Voici un nouveau défi pour Astérix et son copain Obélix : ils doivent gagner de l'argent, une première ! Le commerce de sangliers, les paris sur les courses de chevaux, le braquage de banque… Ils auront tout essayé avant que la ruse d’Astérix ne les tire une fois de plus d’affaire !
Un scénario qui sort un peu de l'ordinaire : pour une fois, les gaulois vont devoir affronter la "vraie vie"
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Une vision jubilatoire des cures thermales et des régimes...
Dukan au pays de la cervoise et des sangliers, c'est un peu dur !
Un petit détour par Clermont-Ferrand où Goscinny n'oublie pas le précurseur de Michelin.
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Et encore un super album, ole ! ... où l'on découvre l'origine des alignements de Carnac, de la corrida et du camping-caravaning.
Décidément quelle imagination...! Un de mes préférés.
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Dans ces nouvelles aventures où les romains, comme d'habitude, essaient de se débarrasser des irréductibles gaulois, apparaît une nouvelle catégorie de gaulois : ceux qui collaborent avec l'occupant... ! Situation traitée bien entendu avec l'humour adequat.
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Voici un album original et très drôle !
Et on assiste à la première rencontre entre les Pirates et Astérix et Obélix : les pauvres se seraient bien passé de cette rencontre qui va malheureusement pour eux se renouveler souvent !
Le personnage de Jules César, auguste personnage méprisant les gaulois, commence à prendre de la consistance. Quant à l'idée de jeter Assurancetourix aux lions, elle est désopilante ...
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Cet album culte est pourtant sacrilège : il ne présente pas la carte habituelle de la Gaule avec le village gaulois en ouverture, mais celle de la Corse ! Celle d'une terre insoumise où les Romains ont fort à faire.
On y verra une parodie de ce que l'île nous offre au quotidien comme image de son insularité récalcitrante, mais aussi de sa beauté, de son hospitalité et de sa pouponnière de talents historiques.
L'une des tours fortifiées du phalanstère de nos Astérix préférés, qui se plonge dans les valeurs et les travers du "peuple visité". Un must incontestable. Peut-être même le dernier des chefs-d'œuvre aboutis de René Goscinny et d'Albert Uderzo !
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Ce troisième album d'Astérix est la suite logique de "la Serpe d'or".
Panoramix gagne le concours du meilleur druide à la réunion de la forêt des Carnutes. Il est capturé par des Goths, entrés clandestinement en Gaule, qui veulent se servir de sa potion magique pour envahir tout l'Empire Romain.
Astérix et Obélix se lanceront à la poursuite des ravisseurs… voilà le thème.
Nous assistons au premier voyage d'Astérix et Obélix en dehors de la Gaule, ce qui se renouvellera par la suite pour notre plus grand plaisir.
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Les Lauriers De César est un album d'Astérix où il ne se passe pas grand chose. Il ne progresse pas avec suffisamment d'entrain. Disons qu'il reste mineur dans la production géniale des créateurs réunis. On n'y retrouve pas l''humour grinçant habituel de René Goscinny. Ses essais pénibles, agaçants, frisent même souvent le ridicule. Le trait du dessin d'Albert Uderzo faiblit, devient moins élégant, trop caricatural ; abandonnant une part de sa finesse habituelle.
Quelques passes pourtant réussies, comme quand nous découvrons que les esclaves aiment leur servitude...
Citons Albert Uderzo : « cet album est la preuve de notre profond respect pour César, qui est le héros (involontaire) du pari lancé par nos intenables Gaulois. D’ailleurs, je n’ai jamais caricaturé César dans le but de le tourner en ridicule. César a vraiment marqué l’Histoire… Alors que son héritier, Auguste, a donné son nom à un clown ! ».
Parfaitement ! aurait dit Obélix, qui nous enchante toujours autant.
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Nous devons être bien peu nombreux à avoir lu Astérix en occitan. Cette langue donne aux dialogues encore plus de force (s'il en était besoin) en aiguisant leur humour. Une initiative qu'il faut saluer. Elle contribue à la sauvegarde d'une langue dont la richesse dépasserait le Français (Rabelais, Nostradamus, Frédéric mistral, Ajfonse Daudet... écrivaient en occitan), mais qui le sait encore ?
(La langue occitane est évoquée le long du récit de Ménino, surtout dans le temps de Caunes-Minervois, donc l’essentiel du roman. C’est dire les sentiments qui me portent à aimer cette bande dessinée qui ravive les parfums de mon enfance.)
