Hero

Ce premier tome pose les bases d'une série qui a tout pour me plaire. J'aime beaucoup les dessins et la mise en pages claire et aérée. Ensuite il y a l'histoire et là encore, eh bien, j'ai apprécié ce début avec des personnages frais et sincères.



Le scénario est simple, deux jeunes lycéens vont se découvrir et apprendre à se connaitre. de fil en aiguille, Hori et Miyamura vont réaliser qu'ils avaient des idées totalement fausses et arrêtées l'un sur l'autre !



Hori qui semble être superficielle est en fait une jeune fille responsable qui s'occupe de son petit frère, car leurs parents sont souvent absents, et Miyamura, sous des dehors de jeune homme coincé et froid, est en fait tout le contraire.



J'ai adoré la relation qui s'installe entre ces deux personnages. Ils se complètent et plus ils se fréquentent et plus ils s'apprécient. Il y a beaucoup d'humour aussi, mais dans l'ensemble on est là sur un manga qui prône la bienveillance et la tolérance.



Hori a du succès auprès des garçons et malgré tout, elle ne veut pas d'histoire d'amour, déjà parce qu'elle n'a pas le temps et puis maintenant il y a Miyamura qui vient souvent l'aider chez elle. Bien sûr cette relation va vite s'ébruiter et les amis de la jeune fille et l'un de ses prétendants vont vite s'immiscer.



Hori est une fille maladroite et attachante alors que Miyamura manque de confiance en lui à cause de ce qu'il a subi plus jeune avec ses camarades de classe.



Bref. Ça m'a accroché et j'ai eu envie de lire la suite.
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Cela faisait un petit moment que j'avais repéré ce manga, dont j'avais entendu pas mal de bien. Et bien, je n'ai pas été déçue par cette lecture.



Horimiya. Hori, la lycéenne populaire. Miyamina, le lycéen renfrogné. Enfin, c'est ce qu'ils veulent faire croire au lycée. En réalité, Hori est une jeune femme dynamique qui doit gérer l'entretien de la maison et récupérer son petit frère à l'école. Une jeune fille qui quitte le maquillage et enfile une tenue confortable en rentrant à la maison, qui n'a guère le temps de sortir s'amuser avec les copines. Miya, lui, cache ses neuf piercings et ses tatouages derrière ce personnage froid et distant qu'il joue au quotidien. Tous deux vont découvrir la face cachée de l'autre... et devenir amis... ou plus ?



"Si vous n'essayez pas d'en apprendre plus sur els autres, alors vous ne verrez jamais qui ils sont vraiment."



Horimiya est une histoire toute mignonne, pleine de tendresse et d'humour. L'histoire de ces deux ados un peu différents des autres, qui jouent un rôle au quotidien. Ce sont des personnages attachants, et les nombreux quiproquos et autres situations- parfois convenues, certes - donnent envie d'en apprendre plus sur l'évolution de leur relation (cela tombe bien, j'ai le suivant !).



C'est un manga qui nous parle de préjugés, d'apparences parfois trompeuses. C'est impressionnant de voir à quel point nos deux jeunes héros se sentent obligés de jouer un rôle, à quel point cela joue sur leur vie quotidienne. La relation aux autres tient jne place importante dans leur vie, c'est donc d'autant plus intéressant de voir se développer les rapports avec les personnages secondaires - qui j'espère seront creusés ensuite.



Visuellement, c'est classique, mais très joli. Les traits sont doux, à l'aune du caractère des protagonistes. C'est mignon, bienveillant, bref, j'en redemande ! D'ailleurs, je vais de ce pas attaquer la lecture du tome 2 !

J’ai vraiment un capital sympathie immense pour ce titre qui ne raconte pourtant pas grand-chose mais capture la banalité tranquille de la vie de lycéens avec bonheur. C’est drôle et reposant.



Comme ne le suggère pas la jaquette collector, le tome est centré un temps sur la petite soeur Iura. Oui, il faut retourner la jaquette pour voir que cette fratrie est à l’honneur. Celle-ci étouffée par un frère trop protecteur et en difficulté à l’école malgré tous ses efforts déprime un peu. L’occasion pour nous de nous immiscer dans leur quotidien.



