Mido

Quelle joie de retrouver Marin le caneton et la plume de MIDO aussi douce que ses illustrations. MIDO a le talent de transformer une simple fleur de pissenlit en un univers de poésie.

Une histoire que les parents et grands-parents auront plaisir à raconter à leurs enfants et petits-enfants.

A la fin de l'album quelques pages aident le jeune lecteur à reconnaître les insectes de la campagne.

Dans ce livre pour les petits, on retrouve Marin, petit caneton COLVERT.



Les jolis textes de cette histoire sont très bien écrits et très instructifs. Je pense qu'un enfant de trois ans peut déjà les apprécier.



Les très jolis dessins agrémentent la lecture.



Enfin, le livre se termine par des explications (pour les plus grands mais lisons-les dès à présent, il en restera toujours quelque chose) , un questionnaire, une proposition de plantation et un coloriage.



Je ne vous dirai pas comment Marin s'est fait un chapeau. Vous le découvrirez en lisant cette histoire !



Un très beau livre à offrir. C'est ce que Saint-Nicolas fera dès cette après-midi !

Ce petit canard apprend aux enfants à observer la nature qui nous entoure..

Mon petit garçon de 3 ans adore suivre les aventures de Marin, un petit copain si attachant ♥️



Je conseille vivement cette série d'albums pour sortir des histoires classiques que l'on connaît déjà...

Marin et le printemps est le premier livre de la série "Marin", petit caneton COLVERT.



Les jolis textes de cette histoire sont très bien écrits et très instructifs. Je pense qu'un enfant de trois ans peut déjà les apprécier.



Les très jolis dessins, très précis, agrémentent la lecture.



Enfin, le livre se termine par des explications sur les animaux (pour les enfants d'un peu plus de trois ans, mais il en restera toujours quelque chose), un questionnaire et un coloriage.



Un très beau livre à offrir. C'est ce que je ferai dès demain !

J'ai été séduite par cette jolie histoire !

L'auteure a réussi avec brio à nous faire comprendre l'impatience de Marin de voir arriver le printemps.

Les dessins sont savoureux, délicats, vifs et ils traduisent à merveille les sentiments éprouvés par ce sympathique caneton : la déception, l'impatience, la peur, la surprise et surtout la délicieuse complicité avec Papy-canard. la couverture en elle-même est une réussite au niveau des couleurs, des personnages, de leurs expressions !

le texte est tout aussi dynamique, rythmé par les onomatopées qui sont source de connivence entre le lecteur adulte et le jeune auditeur.

Un petit dossier didactique clôture ce bel album qui ravira les plus grands enfants sans oublier le coloriage !

Dans ce livre pour les petits, on retrouve Marin, petit caneton COLVERT.



Les jolis textes de cette histoire sont très bien écrits et très instructifs. Je pense qu'un enfant de trois ans peut déjà les apprécier.



Les très jolis dessins, très précis, agrémentent la lecture.



Enfin, le livre se termine par des explications (pour les enfants d'un peu plus de trois ans, mais il en restera toujours quelque chose) et un questionnaire.



Cette petite histoire est riche en enseignements comme ceux que l'on trouve dans "Le petit prince" de Saint-Exupéry avec ici le thème du bonheur.



Un très beau livre à offrir. C'est ce que je ferai dès demain !

Je retrouve avec bonheur Marin, petit caneton, héros de papier de MIDO, que j'affectionne particulièrement. Son auteure aussi d'ailleurs...



Ca fait un moment que Marin et Petit-Geai n'ont pas vu leur copain Marcassin. Et justement il arrive... avec un nouveau copain, Pould'O.



Cela se passe en automne et la tempête se lève... Mais pour beaucoup de régions actuellement, cela pourrait presque être le printemps (à l'exception que dans l'histoire les feuilles tombent des arbres).



C'est face à l'adversité que l'on reconnaît ses vrais amis, ce dont Marcassin va faire l'expérience !



Ce nouveau livre pour enfant de MIDO aborde l'amitié sous un angle différent. Il permet d'expliquer la différence entre un copain et un ami. Il apprend aux enfants où sont les limites de ce que l'on peut permettre au nom de l'amitié.



