AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Alexandre Diego Gary (8)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées
S. ou l'espérance de vie

Fils de Jean Seberg et de Romain Gary, l'auteur a du faire face au suicide de ses deux parents.

Morts auxquelles s'en ajoutent de nombreuses autres dont celle d'Eugénie, qui l'a élevé, celle de Jean-François, son fidèle ami......

Beaucoup de morts dans sa vie, trop d'absents, un poids trop lourd.

Difficile, top difficile de s'en remettre.

Il aura fallu plus de vingt ans pour qu'il puisse enfin exprimer toutes ces douleurs.

Pour ce faire, il loue un appartement à San Sebastian, se dédouble et devient l'homme de San Sebastian qui peut enfin oser parler, se raconter.

Sébastien Heayes, l'homme de San Sebastian, ils ne sont qu'un et tentent d'exprimer un douloureux ressenti, une fracture à vivre, une blessure intrinsèque.

La plupart des personnages sont nommés par leur initiale, comme s'il était trop difficile de nommer vraiment.

Les premières pages sont magnifiques.

L'emploi, le sens, le but des mots, tout cela est merveilleusement décrit.

Lesquels choisir pour exprimer au mieux, pour ne pas trahir, ne pas se trahir ?

Plusieurs fois dans le livre, il revient à cette perplexité des mots.

Tout n'est pas facile à suivre dans son cheminement, c'est certain, mais que c'est beau, vrai, sincère.

J'ai trouvé ce livre admirable.
Commenter  J’apprécie          240
S. ou l'espérance de vie

le pluys difficile dans ce livre, c'est d'oublier d'où vient l'auteur. Il faut oublier qu'il est un fils de.

A partir de là, on tient entre ses mains un ouvrage honnête, au style vif.

Une sorte de balade existencielle ehntre Paris et l'Espagne. ponctuées de femmes séduites pas toujours pour de bonnes raisons.

C'est un vrai roman. Ecrit par un vrai auteur. Avec une vraie histoire. Pas une daube à la Marc Levy.
Commenter  J’apprécie          60
S. ou l'espérance de vie

Ma vie fut une rature… écrit Alexandre Doego Gary fils de trop célèbres parents disparus tragiquement. Il quitte Paris pour St-Sébastien, se débarrasse d’objets lui rappelant son passé. Il se dédouble, il y a l’homme qui agit, qui décide, et l’autre plein de douleur, de haine pour les médias qui ont salit la mémoire de sa mère Jean Seberg. Une existence de riche qui traîne son spleen entre hôpitaux psychiatriques, bordels et alcoolisme. A la fin du récit (autobiographie) il semble que les deux personnages se retrouvent et s’apaisent. Profusion de phrases lâchées au hasard, je n’ai pas beaucoup aimé. J.B.
Commenter  J’apprécie          60
S. ou l'espérance de vie

Un livre chargé. Même si on souhaitait oublier la filiation de l'auteur, beaucoup d'éléments nous y ramènent et donc nous poussent constamment à faire des analogies. Par ailleurs la pesanteur rend difficile la lecture, le style n'aide pas non plus.

Quand on vénère l'écriture du père il est difficile d'entrer dans celle du fils sans être déçu. L'astuce du pseudonyme (dont fit usage le papa) aurait-il aidé à masquer les failles ? .



J'ai essayé cette litterature avec beaucoup d'ouverture d'esprit, sans préjugés, mais n'y retournerai pas. Vraiment trop pesant.

Commenter  J’apprécie          50
S. ou l'espérance de vie

j'ai commencé à le lire, mais c'est dur... très très dur... Vais-je le terminer?? rien n'est moins sur! son style d'écriture est désespérant, et ne donne pas envie de continuer. c'est comme si à chaque page, l'auteur nous disait de laisser tomber la lecture tellement sa vie est déprimante. Courage à tous ceux qui veulent le finir!
Commenter  J’apprécie          50
S. ou l'espérance de vie

Fils de Romain Gary et de Jean Sebergh, l'auteur traîne sa désespérance ainsi que le lourd passif parental. Ecriture souvent psychanalytique, des phrases parfois très belles, toutefois assez rares. Roman ou récit décousu, difficile à suivre et qui, au fond, n'apporte pas grand chose.

Commenter  J’apprécie          40
S. ou l'espérance de vie

Alexandre Diego Gary est le fils de Jean Seberg et de Romain Gary. Dans ce roman autobiographique il revient sur ses parents, leurs déchirements, leurs décès. On en apprend un peu sur ce couple mais j'en attendais plus. Je pensais qu'ils allaient être au centre de ce roman.

Mais c'est Alexandre qui est au centre et son double San Sebastian.



Alexandre est triste, dépressif, alcoolique et il nous narre en long, en large et en travers ses conquêtes féminines dont je n'avais cure. À contrario, San Sebastian est loquace, intelligent, sociable.



Ce dédoublement de personnalité ne m'a pas convaincu. Tout est confus, décousu. Le style d'écriture ne m'a pas convaincu du tout, employant trop peu de réelles réflexions contre de trop nombreuses pensées lancées à tout va.

Tous les personnages ne sont mentionnés que par leurs initiales, comme une mise à distance déjà provoquée par l'écriture.



Outre le fait d'être déroutant, je n'ai pas compris ce que je lisais. Autant j'ai été emballée par les premières pages, autant le reste me laisse pantois.

Commenter  J’apprécie          00
S. ou l'espérance de vie

Ce récit, je n’ai réussi ni à y entrer vraiment, ni à le terminer.



Le ton du premier paragraphe est plutôt prometteur : « ce n’est pas une vie, c’est une rature ». Hélas, dès la page suivante, c’est un empilement un peu décousu d’anecdotes ou de souvenirs que l’auteur semble expulser de sa mémoire, alternant entre le « je » et « l’Homme de San Sebastian » (pas terrible comme désignation, elle m’a fait penser à l’Homme de Vitruve). De temps à autre, une phrase sonne juste, mais l’ensemble n’a pas vraiment d’épaisseur.



Je n’ai pas accroché avec ce dédoublement de personnalité et je n’ai pas été sensible à la différenciation entre les deux. Cela alourdi considérablement la lecture sans apporter aucun éclairage sur la douleur et les questionnements que l’auteur semble vouloir exprimer. Aussi, le procédé me paraît artificiel et peu convaincant.



L’ouvrage est peut-être intéressant pour ceux qui veulent connaître le fils de Romain Gary et de Jean Seberg, mais sur le plan émotionnel ou littéraire il n’y a rien de bouleversant. La seule impression qu’il me reste c’est celle d’une sorte d’égarement (on le serait à moins), éventuellement.
Commenter  J’apprécie          00


Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Alexandre Diego Gary (47)Voir plus

Quiz Voir plus

Titres animaliers.

La Mouette

Shakespeare
Goldoni
Beckett
Tchekhov

8 questions
219 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur

{* *}