie          458
Seuls les enfants savent aimer

C'est avec ce roman que je découvre Cali...

Bruno (qui se trouve être Cali) perd sa maman à l'age de 6 ans. Elle est connue de tous les Vernetois (canton du Canigou) puisque c'est la maîtresse du village.

Pour le préserver, il n'assistera pas à l'enterrement mais de sa fenêtre il suivra le défilé des gens du village venus accompagner sa maman.

Il doit faire face aux silences de sa fratrie même si sa famille est soudée... Les câlins de sa maman lui manquent.

Du haut de ses 6 ans, il se demande quand elle va revenir... Il est en quête d'amour.

Comme un journal intime, il va raconter les jours et les semaines qui suivent son départ...



Cali nous dévoile la partition du drame de sa vie, les notes de musique passent du son grave au son aigu pour atteindre une jolie mélodie malgré l'épreuve. On sent la douleur, le manque, le besoin d'amour et le souhait de la rejoindre... Cali... Le poète-chanteur ne pouvait qu'exceller dans l'écriture de son roman... Roman aussi tendre que poignant ! Belle découverte !
Commenter  J’apprécie          93
Cavale ça veut dire s'échapper

Quel plaisir de retrouver la plume hyper sensible de Cali ! J’avais oublié quel chavirement c’est de le lire …



Après “Seuls les enfants savent aimer”, nous retrouvons Bruno cette fois-ci en pleine adolescence. Alec est toujours là, le manque de la maman disparue toujours en filigrane et si l’on soupçonne que les choses ne sont pas simples à la maison car le père s’est remis en couple et que la situation semble assez tendue, Cali ne s’étend pas sur le sujet.



Non ce qui l’occupe ce sont, ses potes, la musique, leur nouveau groupe au nom au parfum de provocation dont on ne comprend pas tout mais qui sonne bien (Pénétration Anale), les premiers passages radio mais surtout l’amour : Fabienne. Le premier grand amour bouleversant et impossible parce qu’il a eu la bonne idée de devenir son ami et que cela rend les choses compliquées. Comment rompre désormais ce lien “sacré”pour installer une histoire d’amour qui risquerait de tout gâcher ? Alors cela le déchire Bruno, d’autant qu’il est obligé de jouer les entremetteurs entre Fabienne et un de ses potes, décidément, rien ne lui sera épargné. Alors il “ruisselle” de tristesse à l’intérieur.



Mais il y a aussi Sylvia,pas assez belle, qui aime les filles mais avec laquelle s’installe une parenthèse tendresse d’une incroyable intensité. Car Bruno ne vit rien comme un “tiède”. Et puis Patricia, celle qui fait devenir un homme …



Bruno aime les filles, l’Amour, mais surtout ce qui est bouleversant c’est ce besoin d’amour qui transperce chacun de ces souvenirs d’adolescence et se grave dans chacune de ses phrases.



C’est aussi la période où il découvre sa vocation.

LA SUITE A LIRE SUR MON BLOG
Lien : https://livresalire.com
Commenter  J’apprécie          50
Seuls les enfants savent aimer

Une histoire triste avec ce petit Bruno très attachant

Bien aimé ce livre

Commenter  J’apprécie          00
Cavale ça veut dire s'échapper

Bruno, 15 ans, évoque son adolescence, cette période où l’on se construite, à travers ses principaux sujets de préoccupations du moment :

- les filles (Fabienne, Sylvia, Patricia…),

- la famille, et la « guerre » à la maison depuis la mort de sa mère lorsqu’il avait 6 ans,

- le lycée, dont il ne suit pas les cours de façon assidue

- la musique à laquelle il se raccroche et le groupe « Pénétration Anale » qu’il a créé avec ses potes

- les amis auxquels il peut tout confier ou presque…

Cali décrit les événements qui se précipitent en quelques mois faisant passer Bruno de l’enfance à l’âge adulte et le conduisant à fuir son quotidien.

Les chapitres courts, rythmés, dans un style vif, avec des passages poétiques, nous transporte dans ces tranches de vie de cet adolescent fragile qui veut profiter de la vie.
Lien : https://www.carnetsdeweekend..
Commenter  J’apprécie          30
Cavale ça veut dire s'échapper

Cavale ça veut dire s’échapper se lit comme un journal intime. À travers l’adolescence de Cali, c’est le souvenir des passions mélodramatiques, du corps qui change, des bêtises entre amis, des nuits à refaire le monde qui revient. Le parfum des jours heureux.




Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..
Commenter  J’apprécie          00
Cavale ça veut dire s'échapper

Dans Seuls les enfants savent aimer, nous faisons la connaissance de Bruno, ce petit garçon qui perd sa maman à l'âge de 6 ans. Un roman qui m'avait particulièrement touchée.

Ici, dans Cavale ça veut dire s'échapper, nous retrouvons Bruno, à l'aube de l'âge adulte, en pleine adolescence.

Bruno est toujours entouré de sa bande d'amis. Il grandit, se découvre, joue avec les frontières de l'amitié, se prend les pieds dans le tapis de l'amour, devient un jeune homme...

Bruno et ses amis montent un groupe... et quel nom de scène ! La musique... salvatrice... échappatoire... libératrice...

Au fond de lui, Bruno reste ce petit garçon orphelin de sa maman qui vit continuellement avec cette perte de l'abandon...

Ce nouveau roman de Cali est aussi sensible et beau que Seuls les enfants savent aimer. Ce roman fait du bien... parce que Bruno, c'est forcément un peu de nous...
Commenter  J’apprécie          130
Cavale ça veut dire s'échapper

L'adolescence, seize ans, l’âge transitoire entre l’enfant que nous sommes et l’adulte que nous allons devenir. C’est le moment où Cali se construit, se pose des questions sur ce qu’il est – ou plutôt, ce qu’il doit être. Ils sont quatre copains. Ensemble, ils vont monter un groupe de musique. Lorsqu’il voit Fabienne, il reconnait sans même l’avoir connu précédemment l’amour. Le vrai. L’unique. Il en est convaincu, Fabienne est l’amour de sa vie. Mais rien ne va se dérouler comme l’imagine le jeune Bruno…



« Est-ce qu’on meurt d’amour ? » Cali se livre, se dissèque au fil des pages. Il s’est construit dans la souffrance. Ce roman est une véritable mise à nu. Si le style peut laisser perplexe au début par son oralité, il en devient le rythme du roman. Et, puisque Cali est un chanteur, nous pourrions voir l’album Menteur comme la bande originale de ce roman ! 
Commenter  J’apprécie          90




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Cali (666)Voir plus

Quiz Voir plus

Ça va être leur fête, aux pères !! 😄 😂

Ça commence bien ! Alors il faudrait "Tuer le père" ? 🎩

marie sizun
honoré de balzac
amélie nothomb
didier van cauwlaert

8 questions
21 lecteurs ont répondu
Thèmes : titres , littérature , humour noir , fête des pères , historiettes , baba yagaCréer un quiz sur cet auteur

{* *}