Dans le monde où nous vivons, où les meilleurs ami.e.s deviennent parfois harceleur.euse et victime, il n'est jamais trop tôt pour expliquer les limites de l'amitié.



C'est un gros coup de coeur pour moi, parce que le style de MIDO est extrêmement soigné aussi bien au niveau du petit livret didactique (qui termine l'ouvrage) qu'au niveau du dessin (splendide !) et des textes (qui permettent aux enfants d'enrichir leur vocabulaire).



Un petit conseil : faites les jeux dans un petit cahier extérieur. L'enfant les refera plus tard, ce qui permettra de voir son évolution.

Qu'est-ce donc que l'amitié ?

On peut la définir avec des mots pour l'expliquer aux petits enfants. Mais n'est-ce pas plus facile de leur proposer une histoire avec de jolies illustrations pour qu'ils s'identifient aux personnages et ressentent leurs émotions ? Mido, à travers ses albums, sait sensibiliser ses lecteurs aux thèmes essentiels qui fondent l'humanité des enfants en devenir. « Marin, Pould'O et la tempête », comme ses précédents ouvrages, ouvre le coeur de ceux qui le découvrent, en « mettant en scène » une aventure d'amitié justement.



J'ai très envie de m'appuyer sur les réactions de mon petit-fils de 3 ans, lorsque je lui ai lu les pages de ce beau texte et que, lui, me racontait les dessins en pointant son doigt sur Marcassin, Pould'O, Petit-geai et Marin, tout en les nommant.

« Pourquoi elle est jamais contente Pould'O ? » le voici bien intrigué par le comportement du nouveau meilleur copain de Marcassin qui ne semble pourtant pas très gentil.

« Mais pourquoi, il l'a poussé dans l'eau ? Il va aller au coin ? » Il a raison, il le mériterait bien !

« Y vont retrouver Marcassin, hein, mami ? » Inquiet, il est prêt à se lancer à sa recherche !

« Pourquoi il s'en va et qu'il les aide pas ?» le voici à présent bien mécontent de l'attitude de Pould'O !

« Y faut pas qu'il pleure… mais non, Marin, faut pas le laisser tout seul, quand même. Il est gentil quand même, Pould'O » . Bon, je crois qu'il a compris ce qu'était l'amitié et que l'exclu du groupe de copains était égoïste et pas du tout sympa. Mais les illustrations de Pould'O lorsqu'il pleure donnent vraiment envie de le consoler, et son chagrin, même mérité, est émouvant… on lui donnerait volontiers une seconde chance pour qu'il se rattrape.



Avons que nous ne refermions le livre, mon petit-fils a tenu a déposer sur chacun des personnages un bisou. Et bien entendu, je lui ai ensuite demandé si lui aussi avait des copains qu'il aimait à la crèche, si certains étaient un peu comme Pould'O, si lui-même lui ressemblait un peu parfois… Bref, Mido nous a permis de poursuivre notre lecture à notre façon, toujours sur le thème de l'amitié.

�Étant fan des écrits de cette auteure qui ne nous déçoit jamais, mon petit bout et moi, je vous invite à vite les lire !

C'est une très belle histoire que cette rencontre d'une petite fille et du petit Mut Muk, un garçon différent.



Le livre comporte en plus de très belles illustrations de MIDO. Il n'y en a pas à toutes les pages, bien sûr, puisque c'est un livre destiné aux enfants à partir de 8 ans.



Les beaux sentiments sont présents puisque la petite fille va passer très naturellement au-dessus des différences de Mut-Muk et permettre à celui-ci de se sentir accepté, puis apprécié et aimé.



C'est un petit conte philosophique à mettre dans les mains de tous les enfants. C'est très important à notre époque, où, à l'école et sur les réseaux sociaux, les enfants se font harceler ou juger sur des apparences tellement futiles.



Je recommande la diffusion de ce livre au plus grand nombre d'enfants possible... pour la diffusion des valeurs de tolérance et de bienveillance.

