Citations de Alexia Perkins (69)
La mort ne m'inquiète pas, tant que je traîne tous les Leka en enfer avec moi, tous, sans la moindre exception, et que je sors celui qu’ils m’ont volé de cet enfer. Qu'importe les risques, leur sang sur mes mains signera la libération de mon âme.
Dans ce monde, s'attacher à quelqu'un signifie souvent sceller son destin. Nos faiblesses les plus grandes sont les personnes auxquelles nous sommes attachés.
"Parti rejoindre un monde où il saurait l'aimer"
« Parti rejoindre un monde où il sera l’aimer … »
J’en prendrais soin Avril, je prendrai soin de ton cœur
Dans la vengeance et dans l’amour, la femme es plus barbare que l’homme
Dites à une femme qu’elle n’est rien et observez la devenir tout.
Alors rappelle-toi que les guerrières n’abandonnent jamais. Qu’importe à quel point c’est dur, Avril, tout s’arrangera.
« Toutefois, Kiera n’a jamais ouvert la porte. Parfois, elle l’entrebâillait, à travers des rires ou des larmes qu’elle allait chercher au fond de son âme. Néanmoins, elle les effaçait si vite que personne n’a eu la chance de les admirer deux fois. Toute son existence tourne autour de l’escrime, parce que son fleuret est devenu son seul confident et son masque, le seul capable de cacher ses pleurs. Toutes les expériences qu’elle aurait dû faire ces dernières années, elle a préféré les laisser filer par peur d’être déçue »
« Bête et disciplinée, comme toujours. Kiera n’a jamais su s’amuser, hormis avec un fleuret entre les mains. Sa maturité résulte de l’escrime qui demande un sérieux à toute épreuve. »
Elle est mon jouet et je décide de quand je souhaite me débarrasser de mon jouet.
L'espoir, c'est la lumière au bout du tunnel. Mais lorsque cette dernière s'éteint ou que quelqu'un l'a cache, on tombe.
Je suis un homme patient, davantage encore lorsqu'il s'agit de mes proies. J'aime jouer avec elles comme un chat jouerait avec un souris avant de la bouffer toute crue.
Mais finalement, n'est-ce pas là toute la beauté
de notre relation? Nous ne sommes pas comme les autres, nous ne rentrons dans aucune des cases que le système tente d'imposer. Non, nous, nous avons nos lois, nos jeux, Nous avons tant de colère en nous, nous avons besoin de la laisser sortir.
Tuer ne fait pas de nous des monstres. Non, ce qui
nous rend monstrueux, c'est de nous aimer dans ce chaos.
D'une attraction physique quasiment obsessionnelle, mon désir pour cette femme s'étend désormais à son cerveau, ses pensées, ses joies et ses peines. Elle fait écho en moi, résonne dans chaque parcelle de mon étre comme si elle avait été façonnée pour me plaire. Semblant tout droit sortir du purgatoire elle a kidnappé mon ame et depuis, resserre habillement sa prise sur
celle-ci, y laissant sa marque.
"- Parfois, commence-t-elle dans un murmure, je m'imagine feu et toi, essence. Tu sais ce qu'il se passe lorsque le feu rencontre l'essence ?
Désarçonné par sa question, je ne réponds pas. Elle se lève et, sans un regard, se dirige vers la porte de ma chambre, prête à partir. Avant de sortir, elle me jette un coup d'œil par-dessus son épaule, faisant voler ses cheveux blonds.
- Boom. Un peu comme mon cœur lorsque je te vois t'éloigner, alors que tu n'es qu'à quelques centimètres de moi."
Les nuages cachent les étoiles parfois, pourtant, elles ne disparaissent jamais réellement, contrairement à la douleur. Un matin, tu souffres et puis le soir même, tu comprends que tout est éphémère. Comme les nuages qui cachent les étoiles, rien ne dure jamais éternellement, pas même la douleur.
Parce que la vérité, c'est que Scarlett Black est absolument tout. Le feu et la glace. Le blanc et le noir. Le Yin et le Yang. Le pile et le face. Un ange et un démon. Mon salut et ma chute.
« Bientôt, elle m’aimera à en crever, elle m’aimera et en crèvera. Elle sera à point, m’ayant offert son cœur sur un plateau d’argent et je me saisirai de celui-ci , dans tous les sens du terme, pour l’enfermer dans une boîte. »
« Ils sont le miroir l’un de l’autre et c’est exactement pour cette raison qu’ils ne peuvent pas se voir. Avril ne s’aime pas. Keith ne s’aime pas. Comment pourraient-ils aimer leur reflet ? »