Alix Garin

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« Ne m'oublie pas » a été un coup de cœur. J'ai été époustouflée par tous les aspects de cette œuvre. Cette bande dessinée a réussi à me mettre les larmes aux yeux, ce qui est très rare. Je me suis retrouvée dans Clémence et l'amour qu'elle porte à sa grand-mère. C'est à la fois doux, réaliste, poétique, émouvant et magnifique.



les +:



 * L'histoire en elle-même est touchante à lire. J'ai apprécié de voir cette jeune femme qui veut aider sa grand-mère et qui a peur de la voir mourir. Mais aussi Clémence est dans le déni de la maladie de sa grand-mère. Un voyage entre les deux femmes plein de doutes, de peurs et de rires. Un dernier moment pour comprendre , accepter et se résilier.



* J'ai apprécié le traitement de la maladie d'Alzheimer qui est très bien traitée dans cet ouvrage par tous ses aspects : que ce soit les moments de lucidité, les moments de perte de mémoire et bien plus encore.



* Clémence et sa grand-mère m'ont touchée au plus haut point. Leur relation est si forte et sincère, leurs émotions et sentiments ont sonné  tellement vrai et tellement juste, que ça m'a bouleversé.



* Le style des dessins colle parfaitement au récit. C'est à la fois doux, poétique, poignant et réaliste. L'auteure qui est aussi l'illustratrice nous livre des dessins sans filtres qui montrent la vérité sur la vieillesse. Les dialogues et le scénario sont tout aussi bien travaillés.



Les -:



* Je n'avais pas envie de dire au revoir à Clémence et sa grand-mère.
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Ce livre a remporté un franc succès.

On l’a beaucoup vu, beaucoup relayé, beaucoup aimé.

Et je suis l’une parmi tant d’autres !



L’histoire n’est pas originale, il s’agit d’Alzheimer, cette bête noire qui frappe sournoisement les personnes à un moment où enfin, elles pourraient ralentir, appuyer sur le bouton Pause et profiter...

Il y a dans ce roman graphique, une épure dans le dessin, une économie de mot dans les bulles, il y a l’essentiel, rien de plus et rien de moins.

Et les effets valent bien mieux que les mots ! Un gros plan sur une émotion, plan élargi puis resserré pour un mouvement, une sortie de route.

Ligne de fuite, emanata, jeux de couleurs...



Raconter Alzheimer comme une dernière aventure, un dernier voyage, retenir les sensations quand les souvenirs s’évaporent, Clémence offre ce denier voyage à sa chère grand-mère Marie-Louise, un road movie 2021 à la Thelma et Louise. L’insoumission face à la maladie et la liberté loin de l’institution.

Ce livre est comme la vie.

Drôle et triste à la fois.

Injuste et profondément humain.

Tout simplement bouleversant.

Je souhaite à toutes les grands-mères une Clèmence dans leur vie !

Un sujet pas simple à traiter que le fait de voir sa grand-mère vieillir en souffrant de la maladie d’Alzheimer…



Alix Garin parvient avec beaucoup de sensibilité et de délicatesse à nous raconter ce road-trip ente Clémence et sa grand-mère, road -trip dont on devine dès le départ l’issue par le récit entrecoupé de scènes d’interrogatoire par les gendarmes. Et sans jamais céder à la facilité des choses trop simples.



Ce roman graphique nous remue les sentiments et nous replace dans nos souvenirs d’enfance. Un très gros coup de cœur !

2 ans de travail pour cette BD touchante ... Le désarroi de Marie-Louise est palpable quand elle prend conscience de ses 'absences' ... Clémence symbolise parfaitement l'impuissance de l'entourage face à cela ... Accepter, faire avec, répéter, dédramatiser ... Pas si simple quand on se rend compte que l'on disparaît de la mémoire d'un être aimé !!

Je suis 'tombée' sur cet ouvrage après avoir été happée par 'Tout le bleu du ciel'. Il n'y a pas de hasard ! Mais des myosotis !

Une belle échappée pour Clémence et sa grand-mère atteinte d'Alzheimer. Malgré la maladie, les deux femmes passent de merveilleux moments ensemble, sur la route, loin de l'EHPAD et des calmants ! J'ai, aussi, beaucoup aimé les graphismes et les couleurs qui donnent beaucoup de douceur à l'histoire. Profitons de notre entourage et ne les oublions pas !