Quelques jours à peine après m’être promis de ne plus demander ou accepter de nouveaux services de presse avant d’avoir vaincue la pile de romans tanguant dangereusement sur mon bureau, je suis tombée sur la proposition de Suzanne Max, directrice de la collection Saute-Mouton aux éditions Ex Aequo, sur Simplement.pro … et devant la promesse d’un « joli conte, tendre et poétique, qui interroge en douceur sur la différence », toutes mes bonnes résolutions ont fondues comme neige au soleil ! Pour couper court aux protestations naissantes de ma conscience, j’ai cependant décrété que je ne lirais ce tout petit roman jeunesse qu’une fois les services presse les plus urgents lus et chroniqués … Et le moins que l’on puisse dire, c’est que Mut-Muk a parfaitement joué son rôle de récompense : cette histoire est tout simplement adorable, mignonne et douce à souhait !



Alors qu’elle déambulait dans son jardin afin de trouver une idée de récit à écrire pour sa poupée Caroline et son Vieux Nourson, la petite fille se retrouve face à Mut-Muk, étrange petit garçon qui lui demande de raconter son histoire … Au fil des jours, au fil des pages, elle fait la connaissance de cet enfant si sensible rejeté à cause de sa différence. Elle lui fait découvrir son monde, il lui fait découvrir ses rêves … Et petit à petit, les larmes cèdent leur place aux sourires, les pleurs laissent leur place aux éclats de rire, tandis que le regard de Mut-Muk se fait moins tourmenté, plus joyeux, plus lumineux … Et si l’amitié de la petite fille était le remède dont il avait besoin pour aller mieux ?



J’étais bien loin d’imaginer à quel point ce tout petit roman allait me secouer, à quel point l’histoire de ce petit garçon pas tout à fait comme les autres allait me bouleverser. Mut-Muk, c’est un enfant qui souffre énormément de sa différence, ou plutôt du regard que les autres portent sur sa différence, un regard « qui te vide complétement, qui te ratatine et te dévore », un regard de crainte et de mépris. Un regard qui juge et qui exclut … car nous vivons dans un monde affreusement conformiste où tout ce qui diffère un tantinet de la norme est rejeté, à l’instar des mauvaises herbes que l’on arrache. La poupée Caroline, coquette et hautaine, représente à elle-seule cette société où « tout doit être lisse est parfait » et qui « ne laisse place à aucune excentricité ». Le petit lecteur est invité à suivre l’exemple de cette poupée, « capricieuse et égoïste », qui « comprend peu à peu que la vrai beauté est dans le cœur de chacun » … Ce petit conte est une véritable exhortation à la tolérance, au respect et à la bienveillance !



Mais ce livre est également une véritable ode à l’imaginaire … La petite fille le dit bien : « tout est une question d’imagination », et elle s’énerve contre la poupée Caroline qui « manque sévèrement d’inventivité », ne comprenant pas que des petits pois modelés en pâte à modeler sont aussi délicieux qu’une mousse au chocolat, du moment qu’on y croit ! Mut-Muk, au contraire, a l’imagination incroyablement débordante : d’un souffle, les akènes des pissenlits deviennent poussière d’étoiles en s’envolant … Plus encore, il suffit à la petite fille d’écrire ou de dessiner dans son carnet pour qu’ils marchent pieds nus sur la plage, il suffit à Mut-Muk de peindre l’intérieur de la cabane pour faire naitre un ruisseau chantant … A travers ce récit, l’autrice démontre la force de l’imagination et les bienfaits du rêve. « Les histoires sont là pour réparer le monde », nous dit Mut-Muk … Au final, on ne sait pas vraiment qui il est, d’ailleurs : est-il un véritable petit garçon, ou bien est-il un ami imaginaire ? A chaque fois que la fillette pose son carnet noir, Mut-Muk s’endort … A chacun d’y voir ce qu’il désire !