J’ai l’impression que chaque tome est l’occasion pour les auteurs désormais d’explorer les vies personnelles de chacun de nombreux personnages croisés. Ce n’est pas pour me déplaire car ces petits focus, assez légers quand même avouons, sont l’occasion de faire un pas de côté en dehors du lycée, avant d’y revenir avec joie et bonheur, de même que pour le couple principal qui n’est ainsi pas notre seule source d’intérêt. Bien joué !



La moitié du tome est ainsi consacrée à une autre facette d’Iura et ce fut charmant, drôle et amusant, de voir ce frère prendre tellement soin de sa petite soeur, mais aussi de le voir à travers ses yeux à elle. Classique mais attachant. La suite, elle, revient à du classique : plusieurs petites histoires sur les autres personnages où c’est toujours aussi frais et mignon. Nous avons quelques chapitres cocasses, plein de malentendus, autour des membres de la BDE (bureau des élèves) et notamment de Rémi. Et nous avons nos quelques chapitres habituels sur le couple phare de l’histoire où on s’amuse des Kyokonades de notre héroïne et des changements de look de son cher et tendre, mais où également on s’attendrit de ce besoin de démontrer qu’ils sont en couple par de petits gestes. Ce n’est rien d’extraordinaire, c’est assez banal, mais c’est là dedans que c’est mignon.



Sans surprise, toujours avec une efficacité de métronome, le duo déploie sa formule qui marche : un petit focus sympa sur un personnage, ici Iura, puis des histoires du quotidien qui semblent anodines mais nous donnent le sourire tant elles sont charmantes. Ça marche à chaque fois sur moi, c’est comme faire partie de cette petite bande et j’aime bien avoir ma dose.
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Un tome que j'ai aimé lire et qui m'a plu dans son ensemble. On poursuit les petites histoires entre les couples qui se sont formés et qui se forment. L'humour est toujours plaisant et un brin décalé. Horimiya est une jolie petite comédie lycéenne avec des personnages très attachants.

Maintenant que Hori et Miya sont désormais en couple, le manga perd quelque peu de son intérêt. Cela fait plusieurs tomes que les chapitres se succèdent sans vraiment apporter du neuf. Le début de ce 8e tome, consacré à la fête sportive du lycée, en est un exemple. L'apparition de Tanihara, ancien persécuteur de Miya, va peut-être changer la donne dans le tome suivant. J'aime assez l'idée que ce personnage soit désormais assez mûr pour se rendre compte de ses erreurs passées.

Je n'ai pas trouvé ce tome intéressant. Tout d'abord parce que la jalousie d'Hori est quand même un peu extrême, et ensuite, parce que son désir de voir Miya "violent" et autoritaire envers elle-même est franchement dérangeant pour ne pas dire dégradant. Ce tome est axé sur les préparatifs de l'événement sportif du lycée, les épreuves dans le tome suivant apporteront peut-être un peu de rebondissements.

Frais et simple, ce premier tome de Horimiya aborde des thématiques déjà vues dans les mangas : l'amitié, la solitude, les apparences parfois trompeuses, l'adolescence, les responsabilités, l'amitié et même l'amour. L'ensemble se lit facilement et est agréable. Ce n'est peut-être pas un coup de cœur, mais c'est tout de même sympathique. Une lecture sans prise de tête !

Est-ce que j’attendais ce fanbook avec impatience ? Bien sûr que oui ! Et tout à fait entre nous, il est à la hauteur de mes grandes attentes le concernant. J’ai adoré découvrir les anecdotes concernant nos protagonistes, mais également les différentes interviews croisées ainsi que les questions/réponses des deux auteurs, HERO et Daisuke Hagiwara. J’ai aimé en apprendre plus sur eux, sur la conception du manga de Horimiya ainsi que leurs habitudes, etc.



Ce petit artbook est une véritable mine d’information et ravira, je pense, tous les fans du manga ! On apprend beaucoup de choses intéressantes sur les personnages qui jalonnent ce manga. Dans l’ensemble, j’ai vraiment aimé me plonger dedans, j’ai par contre moins accroché au story-board de HERO, mais parce que ce sont des esquisses d’approches sans rien d’autre et si ça montre le chantier, je trouve que ça prend beaucoup de place pour pas grand-chose. Enfin, c’est mon avis.