Un roman graphique aux tons roses et bleuté qui aborde avec douceur et beaucoup d'amour les douleurs de la maladie d'Alzheimer. C'est l'histoire de 3 femmes : Marie-Louise, la grand-mère, dont la mémoire se perd dans une nuit sans fin, qui végète dans une maison de retraite ; la maman, médecin, absorbée par son travail, qui souffre de voir sa mère disparaître lentement et Clémence la petite fille, actrice de théâtre en devenir qui a longtemps souffert de son homosexualité.

Alors Clémence emmène Marie-Louise dans un voyage endiablé, pour se retrouver, lutter contre le temps implacable et cueillir tout au long du chemin des brins de myosotis… le scénario est assez classique mais les dessins sont doux et j'ai pris beaucoup de plaisir à m'y plonger. Marie-Louise est drôle et attachante, Clémence est une jeune femme pleine de fougue et l'on ne peut que s'inspirer de cette histoire où se mêlent poésie, périple enthousiaste et émotions.

Après plusieurs tentatives de fuite, il faut placer Marie Louise sous camisole selon le personnel soignant. Sa petite fille, Clémence fait face au désespoir de sa grand-mère, ne supporte pas de voir sa grand-mère dans un tel état.



Clémence décide d'enlever Marie Louise pour un road-trip. Grand-mère et petite-fille, main dans la main, vont aller voir la mer envers et contre tout. Un long voyage semé d'embuche face à la maladie d'Alzheimer et les crises de Marie Louise.



A travers ce roman graphique, de Liège à Avesnes-sur-mer, Alix Garin explore avec délicatesse, humour, émotion et subtilité les thèmes de la transmission familiale, de la maladie, des relations intergénérationnelles...



Les graphiques sont réalisés avec détails et minuties, qui transmettent des émotions et des sentiments justes, forts, d'une beauté incroyable. Les moments de silence sont souvent les plus beaux, où juste le sens de l'image retranscrits ce que l'auteure n'aurait pas su exprimer en mots : unique et sublime.



Ce dernier voyage est celui d'une vie entière, impossible d'être indifférent devant un roman graphique de cette puissance. Très peu de décor certes, mais Alix Garin va à l'essentiel avec des planches d'une élégance délicate !



Rare ici que je vous parle de roman graphique, mais on ne peut passer à côté de "Ne m'oublie pas" où tout est fort, tout est émotion et puissance !

La bande dessinée "Ne m’oublie pas" d'Alix Garin m'a profondément touché par sa beauté simple et sa capacité à capturer l'essence de la relation intergénérationnelle.





Dès les premières pages, j'ai été happé par l'histoire émouvante de Clémence, déterminée à offrir à sa grand-mère un dernier voyage vers ses souvenirs d'enfance.



Le style artistique de Garin est tout simplement magnifique. Les tons pastels utilisés dans les dessins ajoutent à l'atmosphère douce et mélancolique de l'histoire, tandis que chaque planche est une œuvre d'art en soi, capturant parfaitement les émotions des personnages.



C'est une exploration profonde de la vie, de la famille et de l'amour, présentée avec une sensibilité et une vérité qui m'ont profondément touché.



Cette BD restera longtemps dans mon esprit, me rappelant l'importance de rester connecté à ceux que nous aimons, même lorsque la mémoire commence à s'effacer.

“Trop tard" arrive plus vite qu'on le croit.”

5☆|5



Je voulais lire ce livre depuis tellement longtemps que j'ai honnêtement oublié quand est ce que je l'ai découvert pour la première fois. Alors lorsque j'ai réalisé qu'il était sur la liste de suggestion de médias pour un de mes cours, j'ai enfin saisi cette opportunité, et je ne le regrette en rien.



On suit dans cette bande dessinée Clémence, une jeune actrice lesbienne, qui décide d'emmener sa grand-mère Marie-Louise, qui est atteinte de la maladie d'Alzheimer, dans la maison de ses parents, à 600km de là, où elle cherche sans arrêt à retourner, s'échappant ainsi de sa maison de retraite. Elle espère que revoir cette maison aide sa grand-mère à retrouver ses souvenirs, égarés à cause de la maladie. On va donc les suivre dans ce long voyage et on assiste à cette description de la démence qui sonne très juste.



Nous sommes face à une histoire qui est poignante, qui par moment fait perler des larmes au coin de nos yeux, qui nous touche en plein cœur. Il aborde des sujets douloureux mais important, tel que l'identité et la famille, l'importance de celle-ci. C'était très certainement une lecture intense, et j'ai, à la fin, du retenir mes larmes au milieu de ma bibliothèque universitaire.



Cette histoire nous est donc présentée sous forme de bande dessinée, et par conséquent je me dois de parler des dessins et du style de l'autrice. J'ai trouvé le style infiniment doux, il collait très bien à l'histoire et a aidé à la rendre si poignante. Le tout combiné, cela donne une bande dessinée poignante, douce et magnifique, un coup de cœur que je ne peux que recommander.