En bref, vous l’aurez bien compris, j’ai beaucoup aimé ce petit livre, magnifiquement illustré par l’autrice elle-même ! C’est un livre porteur de beaux et grands messages, raconté avec beaucoup de douceur et de poésie, même si je suis restée un peu sur ma faim : à peine a-t-on le temps de faire la connaissance de Mut-Muk que la dernière page se tourne déjà … Quelle tristesse que de quitter si rapidement ce petit garçon qui nous rappelle que la différence est une force ! Quelle tristesse que de quitter cette petite fille au grand cœur, qui lui fait la plus belle des promesses : « celle de l’aimer ». Soyons donc comme cette petite fille, soyons bienveillants les uns envers les autres, tendons nos mains à ceux qui sont seuls, offrons nos sourires à ceux qui souffrent et qui sont esseulés à cause de leur différence … A l’instar de la poupée Caroline, laissons nous transformer par ce récit à mettre en toutes les mains, petites comme grandes !
Lien : https://lesmotsetaientlivres..

Voici un livre qui vous chavire, vous émeut et vous bouleverse comme aucun autre, parce qu’il allie poésie, tendresse, douceur et aventure de l’enfance. Il vous laisse un parfum de bien-être teinté d’altruisme, de tolérance et de fantaisie. Cette enfant qui partage un moment avec ce Mut-Muk si déconcertant et si désarmant avec ses analyses fines et justes, et son regard singulier sur un monde qui a du mal à l’accepter tel qu’il est. Mido trace ici les méandres d’un message aussi vital que le cours d’eau de nos vies. Oui, la différence est une richesse, et si tu diffères de moi, ami, alors tu ne peux que m’enrichir. En effet, on n’apprend pas grand-chose auprès de personnes qui ne seraient que nos reflets ou nos clones. Beau voyage à tous en compagnie de Mut-Muk, un personnage attachant et mémorable comme je les aime !

Difficile de trouver les mots justes pour rendre honneur à ce livre. J’ai été profondément émue par ce texte, touchée par son univers entre réalité et imaginaire. Je me suis laissée porter par l’histoire. À l’unisson avec la petite narratrice, j’ai apprivoisé, découvert, aimé Mut-Muk, l’enfant étrange et pourtant si vrai. Bien sûr, ils ne sont pas seuls et sont accompagnés de Caroline, la poupée au look BCBG, et Nounours, la vieille peluche d’amour, tout aussi attachants et attendrissants. Partager un moment de vie, de rêve avec eux fut un réel plaisir, un moment magique de lecture.



Dans ce texte, Mido nous parle de tolérance, de respect mais aussi, de manière douce, sensible et poétique, de métamorphoses. Chacun, la fillette, la poupée, le nounours et l’enfant au masque blanc évolue et avance sur son propre chemin. L’une va découvrir la bienveillance, l’autre la confiance,… Tous vont s’enrichir au contact les uns des autres, grandir et devenir plus fort.



Lorsque j’ai refermé ce livre j’ai vraiment eu le sentiment de quitter des amis. J’ai été partagée entre le bonheur d’avoir fait de si belles rencontres et la tristesse de les voir s’envoler de leurs propres ailes. Cette histoire, si joliment illustrée, m’a accrochée au cœur. Elle m’a marquée et laissera une trace précieuse et délicate dans ma mémoire. Comme David pour Mido.



Quelque part, Mut-Muk, m’a fait penser au Petit-Prince. Mido termine d’ailleurs son livre sur une parole d’Antoine Exupéry. Je laisserai, moi, le mot de la fin au Renard : « On ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux ».

Je viens de lire Mut-Muk et les mots me manquent tant l'émotion est grande. En tournant la dernière page, j'avais l'impression que Mut-muk n'était pas très loin de mon bureau. Peut-être était-ce le cas... Mut-muk m'a émue, il m'a fait sourire aussi. Une chose est sûre, ce roman fait réfléchir bien après avoir refermer le livre.

Je vais avoir un peu de mal à le quitter pour me replonger dans mes projets actuels. Merci Mido pour ce voyage entre réalité et monde imaginaire.

"Qu'est-ce donc qu'une mauvaise herbe sinon une plante dont on n'a pas encore trouve les vertus" (R.W. Emerson). Mut Muk fait partie de ces plantes mal-aimées que l'on bannit de façon machinale de nos jardinières et nos potagers. Et si la bienveillance, l'écoute et la tolérance d'une poignée d'êtres humains lui permettait de se trouver et d'exister enfin?