J’ai aimé le petit quizz et adoré le chapitre bonus, qui est très drôle à lire et ça fait prolonger le plaisir. En parlant de ça, je suis fan des illustrations couleurs qui se trouvent en fin du livre. J’aime vraiment beaucoup le style de Daisuke Hagiwara et on voit aussi l’évolution de ses personnages notamment celle de Miyamura assez flagrante avec son changement de coiffure.



Bref, voilà un fanbook à posséder de toute urgence.



Et, le plus de l’édition limitée ce sont les cartes façon photos Instagram, bon je ne l’ai pas ouvert, mais je like toutes les photos sans problème !
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Si vous êtes fan d’Horimiya, c’est LE livre à avoir ! Personnages et chapitres préférés des Japonais, interview croisée, chapitres bonus, storyboard, etc. Il fourmille d’informations tout en nous plongeant dans cet univers que l’on aime temps !

Mention spéciale pour la galerie d’illustrations présente à la fin que je ne me lasse pas de regarder. J’ai un vrai coup de cœur pour ces illustrations en couleurs avec nos personnages favoris.

Si vous êtes fan de cet univers et que vous aimez les fanbook, n’hésitez pas. Celui-ci est fait pour vous ;)

Après avoir lu quelques critiques négatives sur la suite de cette série, je me suis dit que j’allais rattraper mon retard pour me faire mon propre avis.

Verdict, pour moi c’est toujours très sympa et marrant.

J’avais anticipé que le côté alternatif de Miyamura serait moins présent et c’est le cas, c’est vrai aussi que certains clichés de manga de romance sont plus présents (les triangles amoureux pour des personnages secondaires, les réconciliations faciles avec les ennemis du passé ou encore la fameuse demande en mariage), mais malgré tout je trouve que les personnages sont attachants et qu’on nous propose un peu d’autres personnalités que ce qu’on a l’habitude de voir. Je peux comprendre que le côté un peu maso d’Hori puisse en décevoir certains mais de mon côté, ça ne m’a pas dérangée parce qu’on voit bien qu’il n’y a pas de méchanceté chez Miyamura et je trouve même plutôt sain que notre héroïne s’interroge d’elle-même sur ce que la fait fantasmer ou non. Elle le dit bien, elle ne sait pas pourquoi ça lui fait de l’effet, mais en tout cas ça la rend toute chose. C’est rare de voir une héroïne (surtout encore au lycée) s’interroger sur ses attirances, avant même qu’un mec ne vienne lui imposer ses propres désirs. Alors, c’est sûr que le fait qu’elle soit dans la team un peu « maso» ça peut paraître choquant (surtout à cause de toutes les violences faites aux femmes) mais il n’en reste pas moins que c’est un fantasme très répandu, donc pour moi c’est ok.

Je poursuivrais donc cette lecture avec joie


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🎮🍭🎭🍭🎮

Dans ce manga, on nous montre que les apparences peuvent être parfois trompeuses.



On va suivre le quotidien d’Hori et de Miyamura, 2 lycéens que tout semble opposer au premier abord. Elle est populaire, studieuse et sociable. Lui est plutôt indiscret, renfermé et les gens le qualifie de lugubre. Pourtant, grâce à Sôta, le petit frère d’Hori, nos 2 personnages principaux vont faire connaissance et vont découvrir que leur personnalité dans la vie privée n’est pas du tout la même que celle qu’ils affichent au lycée.



Miyamura est en fait plutôt beau garçon et il arbore de nombreux piercings et tatouages, loin d’être antipathique, il est en fait très gentil et attentionné.

Hori quant à elle s’occupe de la maison toute seule car ses parents travaillent énormément. Elle doit donc prend soin de son petit frère et fait passer les tâches ménagères avant les sorties entre copines.

C’est en découvrant leur côté caché respectif qu’ils vont progressivement apprendre à s’apprécier et cette relation va même finir par se répercuter sur leur vie au lycée puisque leur rapprochement ne va pas passer inaperçu et va faire des émules.



J'adore cette série qui m'a conquise depuis le début, j’ai très rapidement eu envie de savoir comment les choses allaient évoluer, qui allait finir avec qui et ce que les personnages allaient devenir. Cela a réveillé mon cœur d’adolescente puisque j’ai trouvé Miyamura vraiment très intéressant 😏 Avec ses piercings, ses tatouages et son physique élancé, il dénote du héros habituel, ce que je trouve assez génial (même si par la suite il semble "s'assagir" une peu ce qui est un peu dommage).



