Alessandro Tota

Le récit est dynamique, les événements s’enchaînent à grande vitesse et les obstacles ne restent pas bien longtemps au travers du chemin du gang des chevelus ! Les répliques et les dialogues sont affûtés, drôles et légers; les personnages prennent vie et s’animent avec beaucoup d’aisance et de naturel.
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Charmante BD jeunesse, Caterina se laisse lire avec plaisir mais n'offre guère de réelle surprise.
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Qui eut crû que les palacinche sont des "crêpes"! Déjà là une grande affinité avec ce livre s'est développée.

Pour être plus sérieux.cette BD qui mèle dessins et photos est une réussite. On enquête avec les auteurs sur le parcours de la famille de C Sansone, qui a dû quitté Fiume (ville italienne, puis croate) pour l'Italie et a dû vivre dans des camps durant de nombreuses années.

C’est un excellent moment de lecture auquel nous invite Alessandro Tota. Le scénario, finement pensé, est incarné par des personnages à la densité romanesque. [...] Une vitalité hors du commun anime cet univers où la survie demeure une obsession quotidienne.
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Puisant autant du côté d’Hollywood que de la comédie dramatique italienne, Tota tisse une fresque sociale très documentée qui souligne les zones de friction éternelles entre art et industrie culturelle.
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Passionnant, touchant et particulièrement bien écrit, 'New York, 1938', le premier livre de 'L’illusion magnifique' est une réussite totale dotée ce petit supplément d’âme qui fait la différence. Vivement la suite !
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Fresque historique et politique, hommage à la naissance des comics, roman d’apprentissage et d’émancipation, "L’Illusion magnifique" est un peu tout cela à la fois, et c’est ce qui rend ce projet si emballant.
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A la fois léger et prenant, Le Voleur de livre nous fait pénétrer dans le Paris des années 50, un Paris de littérature et d'existentialisme, existentialisme qui est au coeur de la réflexion de Daniel Brodin, jeune poète, dont la vie semble basculer de celle de fils à papa à celle de vagabond. Ses rencontres avec Gilles, Jean-Michel, Ed, Colette et d'autres encore l'influenceront vers une vie de débauche. Mais il semble que cette débauche même voire la délinquance, soient une source d'inspiration littéraire excellente...

Le dessin répétitif, raccord mais ordinaire, n’est sans doute pas l’atout de la BD. On garde en bouche plutôt ce qu’elle dégage. Le goût doux-amer des illusions perdues, sans sacrifier la joie qu’elles procurent. Le spleen qui rend heureux et l’ivresse partagée.
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Alessandro Tota a trouvé en la personne de Caterina la parfaite petite héroïne pour raconter des histoires qui ne ressemblent à aucune autre.
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Sympathique série qui peut donner l'occasion d'un excellent cadeau.
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Pour un premier album, Pierre Van Hove s'en sort avec les honneurs.
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Un album qui se lit d'une traite et qui me permet de découvrir des auteurs à surveiller de très près ! Parce que même si le scénario est très habile, le dessin de Tota est de toute beauté.Une sorte de réalisme doux, épuré et très expressif, qui sait rester en retrait par rapport au propos tout en amenant une touche "indé" très sympathique.
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De cet album/carnet de voyage, se dégage une impression de foisonnement — due au mélange de photos d’archives, dessins [...] Le thème de l’exil est traité de manière assez plate : on aurait aimé une mise en perspective vis-à-vis de l’actualité, ou un questionnement personnel plus approfondi.
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Une immersion graphique aussi lancinante que saisissante.
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Yéti, un personnage indéfinissable, doit quitter sa vallée devenue une décharge.

Il se retrouve en France et se lie d'amitié avec d'autres étrangers

Autobiographique, cet album nous décrit le sort des étrangers dans notre pays

Restituant le quotidien d’une ville ravagée par la drogue et le désœuvrement, [Alessandro Tota] parle avec justesse du lien fraternel.On n’est pas dans l’horreur montrée frontalement de Requiem for a Dream (d’ailleurs cité dans l’album), mais la manière dont Fratelli parle de la toxicomanie n’est pas moins glaçante. Cette chronique sociale de l’Italie de la fin du vingtième siècle comportera trois volumes.
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