Alexandre des Isnards

Effrayant !

Écrit par petites histoires ou anecdotes, ce livre traite de l’impact des réseaux sociaux sur nos comportements, notre quotidien, nos relations, etc… Ces différents récits nous laissent le choix de nous faire notre propre idée sur la génération actuelle (très connectée), sans nous influencer. Là où un voit un inconvénient, d’autre en verra peut-être un avantage.

En dehors du titre, que je trouve à la fois sans pertinence et racoleur, la lecture est agréable et souvent très drôle. Les auteurs présentent sous forme de saynètes terriblement crédibles les errements des conventions et addictions liés aux réseaux sociaux, à internet. La satire des comportements artificiels puisqu'ils l'auraient pas lieu sans le truchement d'une machine est à la fois facile et efficace. Le plus terrible est que la caricature est souvent inutile tant les comportements rapportés sont hauts en couleur et, malheureusement, miroirs très exacts de ce qu'on lit, qu'on voit et parfois qu'on fait, selon notre propre narcissisme.



Facebook, mais aussi Snapchat, Instagram, les sites de rencontres et différentes applications de partage et de dialogue en ligne sont passés en revue.
Lien : http://aufildesimages.canalb..

Les SMS puis Facebook, les sites de rencontres et enfin les applications pour smartphones, ont profondément modifié notre rapport aux autres. Finies les sorties "in real life" maintenant le soir on tchat sur messagerie instantané, on compulse les photos des dernières vacances de machin ou machine sur Facebook, on joue jusqu'à pas d'heure à Farmville...et lorsque l'envie nous prend de voir les gens en vrai, alors c'est toujours plus complexe, il faut jongler entre les emplois du temps de chacun et surtout, résister à l'envie de consulter son portable au moindre sms ou appel reçu. Sans oublier l'amour...la donne a changé, on se rencontre sur Meetic où l'on recherche plus un partenaire qu'un véritable amour...et parfois on se fait avoir !

Accro au web ? oui, complètement et même trop...les histoires que nous racontent Thomas Zuber et Alexandre des Isnards dans Facebook m'a tuer, sont drôles, révélatrices et grinçantes. On s'y reconnaît parfois, beaucoup et cette lecture nous amène à réfléchir sur nos comportements en ligne.

Le numérique a modifié la vie de nombreuses personnes et s'il veut nous faire croire que l'on est plus jamais seule, on a le sentiment dans ces histoires que se sont au contraire les mieux entourés sur le web qui sont le plus seuls dans la vie.

Facebook m'a tuer (et ce "er" est volontaire) est un livre qui va au cœur de nos comportements numériques, nous fait autant rire qu'il pose question sur nous-même. C'est un livre qui reflète ce que nous sommes au quotidien et si on ne s'identifiera pas à toutes les histoires, beaucoup nous rappelleront nos propres expériences.

Facebook m'a tuer c'est à la fois un livre qui montre comment internet bouleverse la vie des utilisateurs mais aussi un regard critique sur ce monde tout numérique où la vie réelle semble lointaine.

Ados accros et parents dépassés, Facebook m'a tuer est pour vous et peut-être vous fera t-il porter un autre regard sur ce web qui ne finit pas de rivaliser d'imagination pour vous capter.

Ce ne sont pas une licence d'Histoire et un diplôme de Sciences-Po qui font de vous un lexicographe. Genre (m., f., inv.) classe (n. adj., adv., vb., etc.), défini-ion précise – laconique, svp – exemples syntagmatiques lisez « en contexte », et étymologie expliquée (attestée et illustrée, au besoin) et datée brillent par leur absence ! Il n’est pas étonnant que certain(e)s lecteurs/rices se soient ennuyé(e)s. Les argotiers amateurs (et locuteurs) ne seront jamais des lexico-graphes… Alexandre des Isnards devrait s’appeler « des Ignares ». Mon maître en Sorbonne doit s'en retourner dans sa tombe...

Une suite de témoignages sur la situation des "cadres" dans les entreprises. Intéressant.

Cet ouvrage regroupe des situations inspirées de la vie des auteurs, ou de leurs proches, et/ou de ce qu'ils ont pu croisé sur Facebook.

Le plus effarant n'est peut-être pas les situations décrites dans un monde ultraconnecté où la moindre action, le moindre rendez-vous, le moindre organisation d'un simple anniversaire nécessite smartphone, facebook et autres réseaux sociaux, mais bien que 6 ans plus tard les choses n'ont absolument pas changé et ont même empiré...

