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Critiques de Alban Lefranc (27)
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Attaques sur le chemin, le soir, dans la ne..

Fassbinder, une vraie histoire allemande : la première version du grand texte d’Alban Lefranc.



Sur mon blog : http://charybde2.wordpress.com/2014/09/24/note-de-lecture-attaques-sur-le-chemin-le-soir-dans-la-neige-alban-lefranc/

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Fassbinder, la mort en fanfare

Ce livre est le deuxième que je lis dans le cadre de la lecture commune pour découvrir cet auteur. J’avais apprécié « Vous n’étiez pas là » sur Nico. Cette fois, nous découvrons l’univers de Rainer W Fassbinder. Ce réalisateur allemand est le personnage central de ce livre. Mais à nouveau, Alban Lefranc nous entraîne aussi dans la période de l’Allemagne des années 70 et des années de plomb. J’ai apprécié ce mélange de biographie d’un réalisateur et aussi la description d’une époque. Ce croisement de l’univers personnel d’un homme et de son époque enrichit notre lecture. Nous sommes en présence de personnages des années 60 et 70 de l’Allemagne et en particulier les protagonistes des Fraction Armée rouge et leur emprisonnement. Alban Lefranc nous décrit bien la vie de personnages mais aussi le climat politique et social de cette époque. Il met aussi en exergue les « obsessions » de Fassbinder et sa façon de vivre et travailler. A nouveau, ce roman-récit nous incite à lire d’autres ouvrages, en particulier le Berlin Alexanderplatz, livre culte pour RWF et surtout à voie et revoir les films de ce réalisateur. Hasard et chance, le prochain festival de Cinéma d’Histoire de Pessac a comme programmation cette année, l’Allemagne et plusieurs films de RWF sont programmés et en particulier, son téléfilm Berlin Alexanderplazt. Je remercie chaleureusement les copinautes qui font voyager les livres car j’ai encore une fois fait une belle découverte, celle d’un auteur et d’un univers très particulier. La lecture ainsi de plusieurs livres d’un même auteur nous permet d’appréhender son univers et son écriture.
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Fassbinder, la mort en fanfare

Fassbinder, frénésie tragique témoignant de l’hypocrisie de toute une société en une énorme fiction.



Désormais sur mon blog : http://charybde2.wordpress.com/2014/06/03/note-de-lecture-fassbinder-la-mort-en-fanfare-alban-lefranc/

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L'amour la gueule ouverte : Hypothèses sur Ma..

Tous nerfs dehors, un Pialat à vif décodé par Alban Lefranc.



Sur mon blog : http://charybde2.wordpress.com/2015/03/03/note-de-lecture-lamour-la-gueule-ouverte-hypotheses-sur-maurice-pialat-alban-lefranc/


Lien : http://charybde2.wordpress.c..
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L'amour la gueule ouverte : Hypothèses sur Ma..

Avec une littérature aussi brutale que sophistiquée, Lefranc continue donc, d’un corps à l’autre, (...) de sonder l’obscur dans des textes dont il a parfaitement mûri la singularité.
Lien : http://www.chronicart.com/li..
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L'amour la gueule ouverte : Hypothèses sur Ma..

Ce petit livre est un bijou. La langue musclée d'Alban Lefranc nous tient du début à la fin. Aucun lyrisme mais beaucoup de nuances, de profondeurs de champ et d'humour !
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L'homme qui brûle

La chronique hilarante et énervée d’une dissolution obsessionnelle, d’un engloutissement du sens dans le nombrilisme, pour mieux en faire émerger un autre rapport de l’esprit et des corps souffrants.



Sur le blog Charybde 27 : https://charybde2.wordpress.com/2019/10/29/note-de-lecture-lhomme-qui-brule-alban-lefranc/
Lien : https://charybde2.wordpress...
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L'homme qui brûle

Roman difficile à l'écriture parfois dérangeante, L'homme qui brûle est de ces roman dans lesquels je peine à entrer. L'idée profonde avait pourtant quelque chose d'attrayant, la description de notre société contemporaine et de ses dérives mêlée aux divagations et au narcissisme du personnage de Luc Jardie avait cet attrait déjanté nécessaire en cette période d'enfermement collectif.