Trouvé totalement par hasard au sein de ma librairie de quartier, je me suis laissé tenter par cette bande dessinée. Oui, il m'arrive d'acheter une bd sans regarder le résumé, juste un visuel sur la couverture et je l'emporte chez moi.



Bon, par où commencer, eh bien par le début !



Cet album est une réel surprise, un achat soudain, mais remplie d'émotion au fil des pages. Ce road-trip embrasse votre cœur avec son message d’amour. Les planches retracent la chronologie de Clémence, une jeune femme masculine et homosexuelle qui a été victime de harcèlement durant sa jeunesse, et de sa tendre grand-mère, Marie Louise, atteinte de la maladie d’Alzheimer.



L’une et l’autre vont se redécouvrir et se découvrir ensemble dans une folie passagère qui va leur apporter mutuellement beaucoup de sentiments.



Ne m’oublie pas est un roman graphique à lire absolument. Une pépite qui m'a fait lâcher quelques larmes à la lecture.



Une bande dessinée humaine qui pour moi, est la pépite de 2021 dans mes lectures !

Ce roman graphique a été un immense coup de cœur. L’histoire d’une jeune femme et de sa grand-mère en maison de retraite, qui voit la maladie gagner du terrain et la fin de sa vie approcher. Alors, pour éviter que sa grand-mère sombre, sa petite fille décide de l’embarquer dans un Road trip.

Je crois que cette histoire me bouleverse car elle est universelle. Je crois que, l’autrice en abordant le sujet de la fin de vie, de la maladie, de la vieillesse, viens nous confronter à nos craintes, mais aussi à l’espoir qu’un jour l’on puisse apporter à nos aînés ce que Clémence offre à sa grand-mère Marie-Louise. Un roman graphique d’une puissance, d’une tendresse et d’une beauté qui, même des années après l’avoir lu, font qu’on ne l’oublie pas.

Un roman graphique très touchant.



Je l’ai lu, en une soirée, complètement aspirée par un cyclone d’émotions, et quelle histoire!



Marie-Louise est une grand-mère atteinte de la maladie d'Alzheimer.

Dans un centre adapté, elle se sent abandonnée, et tente plusieurs fois de fuguer.



Clémence, sa petite-fille, décide de prendre les choses en main, de l’emmener dans la maison de son enfance, une dernière fois, de la sortir d’un enfermement obligatoire.



C’est alors que débute un périple assez incroyable mais compliqué aussi. Elles ont une relation très fusionnelle, mais c’est une maladie compliquée à géré lorsque l’on est seule, avec beaucoup de peur, de tristesse, notamment lorsque celle-ci retombe en enfance.



Les graphismes sont sublimes et la palette de couleurs utilisée est incroyable.



C’est une histoire, un message, un rappel de prendre soin de ses proches, de ses grands-parents. Ça m’a beaucoup émue, j’ai beaucoup aimé.

Absolument bouleversant. Une des lectures les plus touchantes de ma vie, je pense. Avec beaucoup d’humour, Alix Garin nous raconte une histoire touchante, celle que trop de familles connaissent.



Mamycha, la grand-mère de Clémence souffre de la maladie d’Alzheimer et est malheureuse dans l’EHPAD où sa famille a dû la placer. Ne supportant pas de voir sa Mamy aussi triste, Clémence décide de l’embarquer dans un long voyage, celui dont on ne revient pas intact.

Clémence adore sa grand-mère. Elle a des millions de souvenirs avec elle. Et les souvenirs, c’est justement ce qui fait défaut à mamie. Car elle a la maladie d'Alzheimer, et se meurt dans la maison de retraite dans laquelle on l’a installée. A force de s’enfuir, de réclamer sa maison d’enfance, Clémence va l’emmener sur les traces de son passé. Un road-trip tendre et émouvant. Du rire, des larmes, beaucoup. Et une douceur, une tendresse infinie entre les personnages. Les illustrations sont aussi douces que l’est cet hommage.



Coup de cœur pour cette BD !

Clémence, une jeune femme en quête d'identité, n'accepte pas que sa grand-mère atteinte de la maladie d'alzheimer soit mise sous camisole chimique dans son EHPAD sous prétexte qu'elle fugue régulièrement.

Elle décide donc de la kidnapper pour l'emmener une dernière fois vers sa maison d'enfance.

Un road movie émotionnel où la mémoire de cette grand-mère et celle de sa petite fille se croise.

Le dessin est très simple avec des couleurs pastel.

