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Critiques de Adam Braver (17)
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22 novembre 1963

L'assassinat de Shinzo Abe, ancien dirigeant du Japon, m'a incité à relire celui du Président Kennedy et j'ai trouvé dans ma bibliothèque ce livre dont j'avais oublié la présence et se révèle une pépite.



Certes le lecteur curieux de connaitre le ou les assassins, les causes de l'attentat, ses conséquences sur la politique américaine reste sur sa faim car Adam Braver se focalise d'abord sur ceux qui ont vécu dans leur chair de drame de Dallas. Badaud filmant le cortège, motard entourant la voiture présidentielle, médecin légiste pratiquant une des autopsies témoignent, à raz de pâquerettes, avant de laisser place à la first lady of the United States (FLOTUS), qui devenue veuve, doit immédiatement côtoyer le nouveau président lors de sa prestation de serment, tout en songeant à ses enfants et déterminer par quel truchement leur faire part, sans tarder, de ce nouveau drame un trimestre après la mort de leur petit frère.



Avant même de rapatrier dans la nuit le cercueil de Dallas à Washington, Jackie Kennedy prend en main l'organisation des obsèques nationales avec une obsession « Qu'on fait les Lincoln ? » un siècle plus tôt. Elle fait extraire le catafalque entreposé depuis 1865 et voiler de crêpe noir le Capitole avant l'atterrissage d'Air Force One dans la capitale. Le « cheval caparaçonné » qui suivra la caisson est immédiatement « mobilisé » et le cimetière national d'Arlington retenu.



« Le passé est un prologue » et Jackie, férue d'histoire, tient à ce que le défunt rejoigne Abraham Lincoln dans la légende et ces obsèques, télévisées dans le monde entier, gravent l'histoire et placent Jackie et les Kennedy au panthéon étasunien.



Puis Jackie s'éloigne de Washington avec ses enfants, et, contrairement à Mary Todd Lincoln, réussit à refaire sa vie, s'écartant ainsi de la tragique destinée de celle qui, après avoir perdu trois frères engagés dans les rangs sudistes, entre en dépression, est internée dans un asile psychiatrique, évacuée à Pau et Francfort, avant de mourir dans l'oubli, voire l'opprobre, en 1882.



Le 22 novembre 1963 Jackie trouva la force de surmonter sa peine et d'unir les américains ; merci à Adam Braver et à son traducteur pour cet hommage salutaire.
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22 novembre 1963

Tout le monde connait Jackie Kennedy ou a au moins entendu parler d’elle. Eh bien si vous lisez ce livre, vous en saurez davantage. Enfin, si vous voulez bien entrer dans la création loin d’être débridée d’Adam Braver !



Celui-ci s’est imaginé les heures précédant et suivant l’assassinat sous différents points de vue : celui de Jackie d’abord et principalement, mais aussi celui du motard qui s’est trouvé très près de la limousine à Dallas, celui du chauffeur des pompes funèbres ayant vendu le premier cercueil servant au transport du corps jusque Washington, celui du médecin pratiquant l’autopsie, celui de L’Homme qui a filmé l’assassinat en direct, celui du mécanicien chargé de l’entretien de la limousine, qui se sent coupable, mais de quoi ? , celui de la nounou des enfants chargée de leur annoncer la nouvelle, et j’en passe...



Tout est donc bien décortiqué, on voit que l’auteur s’est documenté de façon très sérieuse. Mais à la longue, la lecture de ces tergiversations d’humbles et moins humbles, de ces ressassements, de ces pas de côté...me devient fastidieuse.

Jackie, seule, m’intéresse, finalement. Pourquoi ? Peut-être parce que je suis une femme, et que lorsque nous sont contés son chagrin lourd et dense de mère d’un bébé mort à 2 jours (au mois d’août), son amour malgré tout de son mari ne vivant quasi que pour la politique, son effondrement digne et tout intérieur tout au long des heures où elle commence à être veuve, je compatis. Je ressens son infinie solitude. J’ai mal avec elle.