Le titre est une sorte d'ode à la tolérance qui est très agréable à lire et qui délivre un message fondamental n’écouter pas les rumeurs et faire vous votre propre avis sur les gens, vous découvrirez peut être ainsi des personnes en or !!!

Un beau message dont on nous parle souvent mais qui dans la réalité est pas toujours mis en œuvre !!!



Vous arrivez à ne pas prêter attention au physique des gens pour vous faire votre avis ?


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Il n’y a pas à tergiverser me concernant, j’aime énormément ce manga ! Horimiya est une excellente comédie sentimentale et sociale. La manière de vivre de ces lycéens japonais, leurs attentes, leurs espoirs, mais également leur caractère est très bien exploitée.



Si la relation entre nos deux tourtereaux avance avec ses hauts et ses bas, on suit également avec beaucoup de plaisir les déboires amoureux de leurs amis. C’est très bien amené d’ailleurs. Si Kyôko cache des penchants masos malgré un caractère un peu brutal, sa meilleure amie quant à elle doit éconduire un camarade qui vient de lui faire sa déclaration.



Sauf que ce dernier est beau à damner et que personne ne comprend pourquoi elle ne veut pas de lui. Enfin, ceux qui la connaissent le savent puisqu’elle en aime un autre qui ne voit rien. Enfin pour le moment.



Entre amour, rebondissements et humour omniprésent, je ne me suis pas ennuyée une seule minute. Parce que l’histoire ne repose pas simplement sur Kyôko et Miyamura, mais aussi sur leurs amis. On les suit avec plaisir et toujours avec un sourire au coin des lèvres.



Je trouve aussi que le graphisme va très bien avec le style. Les dessins sont simples, mais bien faits, et les visages toujours très expressifs.



Bref. Ce septième tome (déjà ?! Mon Dieu, je ne les vois pas passer, c’est pour dire) était super, comme d’habitude.
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Ce tome est une bonne lecture, toujours aussi drôle et des personnages qui restent attachants. Les thèmes abordés sont intéressants et apportent de la profondeur à ce tranche de vie. J'ai apprécié la rencontre avec Sawada qui amène de la diversité et de la surprise, j'espère qu'on la reverra et qu'elle sera développée comme elle le mérite ! Le chapitre du milieu du tome casse un peu le rythme...

J'ai adoré cette lecture qui permet à Hori et Miyamura de se rapprocher, et de s'expliquer sur tous les quiproquos. Tous ces personnages sont hyper attachants, même Kyosuke le père d'Hori que l'on rencontre ici. Il est loin d'être cliché, c'est un original, mais il apporte beaucoup d'humour. La réaction de Miyamura à la fin n'est pas la meilleure pour moi, j'espère une vraie motivation derrière.

Avec quand même 16 tomes à son actif et un mécanisme qui déjà perd un peu de sa fraîcheur pour devenir répétitif, il y a quand même de quoi s'inquiéter un peu pour la suite d'Horimiya, même si ça reste mignon et sympa à lire.



En effet, dès ce deuxième tome, j'ai eu l'impression d'être face à des chapitres plus courts et plus anecdotiques. J'ai été moins prise par ce qui se passait à plusieurs reprises et j'ai même eu l'impression que l'ensemble manquait de liant, ce qui n'était pas le cas sur le tome 1.



Je pense que c'est parce que les auteurs ont tenté de diversifier ce shonen romantique en développant à la fois la partie vie au lycée de leur titre et la romance. Ce n'est pas une mauvaise idée en soi, mais ça aboutit un peu trop sous leur plume à des scènes clichées, passe partout et anecdotiques.



Dommage parce que c'est sympathique de voir Miyamura prendre ses marques avec maladresse dans le groupe d'amis d'Hori, qui deviennent peu à peu les siens. Et c'est surtout encore plus mignon de suivre l'évolution de leur relation à tous les deux, une relation très maladroite mais adorable tout plein.



En effet, j'adore la fraîcheur qui se dégage de ces deux personnages quand ils sont réunis. Les auteurs prennent le temps de leur faire réaliser leurs sentiments et invitent des scènes toutes mignonnes pour cela, souvent chez Hiori. Il faut dire que l'effet cocooning y joue à fond.