Une lecture intéressante qui nous interroge sur nos nouveaux modes de vie et surtout de communication mais qui en présente aussi, la plupart du temps sous entendu, toutes les exagérations et les dérives. A lire et à méditer donc...

Pas trop mal mais... Vu l'évolution des réseaux sociaux, le thème de ce livre est presque déjà dépassé je trouve (un comble!). Il reste intéressent...bienqu'il manque un peu de sérieux.

Je le trouve un peu trop facile tant dans le fond que sur la forme. Manque de profondeur

J'ai cherché ce livre pendant au moins deux ans (non non, je ne rigole pas) et je l'ai enfin eu dans les mains ! Je m'étais faîte une autre idée de ce livre, je le pensais un peu plus humoristique, cependant, il s'agit là d'un livre tout de même réellement intéressant, qui traite le sujet Facebook mais aussi le sujet numérique avec à la fois une vivacité d'esprit et un sens de l'ironie mordant !



J'ai accroché au livre dès les premières pages, même si je n'ai rien appris à travers ce livre, étant de cette fameuse génération Y née en même temps qu'internet et ayant grandi avec... Car malgré tout, c'est une petite prise de conscience vis-à-vis de notre façon de nous comporter avec Facebook entre les mains, et plus particulièrement avec internet, un téléphone, un pc... Par rapport à comment nous réagissons face aux autres pour essayer de les voir, ou même quand on est avec eux !



On a des histoires différentes tout au long du livre, même si on retrouve parfois les mêmes personnages. Et c'est d'autant plus gênant pour nous, que ce sont des conversations, des situations réelles ! Ce livre donne envie de s'éloigner un peu de son pc, de son portable, des réseaux sociaux, pour remarquer que les auteurs ont raison, qu'on passe trop de temps dessus. Néanmoins, ce n'est pas pour autant que ce livre ne fait que dénoncer, il montre aussi les bons points que l'on trouve à travers le numérique !



Je ne dirai rien sur les personnages que l'on retrouve dans ce livre, notamment parce que ce ne sont pas des personnages, mais des personnes réelles ! Ma chronique est donc courte, mais je vous encourage à lire ce livre qui a le mérite de nous faire prendre conscience de notre comportement. Le seul reproche que je peux faire à ce livre, c'est son titre. Car on ne parle pas uniquement de Facebook, et on a tendance à penser que ce sera un livre drôle, qui nous fera passer le temps et rire un peu. C'est le cas, mais pas seulement. On se rend rapidement compte que ce n'est pas fonction première.
Lien : https://demynotebook.wordpre..

Très intéressant sur la thémathique, on peut se lasser de lire les interminables discussion des internautes.

A lire si les réseaux sociaux vous contrôle.

Nat

Après L'open space m'a tuer, Alexandre des Isnards et Thomas Zuber récidivent en décryptant les nouvelles pratiques d'Internet en rapport avec les réseaux sociaux, les sites de rencontres en ligne, les jeux en réseau, les chats et forums, etc. De courts chapitres montrent ce qu'il en résulte du point de vue des habitudes de communication face aux évènements de la vie privée, voire professionnelle et des relations amicales ou amoureuses.

Depuis chez soi ou depuis son téléphone portable peu importe, mais il convient d'être connecté H24 et de ne pas laisser se détendre le fil de son actualité ! Avec 20 millions d'utilisateurs en France (600 dans le monde) Facebook est le site le plus en vue. Basées sur des témoignages et des expériences réelles, les historiettes racontées dans ce livre sont au fond assez inquiétantes. Même si le phénomène reste limité aux pays ayant accès à la technologie, il s'étend à très grande vitesse dans les pays en transition économique.
Lien : http://ocommecolomb.blogspot..

Un peu paradoxal de faire une critique de Facebook et d'internet sur le net. Analyse de la place prise par les portables et réseaux sociaux dans la jeune génération, "la génération transparente", transparente au sens où elle s'expose, partage tout. La sphère privée se réduit, tout devient public.

Un livre pour adolescents comme pour adultes, révélant tout nos faits et gestes sur facebook, révélant également notre vie et nos pensées. Ce livre m'a fait ouvrir les yeux et m'a donné une autre vision de ce réseau social. Je m'aperçois que cela peut nous détruire selon ce l'on y écrit (que ce soit personnel ou professionnel).