Et pour elle, rien que pour elle, j’ai commencé à visionner des documentaires sur Internet, notamment celui de France 5 : « What Jackie knew », très respectueux et en même temps très vrai. Emouvant.

http://www.youtube.com/watch?v=_W6aNw9viSA



Ce livre qui m’a souvent ennuyée m’a pourtant ouvert les portes vers une femme raffinée et malheureuse, distante et maternelle, que je ne connaissais, pour ainsi dire, pas.

Et rien que pour ça, je suis contente de l’avoir lu.

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22 novembre 1963

Adam Braver pose un regard atypique sur cette journée de novembre 1963 qui a vu s'écrouler une partie du rêve américain.



Chaque chapitre aborde le ressenti de différents protagonistes plus ou moins concernés par l'attentat. Si une belle part est laissée à ce qu'a pu ressentir Jackie Kennedy, juste après le drame, dans l'avion au moment de la prestation de serment de Johnson ou seule auprès du cercueil de son bien-aimé, nous découvrons aussi les réactions d'un motard de la police qui accompagnait le cortège ou encore du personnel de la Maison Blanche qui a du préparer le retour du patron défunt.



A ces points de vue inédits, s'ajoute une construction assez originale (mais pas trop) qui mêle récit romancé, retranscription d'auditions et parfois de la narration qui semble s'adresser directement au lecteur.



J'ai beaucoup aimé le parti pris de l'auteur qui a laissé le personnage principal dans son cercueil pendant la grande majorité du livre tout en s'arrangeant pour que JFK soit présent à chaque page, chaque ligne, chaque pensée.



Une vision intéressante de cette journée que l'on pense tous connaître par coeur, qu'on l'ai personnellement vécue ou pas, tant l'on a pu lire sur le sujet. Dans ses remerciements, l'auteur confirme que même s'il s'est énormément documenté, il a rempli beaucoup de blancs avec de la fiction.
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22 novembre 1963

C'est une chronique, minute par minute quasiment, des instants qui ont suivi la mort tragique du Président Kennedy. On y voit les différents intervenants: le Vice-Président Lyndon Johnson, son épouse "lady Bird", le personnel de la Maison Blanche.. et surtout Jackie Kennedy, que l'on voit désemparée mais en même temps se ressaisir rapidement pour organiser les obsèques, avec d'autant plus de mérite qu'elle-même sort à peine du deuil de son enfant mort-né Patrick, décédé au cours de l'été précédent le drame.

Ce qui est intéressant aussi, c'est le parallèle qui est dressé avec la mort du Président Lincoln, lui-même victime aussi d'un assassinat.

Un moment tragique, le 22 novembre 1963, qui marque aussi les débuts de la communication moderne puisqu'on estime qu'en moins de deux heures, 90% des Américains avaient appris la mort de Kennedy.

Un récit vivant, minutieux, dans le style journalistique, une écriture précise, qui nous fait revivre ces instants tragiques...
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22 novembre 1963

Le 22 novembre 1963 mourait assassiné à Dallas John Fitzgerald Kennedy. Ce livre commence quelques heures avant le drame et s’achève au moment où Jackie Kennedy rentre seule à la Maison Blanche.



Ce livre aborde un drame historique par une vision intimiste, méticuleuse sans toutefois jamais être voyeur à travers le ressenti de plusieurs personnages, Jackie Kennedy tout d’abord, un tailleur de Dallas ayant filmé la scène, le médecin qui pratiqua l’autopsie, le personnel de la Maison Blanche.



Tout le long du roman on ressent la tristesse, l’incompréhension la tragédie de cette mort soudaine et incompréhensible. Le livre évoque le « vent de panique » et la non préparation des équipes de la Maison Blanche à l’organisation si rapide de funérailles. Le personnel, huissier, femme de chambre, nurse tente de faire au mieux, de préserver les enfants, de réaliser leurs taches malgré la peine et l’accablement.