Cependant des questions un peu plus sérieuses viennent aussi se greffer et ce n'est pas plus mal. Classiquement on parle d'orientation, mais aussi d'évolution d'une relation amicale vers peut-être autre chose. C'est déjà vu mais ça n'empêche pas la chose d'être bien faite.



Même si Horimiya n'est pas la romance lycéenne de l'année, elle continue d'offrir un divertissement charmant centré sur un couple d'ado naïfs et maladroits qui me parle totalement. Il faut juste espérer que les auteurs sauront se renouveler sans nous lasser ou nous perdre sur les 16 volumes que compte la série, ce qui je l'avoue me fait un peu peur vu déjà le nombre de scènes banales ici....
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Voilà une série que je n'avais pas forcément l'intention de lire à l'origine parce que dans les comédies romantiques shonen très peu ont trouvé grâce à mes yeux. Seulement plusieurs amies m'en ont dit du bien et quand l'une d'elle m'a prêté les premiers tomes sorties, je me suis dit que c'était l'occasion.



Horimiya est donc un shonen composé de 16 tomes qui adapte un animé du même nom et propose de nous divertir avec les histoires sentimentales de tout un groupe de lycéens. Rien de neuf sous le soleil vous en conviendrez et pourtant dès les premières pages j'ai été séduite. Séduite par le ton drôle, doux et bienveillant de cette histoire mettant en scène deux ados qui cachent leur vraie apparence l'un sous des allures de garçon falot, l'autre sous celle d'une belle fille pétillante et populaire. Mais quand ils vont se rencontrer sans ses oripeaux ça va de suite coller entre eux.



Les auteurs de cette comédie romantique n'ont donc pas inventé l'eau chaude. Pour autant, est-ce nécessaire pour passer un bon moment ? Clairement non. J'ai d'entrée eu beaucoup de sympathie pour Hori, une lycéenne, qui une fois rentrée chez elle se transforme en parfaite femme d'intérieur et s'occupe de son petit frère parce que ses parents bossent trop. Un trip typiquement japonais qui en dehors de son improbabilité pour nous fonctionne à merveille car c'est plein de bons sentiments. On ne sent pas de rancoeur de la part d'Hori mais juste un peu de lassitude, normal, et surtout beaucoup d'amour pour son frère.



De la même façon, j'ai d'entrée accroché à Miyamura, ce beau gosse avec piercings et tatouages, qui les cache sous un look totalement passe partout au lycée pour ne pas faire de vague, car on sait combien il faut entrer dans le moule au Japon. Alors oui, ici aussi, c'est totalement improbable pour ne pas dire rocambolesque mais ça passe, parce que Miyamura est la gentillesse incarnée lui aussi. Et quand les deux se rencontrent grâce à l'intermédiaire du frère d'Hori et bien ça passe crème !



J'ai adoré suivre les débuts de leur amitié, les voir évoluer dans le petit cocon de la maison d'Hori, prendre soin de son jeune frère et apprendre à se connaître et à lever des barrières. Tous les deux sont archi naïfs et ça contribue au bon moment qu'on passe car on rit de leurs maladresses et de leurs caractères extrêmes.



Ils évoluent en prime dans un lycée lambda avec des amis lambda mais où là aussi ça respire la fraîcheur et la joie de vivre. On s'amuse de tout ce qu'ils déploient pour cacher leurs secrets. On est un peu triste quand même qu'ils en viennent à de telles extrémités pour ne pas perdre la face. Ce poids des apparences au Japon est terrible, encore plus que chez nous, j'ai l'impression. Cependant, on se plaît à les voir peu à peu tomber le masque avec certains et on devine que cela va continuer, le tout dans une ambiance pleine de camaraderie à la japonaise entre voyage scolaire, cours de sport ou sorties chez le glacier.



Cependant comme je le disais le titre a quelque chose d'assez banal et cela se retrouve énormément dans le dessin ultra lisse de la série qui a tout de ces dessins "animables" que je trouve sans personnalité. C'est mignon, c'est bien fait, mais ça ne résonne pas en moi. Les traits sont archi simples. Il n'y a pas vraiment de recherche. C'est juste mignon et à la mode, point. Les compositions des pages sont tout aussi fades et banales avec un enchaînement de cases rectangulaires bateau, sans recherche d'angle ou de point de vue percutant.



