Bande annonce du film la vague adapté du roman de Todd Strasser
" Si l'histoire est condamnée à se répéter, alors vous aussi, vous voudrez tous nier ce qui vous est arrivé dans la vague. En revanche, si notre expérience est réussie, et vous admettrez que c'est bien le cas, vous aurez appris que nous sommes tous responsables de nos propres actes et que nous devons toujours réfléchir sur ce que nous faisons plutôt que de suivre un chef aveuglément;
et pour le restant de vos jours, jamais, au grand jamais, vous ne permettrez à un groupe de vous déposséder de vos libertés individuelles."
Un peuple sans mémoire est un peuple sans avenir.
On est prêt, tout à fait prêt, on ne pense à rien d'autre, à l'intérieur de soi on est si vide, si nettoyé. On a atteint ce point en prévision duquel on s'est laissé ressourcer, prisonnier de sa bêtise et de sa confusion, de son appréhension et de sa teneur. On ne pense qu'à cette seule et unique chose. Un ordre, et ce qu'on fera ensuite sans hésitation. Tout ça fonctionne si parfaitement.
Cela commence par un jeu, et finis en dictature
Ce livre d'apprentissage et d'éducation devrait marquer les générations futures car un peuple sans mémoire est un peuple sans avenir.
(Dans la préface de l'éditeur Jean-Claude Gawsewitch)
"Chérie, n'oublie pas que ce qui est à la mode n'est pas forcément bien."
Je me rends compte que j'ai commis une erreur. Un cours d'histoire n'est pas un laboratoire. On ne peut pas se servir d'êtres humains comme de cobayes. Et surtout pas de lycéens qui n'ont pas conscience de faire l'objet d'une expérience.
"Quelle bande de larves ! De poules mouillées ! lança Alex en se levant d'un bond, le poing tendu. Je jure de combattre la Vague jusqu'à la fin. Qu'on me donne la liberté ou qu'on me donne de l'acné !"
- T'as rien compris ! Une poignée d'égoïstes, ça ne fait pas une équipe. Tu sais pourquoi on a eu des résultats aussi mauvais cette année ? Parce que, au lieu d'être une équipe de vingt-cinq joueurs, nous sommes vingt-cinq équipes d'un seul joueur portant le maillot du lycée Gordon.
Elle aimait à répéter qu'on ne pouvait même pas demander à Ben de changer une ampoule. Ce qui était exagéré, de l'avis de ce dernier : de toutes les ampoules qu'il avait changées dans sa vie, il ne se rappelait en avoir cassé que deux.