Je me suis particulièrement attaché au passage relatant Jackie Kennedy, cette femme digne, qui tente de survivre au drame qui vient de la frapper. Plusieurs fois on ressent une agitation contre laquelle elle doit lutter intérieurement. Elle vient de perdre son époux et déjà il faut être protocolaire, être présente à la nomination du vice président au titre de président, tenir son rôle. Elle s’accroche à son tailleur taché de sang comme si elle ne voulait pas que l’on oubli ce qui vient de se passer. Le rapatriement du corps de Kennedy par avion est le dernier moment de Jackie avec John, elle sait qu’une fois que l’avion aura atterri elle devra rendre le président au protocole et à l’Amérique. Ce ne sera plus son mari décédé mais un président défunt et bien qu’elle comprenne cela en tant que citoyenne elle en souffre horriblement en tant que femme. Ce livre est passionnant aussi bien pour le Grande Histoire que les petites qu’il raconte à travers cet événement.
Lien : http://mespetitesidees.wordp..
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Misfit

Depuis que je suis haute comme trois pommes, je suis fascinée par le mythe Marilyn, que ce soit sa carrière ou sa vie privée tout ce qui se rapporte à cette légende me passionne.

C'est avec plaisir et grand intérêt que j'ai entamé cette nouvelle lecture.



Le roman est un mélange de passages réels, des moments vécus par Marylin mais aussi de fictions; l'ordre chronologique n'est pas respecté mais ça ne gêne en rien la compréhension des évènements.

Le livre est découpé par tranches de vie : période de tournage du film Misfits, le week end chez Sinatra, ......



J"ai aimé le fait que ce soit des passages de sa vie moins connus que ceux habituellement traités dans les biographies, pour une fois sa relation avec Kennedy ou sa mère malade psychologiquement ne sont pas abordés, pour laisser place à des moments de sa vie qui sont plus dans l'émotion, piqués à vif.

Ce livre permet à ceux qui veulent connaitre la femme Norma Jane Baker et non la légende Marylin; pour ceux qui veulent comprendre ses blessures, son destin brisé.

Ce livre mise tout sur les émotions, le choix de la narration en "Tu", nous implique directement et on se sent lié que l'on veuille ou non à Marylin.



Je suis ravis de cette découverte, je suis toujours prête à lire et à en découvrir davantage sur cette femme enfant qui me parle tant.
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22 novembre 1963

Bien que née quelques années après cet événement, je ne peux oublier les images de cet assassinat diffusées dans plusieurs documentaires.



Adam Braver s'intéresse à tout ce qui entoure l'événement, l'avant et l'après,le public et l'intime, les êtres connus ou anonymes, à la douleur d'une veuve, au protocole comme aux petits détails.



Les diverses évocations peuvent sembler disparates et pourtant elles forment un tout cohérent qui donne un éclairage humain à cet événement historique.



Une lecture autant instructive que captivante.
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22 novembre 1963

Dans son roman intitulé « 22 novembre 1963 », date célèbre entre toutes, Adam Braver nous parle de l’assassinat à Dallas de John Fitzgerald Kennedy. Si ce drame a été fortement médiatisé, l’auteur réussit pourtant le tour de force d’intéresser son lecteur et de le garder captif, tout au long de sa lecture. En traitant son sujet sous divers angles originaux, Adam Braver parvient à donner un visage inédit à cet évènement dont chacun croit tout savoir.



La suite sur mon blog...
Lien : http://nahe-lit.blogspot.com..
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22 novembre 1963

La date du 22 novembre 1963 restera à jamais marqué dans les esprits comme étant le passage des Etats unis à l’age adulte. Avant, il y avait comme une insouciance, une assurance chez les Américains. Après, ce fut comme un coup de poing, comme un mauvais réveil. Ce jour-là, John Fitzgerald Kennedy était assassiné à Dallas. Et comme tout a été dit sur le sujet, ou presque, puisqu’on ne sait toujours pas (et on ne saura jamais) qui a perpétré ce crime, Adam Braver choisit de regarder à la loupe ces quelques jours à travers Jackie kennedy et quelques personnages qui ont entouré la première dame, pendant et après le drame.



On passera donc en revue Bobby Hagis, le fic motard membre de l’escorte à Dallas, Vernon O’Neal et Al Rike des pompes funèbres, Kenny O’Donnell conseiller du président défunt, Abe Zapruder un américain moyen qui a filmé la scène du crime ou bien le personnel de la Maison Blanche et en particulier Mlle Shaw qui s’occupe des enfants du couple Kennedy.