Ainsi, Horimiya est pour moi une petite surprise dans le sens où c'est une série mignonne qui se lit très facilement et où j'ai bien accroché au côté farfelu des personnages et à leur joli rapprochement. Elle n'a cependant rien de bien original, ni dans le fond, ni dans la forme et je peine à comprendre son succès face à d'autres romances lycéennes que je trouve bien plus uniques mais sûrement moins formatée. Cela reste cependant un bon divertissement sympathique qui a toute sa place au catalogue jeunesse de Nobi Nobi.
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Une nouveauté très très attendue chez nous, et qui a fait son petit trou à son lancement. Mais juste avec ce premier tome, j'ai dû mal à saisir ce qui en fait une œuvre aussi attendue. Les personnages sont attachants et c'est assez drôle à suivre. De bonnes idées et valeurs sont véhiculées sur les apparences, mais je n'ai pas encore ce déclic, malgré cette ambiance que j'aime beaucoup !

Encore inédit en France, ce manga de HERO et dessiné par Daisuke Hagiwara est fort sympathique. Je l'ai découvert à l'occasion de la sortie son adaptation animée par les studios CloverWorks et je dois avouer que je préfère le manga (je ne m'étendrai pas sur une critique de l'anime ici même l'animation et les couleurs sont bien réussies).



C'est un pur slice-of-life, efficace et réconfortant. Ne cherchez pas un scénario révolutionnaire, des idées novatrices ou très originales (bonjour Kaguya-sama - Love is war), etc. vous en trouverez rien de tout ça ici. A la place, on aura une histoire qui remplit très bien son rôle : raconter une histoire d'amour naissante puis vivante entre deux lycéens, leurs déboires (toujours très légers et comiques), les relations avec leurs amis, l'école, ...

Les personnages sont assez attachants et l'histoire avance rapidement (tout du moins au début, puis on passe à des moments classiques dans ce genre d'oeuvre). On ne passe pas 100 chapitres à les voir se tourner autour, se demander s'ils s'aiment, etc. Dès le début c'est clair, ils s'aiment et seront en couple très rapidement. Et dès le chapitre 37, on sait même qu'ils sont actifs sexuellement ! (c'est suggéré mais bien fait)



Concernant les dessins et le découpage, rien de très notable à relever. C'est efficace, le dessinateur est constant.



C'est donc sympathique si on cherche à s'occuper en lisant un slice-of-life. Le manga ne vous offrira rien de plus, rien de moins.

Un deuxième tome tout aussi choupi qui fait la part belle à la découverte des sentiments chez nos deux protagonistes, Hori et Miya. Même s'ils ne se les avouent pas encore vraiment, tous deux prennent conscience que leur relation est particulière, et qu'ils tiennent à l'autre.



On retrouve dans ce deuxième tome des thématiques classiques : l'orientation (et le poids des attentes, la pression de la société), et bien sûr les tourments de l'adolescence, entre hésitations amoureuses, amitié, quotidien au lycée.



Bref, sans être révolutionnaire, c'est toujours aussi mignon ! J'adore les personnages, y compris Sota, le petit frère d'Hori qui est décidément bien perspicace. Il va me falloir la suite !

Une idée originale mais où est la fantaisie !

Un premier tome qui met en place les personnages où dès le début Hori et Miya découvrent la vérité l'un sur l'autre.

Au lycée chacun joue un rôle et cache très bien son véritable moi. Hori est la jeune fille gentille, intelligente, populaire et au top de la mode, Miya, le garçon réservé et taciturne. Mais en dehors, Hori doit s'occuper de la maison et de son petit frère et Miya est un punk. Connaissant alors le secret de l'autre, cela va les rapprocher d'autant plus.

On imagine dans les tomes suivants un amour naissant basé sur cette authenticité. L'importance de la vérité et d'être soi-même.

Un manga qui se lit très facilement, les dessins sont simples, les traits légers. Une romance classique qui reste dans les codes japonais.

Dommage que le secret de Hori soit d'être fée du logis et que Miya n'ai pas assez d'audace pour arborer piercing et tatouages.

Un manga gentillet dans les normes mais qui manque de caractère.