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J'ai adoré cet épisode que j'ai trouvé plus drôle et mieux dessiné que le premier. Quant au scénario, c'est une vraie comédie policière avec un enlèvement, des poursuites et des bagarres. On commence à percevoir le caractère d'Obélix : il aime manger et taper sur les romains !
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Une révolution dans le monde de la BD en 1961 bien sûr que cet album super coloré avec des personnages ronds et blagueurs !
Une bd qui grâce à un humour à double détente, fait rire les enfants comme leurs parents.
Dans cet épisode que l'on apprend qu'il y a du homard et du gui dedans, le homard étant pour relever le goût !
Dans ce premier tome, c'est Astérix et Panoramix qui ont un rôle prédominant, celui d'Obélix se peaufinera un peu plus tard. Même si les protagonistes n'ont pas encore le caractère qu'on leur connait, le décor est planté et la résistance anti-romains commence : Jules César, tiens-toi bien !
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Dans cet album très amusant, apparitions inopinées de Dupond et Dupont, du Mannekenpis, d’une Nicotine empruntant ses traits à Annie Cordy, et même l’invention en direct des pommes frites ! On pourra y lire également quelques vers de Victor Hugo "belgifiés" et un tableau de presque Bruegel. Un must !
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Un des meilleurs albums, bourré de jeux de mots évidemment, et de clins d'oeil au mode de vie de nos voisins britanniques : le rugby, la cervoise tiède, l'eau chaude avec un nuage de lait... so nice ! n'est-il-pas ?
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Où l'on apprend enfin
- comment le nez du sphinx est tombé
- que c'est grâce à Panoramix que le nez de Cléopatre est célèbre
Cet album est décidément un des meilleurs, bourré de jeux de mots, calembours, de clins d'oeil, un délice !
A noter l'apparition du nom d'Idefix
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Choc en ouvrant le livre ! Les bulles ont disparu, il n'y a plus que deux ou trois illustrations sur chaque double page !
Pas de panique : le texte est là pour compléter les espaces vides et expliquer les liens entre les différentes illustrations. La BD est plutôt conçue comme un storyboard ou un roman-photo, bourrée d'anachronismes et toujours dans l'esprit des autres tomes des Aventures d'Astérix.
Le cap le plus difficile que en rebute plus d'un est la mise en page. Une fois habituée, j'ai bien aimé !
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Alors là c'est vraiment difficile de comprendre ce qui à bien pu lui passer par la tête.
Les romains sont presque invisibles dans cette bd et l’histoire ne vol pas haut du tout.
A-t-il eu envie de partir complètement dans un délire ? Et bien c'est fait. Mais il est le seul à avoir pris ce train. Moi je suis resté sur le quai de la gare. Comme quoi, des fois il faut savoir s’arrêter au sommet de sa gloire. Suivre les aventures d’Astérix aura été un véritable moment de joie, dommage que la fin soit si décevante.
Si sont but était de faire de l’argent tous en caricaturant la société américaine et bien c’est réussi.
Avec ce dernier tome on peut décemment dire que le ciel leur est tombé sur la tête et qu’ils ne s’en relèveront pas
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Cette bd a été écrite après la parution du film. Elle a une particularité car elle n'est pas écrite comme une bd habituelle, mais plutôt comme une petite histoire. Les illustrations sont placées d'un côté et le texte de l'autre afin de décrire la scène plus en détails.
Pour ma part, je n'ai pas beaucoup aimé cette adaptation car on a du mal à visualiser les scènes du film et par conséquent la lecture en dévient vite barbante.
Si vous décider de vous arrêter au film et bien ne vous inquiétez pas vous ne raterez pas grande chose.
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Cette bd a été écrite après la parution du film. Elle a une particularité car elle n'est pas écrite comme une bd habituelle, mais plutôt comme une petite histoire. Les illustrations sont placées d'un côté et le texte de l'autre afin de décrire la scène plus en détails.
Pour ma part, je n'ai pas beaucoup aimé cette adaptation car on a du mal à visualiser les scènes du film et par conséquent la lecture en dévient vite barbante.
Si vous décider de vous arrêter au film et bien ne vous inquiétez pas vous ne raterez pas grande chose.
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encore une caricature sur la corse et ses habitants (paresse, susceptibilité...) mais celle ci est la plus réussie. une merveille cet album, et pour moi le meilleur.
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