J'encourage les gens à lire ce livre qui est très révélateur, qui est à la fois amusant, passionnant mais qui reste dans le réel.





Alicia



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Ce livre est intéressant, il parle de Facebook dans sa globalité car il révèle la vraie facette de Facebook.

C'est là qu'on s'aperçoit que ce réseau social peut détruire notre avenir et notre vie.

Si nous donnons des informations trop personnelles.

Dalila

N'étant pas une utilisatrice assidue des réseaux sociaux (Facebook, SMS et autres...), je voulais voir à quoi ressemble la vie des hyper-connectés. Les différents portraits et tranches de vie proposés dans ce livre sont assez caricaturales (car ce sont des comportements extrêmes) mais pas si loin de la vérité. Chaque histoire est concentré sur une utilisation particulière d'internet ou des smartphones. Il y en a pour tous les goûts.

C'est agréable à lire.

Le titre n'est pas vraiment approprié, dans la mesure où ça n'aborde pas trop les dérives du flicage via Facebook qui peut faire perdre leur poste à des employés bien sous tout rapport dont on trouve des photos bourrés ou des commentaires indélicats sur leurs collègues ou leurs patrons... Ce sont plutôt des exemples, des témoignages, des tranches de vie, des exemples pour illustrer combien les nouvelles technologies (pas seulement Facebook, les auteurs citent des exemples pour Twitter, les sites de rencontre, les sites de voyages, les smartphones et même la dépendance aux mails et aux SMS) changent le quotidien, parfois en bien, parfois en mal, souvent en grotesque. Il y a forcément une ou plusieurs situations dans lesquelles on a pu se reconnaître au moins une fois, au moins en partie. Par contre les gens qui servent d'exemple sont quasiment tous des jeunes cadres parisiens, célibataires ou en couple, voire avec de jeunes enfants, et gagnant bien leur vie, et que ce n'est donc absolument pas représentatif de l'ensemble de la population.

On n'apprend pas grand chose, mais c'est distrayant...

Un style d'écriture très simple et des histoires parfois mal "présentées" mais criantes de vérité!

Un livre qui se lit très vite mais sans grand intérêt

quelques passages assez sympathiques tout de même et qui reflètent vraiment la vérité de notre société actuelle

Un livre qui reflète bien notre vie "sociale" actuelle.

Certaines personnes partage tout sur Facebook.. même, parfois, les pires choses.

Il faut vraiment faire attention à ce que l'on partage sur internet.

Je m'attendais à quelque chose de plus intéressent comme histoire, j'ai été déçue.

Facebook m'a tuer, c'est avant toutes choses un livre amusant, fourmillant de ces détails funky qui en font un livre à l'écriture simple mais intelligente.

Les clins d'oeil à la culture contemporaine et à l'imaginaire collectif pleuvent. L'humour y est délicat, et d'autant plus appréciable. Facebook m'a tuer se présente sous la forme d'un recueil de nouvelles supposément représentatives d'un usage médian des réseaux sociaux.



Si l'on fait abstraction des pénibles caricatures que sont les personnages mis en scène (qui véritablement pourra se reconnaitre dans ces trentenaires parisiens, qui jonglent entre leurs trois téléphones, leur argent et leurs horaires de bureau improbables ?)les scénettes amusent.

Le ton volontairement décontracté laisse lire l'ouvrage sans trop de peine. On s'amuse des situations, qui bien entendu évoqueront quelque chose à quiconque utilise de temps à autres facebook et autres twitter.





On reprochera cependant aux auteurs d'une part l'ambiguité permanente de l'ouvrage. Ils se revendiquent de ne pas avoir réalisé une étude sociologique, pourtant, le vocabulaire et les biais employés s'y apparentent. Et d'autre part, ce ton qui séduit au début, finit par agacer, tant il semble moralisateur à mesure qu'avance le livre. On regrettera également le pathos qui entoure certaines fictions dans l'idée où une fois de plus elles sont plus anecdotiques que nous le vendent les auteurs de ce livre.



Cet ouvrage ne traite que de la partie personnelle des réseaux sociaux, occultant de fait les dérives qui nécessairement les accompagnent.



Facebook m'a tuer, n'est donc pas un livre de fond. C'est un divertissement. Tout ce dont les auteurs se revendiquent en somme. Et c'est tant mieux !


Lien : http://www.madamedub.com