Un roman graphique à la fois très difficile et terriblement émouvant. Sur un coup de tête Clémence kidnappe sa grand-mère atteinte d’Alzheimer de la maison de retraite où elle vit et d’où elle fugue régulièrement. La grand-mère ne pense qu’à une chose : retourner chez ses parents. Clémence prend la route pour lui permettre de revoir une dernière fois les lieux de son enfance. C’est l’occasion aussi pour la jeune femme de se souvenir de son enfance auprès de cette grand-mère qui ne la reconnaît plus que par intermittence mais aussi de sa propre mère débordée par le travail et avec laquelle les relations sont souvent difficiles. Elle se souvient de ce qu’elle avait occulté : les bonheurs des mercredis avec sa mère et comprend qu’il est grand temps de lui dire qu’elle l’aime.
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Bon, si j'ai aimé ce livre (BD ou roman graphique ? j'avoue ne pas savoir faire la distinction !), je reconnais également qu'il me laisse une impression de manque, un sentiment d'incomplétude ; un peu comme si le principal sujet avait été effleuré alors que j'aurais aimé en savoir davantage, surtout sur les personnages. Mais peut-être est-ce la volonté de l'auteure de suggérer, de laisser deviner, et donc, de ne pas tout expliquer ou justifier ? Toujours est-il que cela reste une très belle histoire, un tendre et bouleversant ouvrage. Car le sujet est triste et beau à la fois : c'est celui d'une vieillesse accompagnée de la maladie d'Alzheimer, de l'oubli, du retour en arrière, en enfance, de l'incohérence, de l'incompréhension ; mais c'est aussi celui de l'amour d'une jeune femme et de sa grand-mère, d'une redécouverte, d'un lâcher-prise, d'une fuite et d'une folie nécessaires. Le titre pourrait être double : « Ne m'oublie pas » que demande Clémence à sa grand-mère atteinte d'Alzheimer et « Ne m'oublie pas » que demande à sa petite-fille, une Mamy qui sait que le temps lui est compté...



C'est un livre qui pointe également du doigt les difficultés rencontrées par notre Société dans l'accueil et l'accompagnement de nos aînés, du désarroi et du dénuement ressentis lorsqu'à la vieillesse vient s'ajouter la maladie. Mais il raconte aussi et surtout la force des souvenirs et de l'amour, l'importance d'accepter et exprimer ses sentiments. Les dessins sont simples mais beaux et les expressions sont très bien rendues ; la couverture exprime à elle seule parfaitement ce livre, à travers les sentiments que l'on devine sur le visage des deux personnages, entre amour et tristesse, douleur et acceptation. Les couleurs pastel sont douces, parfois plus sombres quand l'ambiance le justifie. Bref, un très bel ouvrage, que l'on sent très personnel et un très bel hommage à nos Mamy et Papy !

Ma petite pépite denichée à la Mediatheque !

Un moment que j'avais vu passer ce roman graphique et que j'étais très curieuse de le découvrir !



Coup de cœur ! 😍



Malgré les sujets abordés ici..la maladie d'Alzheimer, la solitude, la famille, la transmission, les souvenirs...mais aussi un autre thème mais je ne veux pas vous en dire plus..., les illustrations sont toutes en douceur niveau des tons de couleurs et des dessins..



220 pages dévoré en une seule fois..et oui quand j' adore je ne peux pas décrocher!



Vraiment très beau, touchant, émouvant, dans une bulle d'amour et de tendresse...j'en ai eu les larmes aux yeux..car cela a fait écho en moi...



"Marie Louise, embrasse la mer pour moi"

C'est la toute dernière chose que ma mère m'ait dite.

Tu sais quoi, mamy ? Et si on y allait vraiment ?

Ecrit avec une profonde sincérité, "Ne m'oublie pas" est un roman graphique accessible sur la fin de vie des personnes dépendantes atteintes d'Alzheimer et leur entourage. A titre personnel, il ne m'a pas semblé trop catalyseur et il parvient à rester léger dans la profondeur.



J'ai aimé la référence au beau myosotis, dont le surnom est si joliment devenu le titre de l'album. Une agréable lecture, paradoxalement assez oubliable cependant...

Une belle parenthèse…

Une vie…

Une fin…

Un amour…



En ouvrant ce graphique, je ne savais pas vers quelle destination s’embarquait. J’ai fait la rencontre de deux femmes. Clémence qui souffre de son identité. Marie-Louise, Mamy qui est atteinte d’Alzheimer.



Ensemble, elles vont vivre un périple, qui n’est pas de tout repos. Mais qui va leur faire malgré tout un bien fou.