Tu as le droit de me hurler dessus, de me provoquer tant que tu le souhaites et de me frapper si tu le désires, mais ne me déteste pas, Amber. Je t’en prie, ne me regarde pas comme tu es en train de le faire.
Je suis sidéré par la sensation qui apparaît dans mon corps, comme une sorte de déchirure. Oui, c’est ça, tout en moi se brise et mon cœur me fait si mal, alors qu’un goût acide remonte dans ma gorge.