Citations de Dalaï-Lama (553)
Notre existence humaine actuelle nous offre la possibilité et les conditions de notre propre sauvetage.
La compassion, c'est ce qu'éprouve un esprit qui ne peut supporter la souffrance des autres et souhaite ardemment qu'ils en soient délivrés.
Tout le monde parle de la paix, mais on ne peut réaliser la paix à l'extérieur si l'on héberge en soi la colère ou la haine.
Il n’y a personne qui soit né sous une mauvaise étoile, il n’y a que des gens qui ne savent pas lire le ciel.
Si cette situation ou ce problème sont tels que je ne puis y remédier, alors cela ne sert à rien de s'en soucier.
Si la compassion, la gentillesse et l'affection vous animent, du même coup cela vous donne la clé de votre serrure intérieure et vous communiquez bien plus facilement avec les autres.
Envers et contre tout, on demeure un être humain, au sein de la communauté humaine.
On partage ce lien.
Et ce lien suffit à donner naissance à un sentiment de valeur et de dignité.
Comprendre le passé de l'autre.
Nourrir des sentiments d'affection renforce non seulement notre organisme mais aussi notre équilibre affectif.
Je garde la ferme conviction que la nature humaine est essentiellement bonne et compatissante.
C'est là le trait dominant de l'humain.
Tendre sa main aux autres pourrait être un trait tout aussi fondamental de notre nature que le besoin de communiquer.
Ce n'est donc pas aussi simple que de plonger la main dans les flammes... Plus on sait, par l'éducation et la connaissance, ce qui mène au bien être et ce qui est cause de souffrance, plus on sera capable d'atteindre le bonheur.
C'est pourquoi j'accorde à l'éducation et à la connaissance une place capitale.
« Il faut reconnaître la souffrance ;
Il faut en éliminer les causes ;
Il faut accomplir la cessation ;
Il faut développer la voie. »
Le bonheur se distingue du plaisir : ce dernier n'est pas lié au sentiment de l’existence, on ne s'y oublie pas en tant qu'être singulier. Ici se loge la deuxième raison qui peut expliquer la rareté de ce bonheur en littérature.
Les peuples tibetain et chinois sont ethniquement et racialement différents. Nous ne parlons pas la même langue et notre écriture n'a rien à voir avec l'écriture chinoise.
Quand nous évaluons un acte particulier afin de déterminer s'il est moral ou spirituel, notre critère doit être celui de la qualité de notre motivation. Si quelqu'un prend délibérément la résolution de s'abstenir de voler, mais que cette décision est uniquement motivée par la peur de se faire prendre et d'être puni par la loi, elle n'est pas à proprement parler morale, car ce ne sont pas des considérations morales qui ont dicté son choix.
Si notre situation actuelle est déterminée par notre comportement passé, nous restons néanmoins responsable de nos actes. Nous avons la capacité et la responsabilité de les conformer aux principes d'un chemin vertueux.
Plus vous prendrez le temps d'examiner minutieusement un sujet, plus vous l'appréhenderez véritablement et deviendrez capable d'apprécier les arguments exposés. [...] Tout ce processus de recherche et d'examen doit être considéré comme une forme de méditation.
Devenir maître de notre esprit demande du temps.
Notre émotivité entraîne une instabilité permanente de l'esprit, ce qui peut, à haute dose, mettre notre santé en péril.