Dans ce roman apparemment basé sur beaucoup de petits faits réels, c’est le derrière du décor que Adam Braver nous fait visiter. Le personnage principal reste Jackie Kennedy déjà fortement marquée par la perte de son enfant quelques mois après sa naissance. Elle a du mal à s’en remettre et c’est une femme abattue mais qui n’a pas le droit de le laisser transparaitre. Et on nous montre bien toute cette mécanique, car malgré tout ce qui se passe, the show must go on. Rien ne doit arrêter le gouvernement du pays.



Ensuite, d’une façon chronologique, Adam Braver choisit des personnages qui ont côtoyé de près ou de loin Jackie Kennedy. Les personnages sont très bien décrits, et l’auteur sait bien montrer les sentiments de tout un chacun envers le couple Kennedy avant et après le drame. Tous les personnages ont leur place dans le déroulement de ce drame, et la construction est très logique. Ce que je veux dire, c’est qu’il n’y a pas de surprises, tout s’enchaine comme dans un film américain, les scènes se succédant les unes aux autres.



Ce qui m’a surpris, c’est surtout l’impression qui ressort de ce livre. Je pense que cela vient du style mais je n’ai pas réussi à y trouver d’artifices particuliers. Le livre n’est pas déprimant, ne nous plonge pas dans l’horreur, ne fait pas de démonstration de personnes bien ou mal. En fait, ce livre est triste. Certes, les événements ne sont pas gais, mais il en ressort une impression globale de tristesse immense, pas de deuil. Ce n’est pas un défaut du livre, c’est même plutôt une qualité d’avoir ce ton uniformément pesant (sur mon moral, je veux dire).



Au-delà de ces qualités, on peut se demander quelle est la finalité de ce roman. C’est la question qui m’a taraudé l’esprit après l’avoir fini. Car, en dehors d’un bel exercice de style pour les Américains nostalgiques ou pour les historiens spécialisés dans les années 60, l’intérêt d’un tel livre sauf la peinture de quelques personnages face à un événement international qui les dépasse. De plus, à parcourir ces différents personnages, il n’y en a pas un qui n’aime pas Kennedy. C’est un peu difficile à croire, et cela dessert le roman au global : ce qui devait être un roman historique pointilleux se révèle un hymne à la gloire de Jackie Kennedy.



Alors, avec le plaisir de parcourir ce livre, avec tous ces beaux portraits, si vous ètes un passionné des Kennedy et des années 60, n’hésitez plus, jetez vous sur ce livre.
Lien : https://blacknovel1.wordpres..
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22 novembre 1963

Assez spécial, même avec peu de pages j'ai mis une semaine à le lire. J'ai bien aimé quelques chapitres comme "l'autopsie du Président" ou "la chambre de Lincoln" mais sinon j'ai trouvé le livre un peu trop détaillé à mon gout. Certes c'est très utile et ça peut plaire à d'autres mais personnellement j'aurai préféré que cela raconte l'histoire et non pas la détail avec des tas de petites choses du je ne me souviens déjà plus.
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Misfit

Bon, alors, quand j’ai pris ce bouquin sur l’étagère d’une de mes dealeuses les plus dangereuses (celle du genre « sers-toi ça me débarrasse si tu les prends pas je les jette) j’étais intimement persuadée qu’il avait quelque chose à voir avec la série télé Misfits qui a l’air sérieusement dérangée. Je n’ai pas regardé la couv, et ce n’est que quand je l’ai pris que je me suis rendue compte que ça parlait de Marilyn. Alors bon, je l’ai lu quand même, mais faut savoir que c’est pas trop ma came, en fait. Marilyn, à part dans les films, et encore, ce n’est pas vraiment un personnage qui m’intrigue, et lire la descente aux enfers d’une jeune femme ne me faisait pas très envie.



Au final, bon, ce n’est pas trop une descente aux enfers. Ça ne m’a pas touchée, pas réellement émue, mais par contre ça m’a donné envie de revoir Autant en emporte le vent avec Clark Gable et Vivien Leigh, parce qu’il y a un passage sur la mort de l’acteur. Mais je n’ai pas retenu grand chose de Marilyn, et ça ne m’a pas plus donné envie de m’intéresser à sa carrière. Décidément, je reste fermée à ce genre de romans-biographies. Ça ne m’intéresse tout simplement pas.