De plus je suis passée complètement à côté de ce grand PROJET et de ses obsessions, je me suis très vite ennuyée laissant ce roman lu au 2/3.  Peut-être sera t-il à la hauteur d'autres espérances (lecteurs) pour moi s'en ai fini.
Lien : http://stemilou.over-blog.co..
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L'homme qui brûle

Avec ce glorieux roman magmatique, errance d’un homme perdu dans un Paris à feu et à sang, l’écrivain délivre l’annonce d’un millénarisme pour notre temps.
Lien : https://www.lemonde.fr/criti..
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L'homme qui brûle

Rentrée Littéraire de septembre 2019

Luc Jardie, personnage centrale du dernier roman d'Alban Lefranc, est un homme qui a plusieurs centres d'intérêts : Thomas Münzer (prédicateur anabaptiste et un des chefs religieux de la guerre des paysans), son meilleur ami Jérôme, une actrice de film pornographie renommée et californienne, Alain Delon et sa mère

Quels liens y a t'il entre son personnage théologien et c(s)es contemporains ? Ils font partis de son projet de livre sur ces personnes qui font parties de sa vie.

Mais comment écrire lorsque sa mère prend la majeure partie de ses pensées ? Comment être réalistes lorsque les événements qui se passe autour de lui annonces rien de bon avec une issue dramatique ?

L'auteur nous conte une fable tragi-comique sur le passé et un futur pas mirobolant. Sur fond d'attentats et de chaos, on passe de l'analyse d'un personnage allemand du 16ème siècle aux fantasmes du narrateur et le poids d'une mère traumatisante.

Le ton du livre est à la fois très irrévérencieux et composé d'un humour incisif.

Malheureusement, je me suis souvent senti perdu dans ce roman.

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Le ring invisible

Je n'ai pas aimé du tout l'angle choisi par l'auteur. Il essaie sans cesse de rendre le point de vue des boxeurs par de longs monologues intérieurs, ça donne un psychologisme lourd, par ailleurs les images et les métaphores ne brillent pas par leur originalité. Je serais très surpris que l'auteur ait beaucoup boxé.
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Le ring invisible

Le Ring invisible raconte en quoi, bien au-delà des cordes du ring, a consisté le punch de Cassius Clay futur Mohamed Ali. Il dit les coups portés aux Etats-Unis, à la domination blanche, et d’où venaient cette énergie et ce talent.
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Le ring invisible

Construire son ring pour s’inventer une autre vie : la danse de rage d’Ali.



Sur mon blog : http://charybde2.wordpress.com/2014/09/26/note-de-lecture-le-ring-invisible-alban-lefranc/

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Le ring invisible

Voilà, c’est ça ce que je cherche dans la littérature. Etre emmenée ailleurs, sur des chemins que je n’aurais jamais empruntés seule, par un auteur qui me convainc de le suivre par la seule force de son écriture. Dans les rencontres improbables, il y a eu Oliver Rohe l’an dernier, et son livre sur la kalachnikov, alors que je frémis toujours rien qu’à la vue de ciseaux à bouts ronds. Cette année il y a Alban Lefranc et son ring invisible, biographie imaginaire de Mohammed Ali quand il était encore Cassius Clay, soit l’histoire de la naissance d’un corps, d’une vocation, d’une révolte et d’un mythe. Rares sont les livres qui vous happent et ne vous lâchent plus jusqu’à ce que vous ayez atteint la dernière phrase. C’est le cas de ce ring invisible, véritable tourbillon littéraire, vertigineusement intelligent dans sa construction et son écriture.



Lire la critique complète sur mon site :
Lien : http://chroniques.annev-blog..
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Si les bouches se ferment

On oubliera vite cette petite faiblesse de construction et on retiendra surtout la puissance de cette langue, la curiosité pour l’Histoire que déclenche ce roman et l’intelligence du procédé utilisé.
Lien : http://chroniques.annev-blog..
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Si les bouches se ferment

Belle découverte qu’est cet hybride entre le roman et l’essai. Alban Lefranc retrace l’histoire de la bande à Baader (Fraction armée rouge) en faisant commencer son récit juste avant la création de ce groupe terroriste en Allemagne de l‘Ouest des années 70. Il part de ce qui se raconte : « On raconte que Bernard Vesper, fils de Will Vesper, barde nazi qui fit brûler des livres, connut Gudrun Ensslin, future icône égérie de la Fraction Armée rouge, eût un fils avec elle, écrit un livre et se suicida ». Une belle entrée en matière mettant en scène, un personnage peu connut : un écrivain Bernard Vesper.

L’auteur pages après pages montre au lecteur quelles sont les origines de ce groupe, quelles étaient leurs motivations et revendications. Finalement le lecteur se rendra compte qu’il s’agit du récit d’un groupe de jeunes, déstabilisés ; sans repère, pris en tenaille entre un héritage nazi et un avenir économique capitaliste, éprouvant un fort besoin de contestation de ce passé et de cet avenir.