Cette histoire a fortement résonné en moi car en tant qu'enseignants, nous avons tous déjà rencontré un Mut-Muk dans nos classes. J'ai été profondément émue par ce récit sur la différence qui, en douceur et avec des images très poétiques, fait réfléchir à la normalité et l'accueil de l'autre. Merci à Mido pour cette histoire poignante remplie d'espoir.

Une fillette écrit des histoires pour ses poupées : Caroline, la Sainte Nitouche un peu trop précieuse et Nounours, la peluche débonnaire et affectueuse. Mais pas facile de trouver l’inspiration… A moins qu’un jour, celle-ci ne naisse d’une rencontre un peu particulière, avec un enfant pas comme les autres. Un enfant à l’apparence différente et souffrant d’une profonde solitude car le monde est bien cruel pour ceux qui ne sont pas dans la norme ! Mut-Muk, c’est le nom que lui donne la petite fille, a besoin d’être aimé, d’exister sous un regard bienveillant qui l’apprécie pour ce qu’il est.

Mais Mut-Muk est-il réel ou le produit de l’imagination de notre fillette ? Peu importe, là n’est pas le plus important.

L’essentiel, c’est le lien qui se crée petit à petit entre Mut-Muk, la fillette et ses poupées. Lors des premiers échanges, chacun réagit à sa façon, plus ou moins bien, selon son caractère. Mais finalement, la magie du cœur opère et chacun découvre les richesses de l’autre. L’amitié, l’amour n’ont pas de frontières et rend beau tous ceux qui les partagent. Mut-Muk n’a plus peur et peut à présent s’élancer sur les chemins de sa vie, sans craindre le regard de l’autre.

Magnifique histoire. Tout d’abord par le message qu’elle adresse aux enfants, mais aussi parce qu’elle nous entraine dans une nature magnifiée par la poésie de l’auteur. La réalité et l’imagination se côtoient, se fondent pour nous offrir un univers duquel on ne voudrait jamais sortir. Enfin, les mots soignés, légers et précis enrichissent le vocabulaire des lecteurs.




Lien : https://dominique.dejob@oran..

Autrefois enseignante pour enfants , Mido poursuit son chemin dans l’ écriture , une passion . La littérature jeunesse est son genre favori .

Après “Les chemins d'Alana” , je découvre “Mut-Muk” également publié aux éditions Ex Aequo. Ce livre illustré par l’auteure s’adresse aux enfants dès 8 ans.

En compagnie d’une poupée et d’un vieux nounours , une petite fille se plaît à écrire des histoires imaginaires . Son quotidien est agréable sans aucun conflit particulier . Elle suit son rythme selon ses envies , en douceur . Une seule ombre voile son visage d’enfant, sa jambe présente un aspect douteux qui nécessite une opération . Elle est depuis sujette à des pensées chaotiques, tout se bouscule dans son esprit . Elle vit dans le flou de l’instant qui suivra cette chirurgie . La peur l’enveloppe de temps à autre mais ses amis sont là pour apaiser ses craintes .

Les merveilles de la nature adoucissent ses journées, auxquelles se rajoute sa passion pour l’écriture. C’est un jour comme un autre qu’elle se retrouve dans le pré fleuri , un endroit qu’elle affectionne tant . Quelle est sa surprise de rencontrer un petit garçon aux traits étranges. Il lui procure pourtant un intérêt certain . Une amitié prend naissance entre eux avec la complicité d’une poupée arrogante et d’un nounours bienveillant.

La solitude est la seule compagnie de Mut-Muk . Depuis sa naissance , il est sujet à des moqueries , tout le monde l’évite à son grand désarroi. Son existence est triste et fade. Ecrire son histoire lui apportera une certaine délivrance et un bien-être selon lui , au tour de sa nouvelle amie de poser sa plume dans son précieux carnet … Une belle route attend ces deux enfants où la solidarité , la compassion , la communication dans le respect mutuel seront d’un grand secours pour la compréhension de l’autre .