Bon, hé, ce serait bien, de temps en temps, un bouquin qui me plaise, là…
Lien : http://www.readingintherain...
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22 novembre 1963

Ce roman retrace l'attentat contre Kennedy puis ce qui se passe après, jusqu'à l'installation à la Maison Blanche de son successeur. On apprend certaines choses mais surtout, ce roman a une particularité que je n'ai jamais retrouvée dans aucun livre. En fait, l'image que l'on a de son épouse -digne, inflexible, droite- et qui ressemble d'ailleurs à la photo de la première de couverture, se retrouve tout au long de ce roman. Je ne sais pas comment il a réussi à faire cela mais quand on le lit, on est comme "tenu", en suspension, sans qu'aucune émotion ne transpire des mots qui décrivent ce qui se passe. Cette étrange impression d'être sur un fil, en hauteur, sans ressentir ni peur, ni inquiétude, ni émotion, comme s'il avait utilisé des mots qui ne décrivent pas l'émotion, la colère, la peur....Très étrange mais j'ai beaucoup aimé.



Il n'y a que deux brefs passages qui viennent contrecarrer cela (un passage concernant sa relation à la religion après le décès de son bébé, Patrick) et un autre passage.
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Misfit

Année anniversaire de sa mort déjà 50 ans que l'actrice américaine nous a quitté. Braver signe une biographie romancée ou comment découvrir la Blonde la plus célèbre de tous les temps!

L'auteur nous fait découvrir la vie de Marilyn, ses débuts. Son entrée dans le cinéma. Sa rencontre et son mariage avec Di Maggio. Son divorce puis Miller, Les Misfits Gable.... puis le refuge chez Frank Sinatra....

On y découvre une Marilyn fragile, douce, intelligente, les cachets, la solitude, le manque. Les tournages durs éprouvants et puis et puis cette fin qu'on lui connait.

Un livre touchant, pas d'apologie, des mots justes qui nous permettent de découvrir Marilyn comme mise à nu. Un bijou......
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Misfit

Bon, je vous préviens tout de suite, j’y connais rien en Marilyn.

La seule que je connaisse c’est ma voisine mais bon elle est pas blonde platine.



C’est le cinquantenaire de la mort de Marilyn Monroe.

Et comme je ne veux pas mourir idiot, je me suis dit qu’il fallait que je m’y mette.

Tous les mecs sont amoureux de la belle, y’a pas de raison, doit y avoir un truc chez cette fille pour qu’elle attire comme ça.

Le cinéma, la télé, les films, bof, bof, m’ennuie en regardant un film, l’impression de perdre mon temps.



J’ai lu et très apprécié les livres «Certains l’aiment chaud et Marylin» de Tony Curtis et «Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur Marilyn Monroe».

Voilà, j’en sais un peu plus.



Ici dans «Misfit» d’Adam Braver, nous avons affaire à un roman.

Sur, autour, avec Marilyn.

«Misfit est un ouvrage de fiction qui se propose d’analyser une difficile quête d’identité qui s’est déroulée dans un monde soumis au regard du public, ainsi que les embûches que l’on rencontre et les bénéfices que l’on obtient lorsqu’on s’efforce d’être conforme à ce que les autres attendent de vous.»



Un roman sur la quête d’identité, c’est bien de cela qu’il s’agit.

Ce n’est pas une biographie même si les événements sont bel et bien réels.



Comment Marilyn va t-elle pouvoir se construire après une enfance destructrice, des amants et maris souvent pitoyables, un Hollywood impitoyable ?



Adam Braver, spécialiste des fictions inspirées de personnages réels comme John F. Kennedy, nous propose sa version Marilyn.



Une parmi des milliers déjà publiées.



Alors, cher lecteur, à vous de voir...
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22 novembre 1963

Une version supplémentaire de la tragédie Kennedy.

Une autre vision des choses...
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22 novembre 1963

L'auteur nous dépeint le jour de l'assassinat de John Kennedy via plusieurs personnes, liées ou non au président. Ce point de vue aurait pu être intéressant si l'auteur avait eu un style rédactionnel. Hélas ... le livre n'est qu'une succession de faits anecdotiques sans réel fil rouge - hormis le fait qu'ils se rapportent tous à la mort du président américain.
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22 novembre 1963

NOV 22 1963

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