Avec un style très particulier, oscillant du récit percutant à la poésie, Alban Lefranc, replace les actions de ce groupe, de leurs premiers petits attentats à ceux de plus grandes ampleurs jusqu’à leur emprisonnement. L’auteur ne s’intéressant qu’aux faits, l’ensemble de ce livre est illustré d’extraits de journaux, de citations, de réécriture de textes d’époque, proposant ainsi un rythme unique.

Un livre vivement recommandé pour découvrir ou redécouvrir l’histoire d’Andreas Baader, Gudrun Esslin et d’Ulrike Meinhof en prenant du recul par rapport à cet épisode de l’Histoire.

Merci aux éditions Verticales et à Babelio, de m’avoir donné l’occasion de faire cette découverte.

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Si les bouches se ferment

Et bien je vais sans doute décevoir ou passer pour une cruche mais .... bon sang que j'ai eu du mal avec ce bouquin!



Intéressant ça oui sans aucun doute, mais ardu ardu ardu.



Moi qui aime les plumes fluides où l'on peut se laisser aller en oubliant tout ce qui est autour de nous, je n'ai pas été gâtée par ce roman que je qualifierai (au risque de me faire lyncher) de "prise de tête".



Travaillé, trop travaillé que pour être prenant et divertissant. Oui le sujet est grave, mais est-ce pour autant nécessaire d'ajouter la complexité à la gravité ? L'auteur a sans aucun doute voulu faire preuve de précision et dans ce domaine c'est très réussi, il a voulu accorder le sérieux que le sujet mérite et c'est réussi aussi, mais j'ai eu beaucoup de mal à entrer dedans (d'ailleurs je n'y suis pas arrivée).



Je ne dirai pas que je n'ai pas aimé, je pense simplement que je ne suis pas bon public pour ce genre d'ouvrage.Ce que j'aime dans la lecture, c'est d'arriver à me laisser totalement embarquer par l'histoire qui m'est présentée, arriver à me détacher du réel, .... et là ce ne fut pas le cas tant j'ai du relire, revenir en arrière ....



Lu dans le cadre de Masse critique, je remercie Babelio et les Editions verticales pour ce partenariat
Lien : http://desmotssurdespages.ov..
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Si les bouches se ferment

Merci aux éditions Gallimard et à Babelio !



Nous sommes à la fin des années 60 où la Fraction Armée Rouge sème la terreur en Allemagne. Bernward est un écrivain, il est marié à Gudrun Ensslin. On découvre l’époque à travers l’opinion de Bernward, une époque coincée entre son terrible passé et un miracle économique que les jeunes ont du mal à croire.



Mi-essai, mi-fiction, cette lecture a parfois été complexe. Dense de références à la philosophie et à la littérature, j’ai parfois été perdue ou je n’ai pas compris les clins d’œil aux œuvres. L’auteur évoque surtout Freud, avec le fameux "tuer le père", le père de Bernward était Will Vesper, porte-parole de l’idéologie nazie. Ce père a participé notamment aux autodafés. Difficile donc pour Bernward de se forger, s’identifier contre cet homme.



A part cela, c’est une lecture intéressante. Pour les ignorants, comme c’était mon cas, on découvre la Fraction Armée Rouge, la bande à Baader, une Allemagne meurtrie par ses blessures passées, un présent où les gens ne se sentent mal à l’aise, un contraste bien trop fort entre ces deux époques en quelques années, trop rapide…



La bande à Baader, je connaissais de nom mais j’ai donc découvert ce groupe terroriste et ses revendications. Gudrun Ensslin et ses acolytes sont des êtres de destruction, ils ont besoin de détruire les gens, les constructions. De voir l’Allemagne de la guerre, les débris. Un souffle de révolte, la guerre a été vécue par la génération de leurs pères et elle laisse encore des traces.



Une écriture surprenante, une impression de bric-à-brac très structurée. En plus, c’est un écrivain caennais (ma ville natale :)).







Une lecture déroutante, intéressante. Parfois ardue.
Lien : http://novelenn.wordpress.co..
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Si les bouches se ferment

Dénazification molle, Fraction Armée Rouge, un pays et une jeunesse face au silence du monde.



Désormais sur mon blog : http://charybde2.wordpress.com/2014/05/05/note-de-lecture-si-les-bouches-se-ferment-alban-lefranc/

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Steve Jobs

Du multiple corps d’un roi à la solitude conquérante : un magistral recodage d’une figure contemporaine mythique et adulée.



Sur le blog Charybde 27 : https://charybde2.wordpress.com/2019/02/09/note-de-lecture-steve-jobs-alban-lefranc/
Lien : https://charybde2.wordpress...
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