Mido apprend la différence aux enfants dans ce conte illustré . Un sujet qui nécessite une attention particulière et un esprit ouvert à discussion . Elle décrit avec justesse un manque de bonté évident de la société face à l’inégalité. Ces personnes prennent part à beaucoup d’humiliations et d’évitements. L’écrivaine ajuste agréablement son histoire entre le réel et l’imaginaire.

Un conte pour enfants attendrissant qui mérite d’être lu .


Lien : http://chroniqueuse6.canalbl..

Un roman graphique qui parle d’écologie, des bons gestes et des bons mots à avoir pour ne pas devenir un « manfou ».

Petit-Mô est un lutin. Un matin, il s’aperçoit que les gens du village ont changé. Il n’entend plus de rires mais des disputes. Que se passe-t-il ?

Un peu d’humour, de l’aventure, de jolis dessins en noir et blanc embarquent le jeune dans cette histoire. Elle va le sensibiliser à la protection de la nature mais aussi à la politesse (bonjour, merci…), des « outils » nécessaires pour que reviennent la joie de vivre et la douceur dans le village du petit lutin. Deux « leçons » différentes et complémentaires.

Les textes se marient aux dessins pour attirer l’œil, parfois dans le style « habituel », parfois en rond, parfois dans des bulles….

La lecture est agréable avec un vocabulaire adapté (les mots plus complexes sont expliqués) et les textes ne sont pas longs. Les dessins sont parlants. Je suppose que le choix du noir et blanc est volontaire, personnellement j’aurais aimé trouver quelques touches de couleurs. Ce sera mon seul tout petit bémol. Ce livre est une réussite et transmet des valeurs de façon « ludique ».

Bonne découverte !

Dès que j’ai ouvert cet album, dès que j’ai pris la première page entre mes doigts, la douceur du papier façon vélin m’a révélé bien avant que ma lecture commence la bienveillance et la tendresse de l’histoire. Avant de lire les premiers mots du récit, je savais déjà que j’entrais dans un monde enchanté. C’est de notre belle planète dont il est question dans ce conte. Petit-Mô le lutin accompagné de son ami Nohnö l’escargot va tout faire pour la protéger contre les agissements de l’affreux Manfou.



Une manière poétique d’éveiller nos enfants et petits-enfants au respect et à la protection de la nature si fragile.

La mise en page originale et les illustrations au crayon graphite de Kiko ajoutent à cette impression de sérénité qui émane de cet album qui pourtant traite d’un sujet grave, actuel et prioritaire.

La dernière page intitulée le lexique de petit-Mo est une vraie gourmandise.



Je remercie infiniment Mido de m’avoir offert cette parenthèse de quiétude comme dernière lecture d’une année bien tourmentée pour tous.

Cette BD a été lu par Léo, 10 ans et Aaron, 9 ans. Ethan, 7 ans n’a pas été convaincu par cette BD car les écritures ont été trop petites pour lui. Il commence à lire et la typographie n’est pas adaptée à son niveau de lecture.

Dans un premier temps, j’ai laissé les enfants lire de manière autonome cette histoire. Par la suite, j’ai compris pourquoi les enfants avançaient doucement dans la compréhension de cette BD.

Du coup, j’ai fait une relecture de l’histoire avec eux.

Je vous laisse découvrir leur avis.



L’histoire



Léo 10 ans :

+ « J’ai trouvé drôle l’arrivée de plusieurs Manfou »

_ « Je n’ai pas compris quand l’escargot a disparu » « Le description de Manfou en plein milieu du livre a été bizarre, j’aurais préféré qu’il soit à la fin »

Aaron 9 ans :

_ « Il y avait trop de jeux de mots et parfois je ne comprenais pas l’histoire »

+ « J’ai aimé le dialogue des villageois lorsqu’ils étaient en colère, c’était drôle »



Le manque de couleur



Léo et Aaron sont en accord pour dire qu’il manquait de la couleur. La couverture montrant une coccinelle (Cocci) avec sa palette de peinture, les enfants ont cru que la BD serait en couleur. Malgré tout, les enfants confirment que les dessins sont « bien faits ».

Aaron propose une idée originale. Mettre de la couleur avant l’arrivée de Manfou afin de rendre le village joyeux et enlever la couleur dès que Manfou rôde dans les campagnes, les villes et la forêt « Ce serait moins triste ».



La typographie



Aaron n’a pas aimé la police de la BD surtout à la page 43 car il a eu du mal à lire (Les écritures en formes de gouttes). Il n’a pas aimé cette originalité. Il préfère le côté structuré.

Au contraire, Léo a apprécié ce changement de police. Il a trouvé cela rigolo (surtout les écritures en forme de vagues)



L’avis de Maman



Cette BD est très jolie. Les illustrations sont en noir et blanc. Effectivement, si elles avaient été en couleur elles auraient d’avantage toucher les enfants. Mais les dessins sont parfaits. Ils sont détaillés et très humoristiques. J’ai beaucoup apprécié l’originalité de cette BD.

Personnellement, j’ai bien aimé le détail du contenu de la valise de Petit-Mô. J’ai adoré que le héros utilise tous les accessoires de sa valise bleue dans son aventure contre Manfou.

L’humour est partout dans cette BD, à la fois dans le dessin, dans le texte, dans les nombreuses onomatopées et dans la typographie. C’est très drôle. Je reconnais bien le style poétique de Mido qui m’a de nouveau touché en plein cœur.

Cette BD a une double lecture.

Pour mieux comprendre les enjeux de cette lecture, je conseille en présence d’un adulte. La BD est humoristique et remplie de bons sens. L’autrice joue également sur les mots qui ne sont pas tous bien compris par les enfants. On retrouve des messages forts parfaitement identifiables par les jeunes lecteurs comme le gaspillage et la préservation de la nature à travers le destructeur Manfou.

Cependant les enfants n’ont pas compris que les Manfou sont des êtres encore présents dans notre monde. Ils n’ont pas fait le lien avec notre monde actuel. Ils l’ont lu comme une histoire purement imaginaire.

A la fin du livre, on retrouve un petit lexique pour expliquer les mots compliqués et une tendre déclaration de Mido concernant l’importance des mots.



Je vous invite à vous procurer ses ouvrages toujours aussi poétiques et touchants. Pour les plus-petits, découvrez les aventures de Marin, un adorable caneton sensible.

Je remercie chaleureusement Mido pour l'envoi, en service presse, de son roman graphique pour les enfants à partir de 7 ans intitulé : Petit-Mô et l'effroyable Manfou.

Petit-Mô est un lutin qui vit heureux avec Cocci et Nohnö, à l’entrée d’un joli village.

Mais un matin, de terribles grognements s’échappent de la forêt. La joie de vivre disparaît.

Manfou et ses disciples, effroyables créatures, seraient-ils revenus ?

Accompagné de son fidèle et adorable colimaçon, le lutin prépare sa valise bleue pour un voyage de trois jours..

Petit-Mô et l'effroyable Manfou est un album jeunesse important car il parle de la nature, de l'importance de la protéger.

L'histoire est très bien ficelée.

Petit-Mô est un adorable petit lutin. Quand il se rend compte que son village se dispute soudainement, il comprend que quelque chose ne tourne pas rond. Alors il fait un voyage qui confirme sa première impression : vraiment, sur cette planète des choses ne tournent pas rond !

Il va affronter le vilain Manfou à l'aide de.. non non, pas de violence ! Au contraire, il va lancer.. des mots doux ! C'est plus efficace :)

C'est bien trouvé ; cela incite au savoir vivre, à la gentillesse, à bien se comporter en public et avec les autres. A respecter la nature, aussi, bien sur.

J'ai totalement été charmée par ma lecture et également par les illustrations au crayon de bois de Kiko. Elles apportent une dimension assez grave à cette aventure, on comprend mieux la portée des mots avec l'utilisation du noir et blanc.

Petit-Mô et l'effroyable Manfou est un excellent roman graphique pour tous, petits comme grands dès 7 ans.

N'hésitez pas à l'offrir, c'est une bonne idée de cadeau. Je vais le garder précieusement dans ma bibliothèque en attendant d'avoir des petits-enfants :)

Ma note : un énorme cinq étoiles.